• La fée et le Père Fouettard

    Il était une fois une petite fée que nous appellerons Valérie. Elle vivait évidemment au pays des fées, très beau pays verdoyant. Tout le monde y était gentil et d’une parfaite politesse. Valérie vivait dans sa petite maison bâtie au centre d’un rosier d’un rouge profond. Elle avait beaucoup d’amies et d’amis et faisait souvent la fête. Sa vie amoureuse était sexuelle. Elle n’avait pas de petit ami attitré mais passait de l’un à l’autre sans trouver ce qu’elle cherchait. Elle ne savait pas trop ce qu’elle cherchait du reste, mais elle savait qu’elle n’était pas complètement satisfaite. Bref, elle s’ennuyait ferme au lit !

    Un jour, pourtant, elle rencontra un jeune homme qui voulut innover. Il la fit mettre en levrette. Elle n’en n’avait pas bien l’habitude mais elle accepta. Et lorsqu’elle senti une de ses mains agripper la base de ses ailes pour qu’il enfonce sa queue bien au fond de sa chatte, elle mouilla comme jamais. Lorsqu’ensuite il lui mit de grandes claques sur les fesses, elle jouit comme jamais elle n’avait jouit. Au petit matin, malheureusement, lorsqu’elle voulut lui dire de rester et de recommencer, il l’a devança et lui dit « C’était sympa merci… On remettra ça un de ces 4… »

    Il n’avait pas fermé la porte qu’un vase vola à travers la pièce…. Oui… Valérie avait son petit caractère…

    Elle reprit ses aventures sans retrouver ces sensations. Elle questionna ses amies l’air de rien mais sans succès. Elle se refermait petit à petit et partait souvent faire de longues promenades dans les forêts proches, seule.

    Aujourd’hui justement, elle se promène. Elle se promène sans but précis, juste pour essayer de se vider la tête. Au détour d’un sentier, elle voit de la fumée qui l’intrigue. Il n’y a pourtant aucune habitation par là-bas d’après ses souvenirs. Elle avance dans cette direction et arrive devant une maison. Une palissade borde le terrain et un petit portail semble l’appeler. Curieuse comme toutes les fées, Valérie regarde de tous les côtés puis pousse le portillon. Elle va pour taper à la porte lorsque celle-ci s’ouvre brusquement la faisant sursauter.

    « Bonjour, je t’attendais justement »

    « Vous m’attendiez ? Mais… »

    « Ne reste pas là, entre… »

    Elle le regarde quelques instants. Il semble sûr de lui dans son costard-cravate. Et impressionnant même s’il sourit. Et son crâne quasiment rasé n’arrange rien. Elle a un mouvement de recul mais il est plus vif qu’elle et l’attrape par le poignet…

    « Pas si vite ma petite Valérie… Tu es venue jusqu’ici alors tu peux rester un peu. Je ne vais pas te manger. Pas sans ton consentement en tout cas… » Rajoute-t-il en un sourire.

    Elle ne comprend pas ce qui se passe. Il semble la connaître, l’appelle par son prénom mais elle ne se rappelle pas l’avoir déjà croisé… Mais Valérie est à la fois timide et téméraire, elle se laisse tirer à l’intérieur.

    L’intérieur est propre et bien tenu ce qui la surprend un peu. Elle s’assoit là où il le lui indique : sur un canapé. Il s’assoit sur la place à côté d’elle.

    « Un café, un thé ?»

    « Un thé merci »

    Elle ne sait plus trop ce qu’elle doit penser. Il semble intimidant mais également gentil. Il sourit souvent et elle aime bien. Il discute un peu de tout, d’elle. Il semble tout connaître d’elle.

    Au bout d’une heure de thé, de petits gâteaux et de discussions, elle se sent à l’aise même s’il l’intimide encore un peu. Sa main se pose sur son genou ne lui pose pas de problème. Mieux… elle a subitement envie de plus…

    Il voit à la réaction de ses pupilles qu’il peut aller plus loin et il ne va certainement pas s’en dispenser.

    Ils ne parlent plus mais ils s’observent. Sa main passe de son genou à sa cuisse alors que son autre main vient se poser sur un sein. Elle lâche un soupir tant de surprise que d’excitation. Il le lui pétrit doucement puis un peu plus fortement lorsqu’il la sent se tendre vers lui.

    Elle décide (mais…. elle l’a décidé depuis un petit moment…) de lui faire confiance. Un homme qui lui fait ressentir tout ça ne peut être foncièrement mauvais. Et… elle a envie de sexe. Et pas de sexe timoré.

    Elle ferme les yeux face à toutes ses sensations et lorsqu’il l’a voit s’abandonner, il prend les choses en mains.

    « Pose tes vêtements »

    « Que je…. ? »

    « Oui. Et dépêche-toi ou c’est moi qui m’en charge »

    « Non, non… c’est…. C’est bon… Je vais le faire »

    Une caresse sur la joue, sur la tête, un sourire et « c’est bien »

    Elle se déshabille plus ou moins maladroitement devant lui.

    D’un geste, il lui indique le sol devant le canapé. Elle s’approche et se met à l’endroit indiqué. Il la place entre ses jambes. Ses mains montent vers ses seins et alors qu’il lui embrasse le ventre et le pubis, il pince fortement ses tétons la faisant sursauter et crier. Il empoigne ses seins et les serre… un peu…. Beaucoup… vraiment beaucoup… attendant ses gémissements, qui arrivent assez rapidement.

    Il se lève, lui donne une claque sur une fesse et l’entraine en ta tenant par un sein derrière le canapé. Il l’a fait se pencher sur le dossier. Elle se retient tant bien que mal avec les mains car ses pieds touchent à peine le sol maintenant.

    Elle a à peine le temps de penser qu’elle est folle de se laisser faire ainsi qu’elle sent une main claquer sa fesse droite. Puis une caresse. Puis sa fesse gauche claque. Puis une caresse. Les claques et les caresses s’alternent, ou pas, le rythme n’est pas très régulier mais elle n’y fait pas attention. Tout ce qu’elle sait c’est que ses fesses la cuisent. Elle essaie de bouger, d’éviter les claques mais… à l’instant où elle se dit que trop c’est trop, tout stoppe. Elle va pour se relever mais une main posée sur son dos l’en dissuade.

    « Reste-là »

    Elle n’ose plus bouger et l’air de rien… savoure la chaleur de ses fesses et frotte légèrement sa chatte sur le dossier. Eh oui… même si elle n’en n’a pas pleinement conscience, cette fessée l’a échauffée… à tous points de vue.

    Il est parti quelques instants mais elle le sent. Il est tout contre elle. Sa main flatte son dos, ses épaules, comme un massage très doux. Elles descendent sur ses hanches, ses fesses, ses cuisses…

    Il la tire doucement vers l’arrière et pose fermement sa main sur sa chatte, l’enserrant fermement. Son gémissement de plaisir le fait sourire. Il passe et repasse sa main plus ou moins doucement puis écarte les lèvres. Ses doigts trouvent son bouton et tournent autour, doucement, vivement, et le pince à certains moments arrachant des gémissements de plaisir à Valérie.

    « Sais-tu que tu es trempée ? » lui dit-il en lui tirant les cheveux pour la faire se cambrer.

    « Non… je… »

    « Si… Pas la peine de nier »

    Il continue ses caresses durant quelques minutes, la menant proche de la libération mais… pas encore.

    Il se recule, la repousse correctement sur le dossier.

    Elle sent la caresse de quelque chose de doux passer sur son dos, ses hanches, ses fesses…. Elle ne voit pas bien ce que ça peut être jusqu’à ce qu’elle sente un claquement sur son postérieur. Claquement bien moins douloureux que la fessée précédente. Ça… elle se rend compte qu’elle aime beaucoup. Ses fesses se tendent, elle bouge pour chercher la douce « caresse » du martinet puisqu’il s’agit de ça devine-t-elle.

    Au bout de quelques minutes, les coups s’arrêtent. Elle le sent qui s’appuie derrière elle, collant son corps encore habillé contre le sien. Elle sent qu’il bande et espère qu’il ne va pas tarder pour la prendre… encore et encore…

    « Veux-tu que l’on aille plus loin Valérie ? Ou préfères-tu que l’on en reste là ? »

    Elle réfléchit. Pas trop longtemps car elle aime cette situation à sa grande surprise.

    « Je veux continuer »

    « Tu es sûre ? Je veux aller plus loin avant de te baiser »

    « Oui… oui j’en suis sûre »

    « Très bien »

    Encore une fois il s’absente quelques secondes. Lorsqu’il revient, il jette sur le canapé, devant elle, une cravache, un martinet, un fouet enroulé. Elle a un mouvement de recul.

    « Non. Ne t’inquiète pas. Pas trop en tout cas. Je n’irai pas plus loin que ce que tu peux endurer »

    Elle lui jette un regard anxieux, le voit sourire, voit son regard et… se repositionne sur le dossier.

    « Bien, bravo Valérie ! »

    Il lui écarte les jambes et attache ses chevilles aux pieds du canapé à l’aide des cordes. Il procède de même avec ses mains sur les pieds de la table basse.

    « Que préfères-tu ? Je te laisse le choix pour cette première fois. Cravache ou martinet ? »

    Elle réfléchit quelques secondes. La cravache lui fait peur mais le martinet, elle a bien aimé…

    « Le martinet »

    « très bien » dit-il dans un sourire.

    Là aussi, il commence par la parcourir des lanières, doucement, lui effleurant juste le dos et les fesses et puis…

    Clac, une caresse de la main, clac, une autre caresse. Elle en compte 10 au total. Ses fesses la chauffent. Beaucoup. Beaucoup plus que tout à l’heure.

    Le martinet est reposé devant elle.

    Elle tourne la tête vers lui en souriant de façon téméraire...

    « Vous êtes au courant que le premier martinet était carrément de la publicité mensongère ? »

    Il éclate de rire…

    « Ah bon ? Tu crois ? Et si j’essayais le fouet pour voir si tu as la langue toujours aussi bien pendue ? »

    Elle entend le sifflement du fouet et sent en même temps sa morsure, rapide, brulante mais un peu moins douloureuse qu’elle n’en n’avait eu peur. Elle se décontracte un peu.

    La seconde morsure, sur le dos, est un peu plus appuyée. Elle sursaute de surprise. La troisième et la quatrième montent encore en puissance, sur ses hanches. La cinquième, sur le dos encore et il termine sur la deuxième fesse, d’un coup plus puissant que les autres.

    Il sent que c’est assez. Il pose rapidement son pantalon, prend en main sa queue bien bandée, vérifie si, comme il le pense, Valérie est bien mouillée et s’enfonce d’un coup en elle. Elle gémie longuement, appréciant d’être prise ainsi, à sa merci.

    Il empoigne d’un côté la chair de sa hanche, de l’autre main, il empoigne ses cheveux et commence ses va-et-vient, profonds et rapides.

    Elle bouge pour aller au-devant de ses mouvements, de plus en plus excitée. Elle apprécie tant cet assaut sauvage qu’elle ne met pas longtemps pour jouir.

    Il se retire, dénoue rapidement les cordes et la prenant par les cheveux, la fait mettre à genoux devant lui. Elle n’est pas idiote. Elle prend la queue toujours bandée en bouche et commence à le sucer en y mettant toute son expérience et surtout tout son cœur. Elle a envie de lui faire plaisir de lui prouver qu’elle sait sucer.

    Elle n’a pas à attendre longtemps tellement il était déjà plus qu’excité. Il se tend dans sa bouche et jouit, tenant sa tête contre son pubis.

    Après quelques instants, il la relève, l’embrasse.

    « Ça va ? »

    « Très bien oui » répond-elle en souriant et en se rhabillant

    « Dis-moi petite fée, j’ai très envie que tu m’appartiennes. Tu aurais envie de venir voir le Père Fouettard régulièrement ? »

    « J’hésite » dit-elle  en un sourire mutin….

    Une claque sur la fesse gauche…

    Elle l’embrasse au coin de la bouche « Ouiiiiii… Oui évidemment que j’en ai envie… »

    Ainsi, ils se virent… souvent. Longtemps. Ils ne se marièrent pas mais ils eurent plein de petites cravaches… et pas que…

    Tags Tags : , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter