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Par Valsou le 23 Février 2018 à 11:23
Il était une fois une petite fée que nous appellerons Valérie. Elle vivait évidemment au pays des fées, très beau pays verdoyant. Tout le monde y était gentil et d’une parfaite politesse. Valérie vivait dans sa petite maison bâtie au centre d’un rosier d’un rouge profond. Elle avait beaucoup d’amies et d’amis et faisait souvent la fête. Sa vie amoureuse était sexuelle. Elle n’avait pas de petit ami attitré mais passait de l’un à l’autre sans trouver ce qu’elle cherchait. Elle ne savait pas trop ce qu’elle cherchait du reste, mais elle savait qu’elle n’était pas complètement satisfaite. Bref, elle s’ennuyait ferme au lit !
Un jour, pourtant, elle rencontra un jeune homme qui voulut innover. Il la fit mettre en levrette. Elle n’en n’avait pas bien l’habitude mais elle accepta. Et lorsqu’elle senti une de ses mains agripper la base de ses ailes pour qu’il enfonce sa queue bien au fond de sa chatte, elle mouilla comme jamais. Lorsqu’ensuite il lui mit de grandes claques sur les fesses, elle jouit comme jamais elle n’avait jouit. Au petit matin, malheureusement, lorsqu’elle voulut lui dire de rester et de recommencer, il l’a devança et lui dit « C’était sympa merci… On remettra ça un de ces 4… »
Il n’avait pas fermé la porte qu’un vase vola à travers la pièce…. Oui… Valérie avait son petit caractère…
Elle reprit ses aventures sans retrouver ces sensations. Elle questionna ses amies l’air de rien mais sans succès. Elle se refermait petit à petit et partait souvent faire de longues promenades dans les forêts proches, seule.
Aujourd’hui justement, elle se promène. Elle se promène sans but précis, juste pour essayer de se vider la tête. Au détour d’un sentier, elle voit de la fumée qui l’intrigue. Il n’y a pourtant aucune habitation par là-bas d’après ses souvenirs. Elle avance dans cette direction et arrive devant une maison. Une palissade borde le terrain et un petit portail semble l’appeler. Curieuse comme toutes les fées, Valérie regarde de tous les côtés puis pousse le portillon. Elle va pour taper à la porte lorsque celle-ci s’ouvre brusquement la faisant sursauter.
« Bonjour, je t’attendais justement »
« Vous m’attendiez ? Mais… »
« Ne reste pas là, entre… »
Elle le regarde quelques instants. Il semble sûr de lui dans son costard-cravate. Et impressionnant même s’il sourit. Et son crâne quasiment rasé n’arrange rien. Elle a un mouvement de recul mais il est plus vif qu’elle et l’attrape par le poignet…
« Pas si vite ma petite Valérie… Tu es venue jusqu’ici alors tu peux rester un peu. Je ne vais pas te manger. Pas sans ton consentement en tout cas… » Rajoute-t-il en un sourire.
Elle ne comprend pas ce qui se passe. Il semble la connaître, l’appelle par son prénom mais elle ne se rappelle pas l’avoir déjà croisé… Mais Valérie est à la fois timide et téméraire, elle se laisse tirer à l’intérieur.
L’intérieur est propre et bien tenu ce qui la surprend un peu. Elle s’assoit là où il le lui indique : sur un canapé. Il s’assoit sur la place à côté d’elle.
« Un café, un thé ?»
« Un thé merci »
Elle ne sait plus trop ce qu’elle doit penser. Il semble intimidant mais également gentil. Il sourit souvent et elle aime bien. Il discute un peu de tout, d’elle. Il semble tout connaître d’elle.
Au bout d’une heure de thé, de petits gâteaux et de discussions, elle se sent à l’aise même s’il l’intimide encore un peu. Sa main se pose sur son genou ne lui pose pas de problème. Mieux… elle a subitement envie de plus…
Il voit à la réaction de ses pupilles qu’il peut aller plus loin et il ne va certainement pas s’en dispenser.
Ils ne parlent plus mais ils s’observent. Sa main passe de son genou à sa cuisse alors que son autre main vient se poser sur un sein. Elle lâche un soupir tant de surprise que d’excitation. Il le lui pétrit doucement puis un peu plus fortement lorsqu’il la sent se tendre vers lui.
Elle décide (mais…. elle l’a décidé depuis un petit moment…) de lui faire confiance. Un homme qui lui fait ressentir tout ça ne peut être foncièrement mauvais. Et… elle a envie de sexe. Et pas de sexe timoré.
Elle ferme les yeux face à toutes ses sensations et lorsqu’il l’a voit s’abandonner, il prend les choses en mains.
« Pose tes vêtements »
« Que je…. ? »
« Oui. Et dépêche-toi ou c’est moi qui m’en charge »
« Non, non… c’est…. C’est bon… Je vais le faire »
Une caresse sur la joue, sur la tête, un sourire et « c’est bien »
Elle se déshabille plus ou moins maladroitement devant lui.
D’un geste, il lui indique le sol devant le canapé. Elle s’approche et se met à l’endroit indiqué. Il la place entre ses jambes. Ses mains montent vers ses seins et alors qu’il lui embrasse le ventre et le pubis, il pince fortement ses tétons la faisant sursauter et crier. Il empoigne ses seins et les serre… un peu…. Beaucoup… vraiment beaucoup… attendant ses gémissements, qui arrivent assez rapidement.
Il se lève, lui donne une claque sur une fesse et l’entraine en ta tenant par un sein derrière le canapé. Il l’a fait se pencher sur le dossier. Elle se retient tant bien que mal avec les mains car ses pieds touchent à peine le sol maintenant.
Elle a à peine le temps de penser qu’elle est folle de se laisser faire ainsi qu’elle sent une main claquer sa fesse droite. Puis une caresse. Puis sa fesse gauche claque. Puis une caresse. Les claques et les caresses s’alternent, ou pas, le rythme n’est pas très régulier mais elle n’y fait pas attention. Tout ce qu’elle sait c’est que ses fesses la cuisent. Elle essaie de bouger, d’éviter les claques mais… à l’instant où elle se dit que trop c’est trop, tout stoppe. Elle va pour se relever mais une main posée sur son dos l’en dissuade.
« Reste-là »
Elle n’ose plus bouger et l’air de rien… savoure la chaleur de ses fesses et frotte légèrement sa chatte sur le dossier. Eh oui… même si elle n’en n’a pas pleinement conscience, cette fessée l’a échauffée… à tous points de vue.
Il est parti quelques instants mais elle le sent. Il est tout contre elle. Sa main flatte son dos, ses épaules, comme un massage très doux. Elles descendent sur ses hanches, ses fesses, ses cuisses…
Il la tire doucement vers l’arrière et pose fermement sa main sur sa chatte, l’enserrant fermement. Son gémissement de plaisir le fait sourire. Il passe et repasse sa main plus ou moins doucement puis écarte les lèvres. Ses doigts trouvent son bouton et tournent autour, doucement, vivement, et le pince à certains moments arrachant des gémissements de plaisir à Valérie.
« Sais-tu que tu es trempée ? » lui dit-il en lui tirant les cheveux pour la faire se cambrer.
« Non… je… »
« Si… Pas la peine de nier »
Il continue ses caresses durant quelques minutes, la menant proche de la libération mais… pas encore.
Il se recule, la repousse correctement sur le dossier.
Elle sent la caresse de quelque chose de doux passer sur son dos, ses hanches, ses fesses…. Elle ne voit pas bien ce que ça peut être jusqu’à ce qu’elle sente un claquement sur son postérieur. Claquement bien moins douloureux que la fessée précédente. Ça… elle se rend compte qu’elle aime beaucoup. Ses fesses se tendent, elle bouge pour chercher la douce « caresse » du martinet puisqu’il s’agit de ça devine-t-elle.
Au bout de quelques minutes, les coups s’arrêtent. Elle le sent qui s’appuie derrière elle, collant son corps encore habillé contre le sien. Elle sent qu’il bande et espère qu’il ne va pas tarder pour la prendre… encore et encore…
« Veux-tu que l’on aille plus loin Valérie ? Ou préfères-tu que l’on en reste là ? »
Elle réfléchit. Pas trop longtemps car elle aime cette situation à sa grande surprise.
« Je veux continuer »
« Tu es sûre ? Je veux aller plus loin avant de te baiser »
« Oui… oui j’en suis sûre »
« Très bien »
Encore une fois il s’absente quelques secondes. Lorsqu’il revient, il jette sur le canapé, devant elle, une cravache, un martinet, un fouet enroulé. Elle a un mouvement de recul.
« Non. Ne t’inquiète pas. Pas trop en tout cas. Je n’irai pas plus loin que ce que tu peux endurer »
Elle lui jette un regard anxieux, le voit sourire, voit son regard et… se repositionne sur le dossier.
« Bien, bravo Valérie ! »
Il lui écarte les jambes et attache ses chevilles aux pieds du canapé à l’aide des cordes. Il procède de même avec ses mains sur les pieds de la table basse.
« Que préfères-tu ? Je te laisse le choix pour cette première fois. Cravache ou martinet ? »
Elle réfléchit quelques secondes. La cravache lui fait peur mais le martinet, elle a bien aimé…
« Le martinet »
« très bien » dit-il dans un sourire.
Là aussi, il commence par la parcourir des lanières, doucement, lui effleurant juste le dos et les fesses et puis…
Clac, une caresse de la main, clac, une autre caresse. Elle en compte 10 au total. Ses fesses la chauffent. Beaucoup. Beaucoup plus que tout à l’heure.
Le martinet est reposé devant elle.
Elle tourne la tête vers lui en souriant de façon téméraire...
« Vous êtes au courant que le premier martinet était carrément de la publicité mensongère ? »
Il éclate de rire…
« Ah bon ? Tu crois ? Et si j’essayais le fouet pour voir si tu as la langue toujours aussi bien pendue ? »
Elle entend le sifflement du fouet et sent en même temps sa morsure, rapide, brulante mais un peu moins douloureuse qu’elle n’en n’avait eu peur. Elle se décontracte un peu.
La seconde morsure, sur le dos, est un peu plus appuyée. Elle sursaute de surprise. La troisième et la quatrième montent encore en puissance, sur ses hanches. La cinquième, sur le dos encore et il termine sur la deuxième fesse, d’un coup plus puissant que les autres.
Il sent que c’est assez. Il pose rapidement son pantalon, prend en main sa queue bien bandée, vérifie si, comme il le pense, Valérie est bien mouillée et s’enfonce d’un coup en elle. Elle gémie longuement, appréciant d’être prise ainsi, à sa merci.
Il empoigne d’un côté la chair de sa hanche, de l’autre main, il empoigne ses cheveux et commence ses va-et-vient, profonds et rapides.
Elle bouge pour aller au-devant de ses mouvements, de plus en plus excitée. Elle apprécie tant cet assaut sauvage qu’elle ne met pas longtemps pour jouir.
Il se retire, dénoue rapidement les cordes et la prenant par les cheveux, la fait mettre à genoux devant lui. Elle n’est pas idiote. Elle prend la queue toujours bandée en bouche et commence à le sucer en y mettant toute son expérience et surtout tout son cœur. Elle a envie de lui faire plaisir de lui prouver qu’elle sait sucer.
Elle n’a pas à attendre longtemps tellement il était déjà plus qu’excité. Il se tend dans sa bouche et jouit, tenant sa tête contre son pubis.
Après quelques instants, il la relève, l’embrasse.
« Ça va ? »
« Très bien oui » répond-elle en souriant et en se rhabillant
« Dis-moi petite fée, j’ai très envie que tu m’appartiennes. Tu aurais envie de venir voir le Père Fouettard régulièrement ? »
« J’hésite » dit-elle en un sourire mutin….
Une claque sur la fesse gauche…
Elle l’embrasse au coin de la bouche « Ouiiiiii… Oui évidemment que j’en ai envie… »
Ainsi, ils se virent… souvent. Longtemps. Ils ne se marièrent pas mais ils eurent plein de petites cravaches… et pas que…
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Par Valsou le 21 Février 2018 à 21:39
Voilà bien longtemps que je me retrouve incapable d'aligner des phrases qui correspondent à ce que je voudrais dire. J'ai les idées mais rien ne sort comme je le souhaiterais. Et puis....
Ils s’étaient donné rendez-vous dans un restaurant anonyme. « Ils » c’était « Lui » et c’était « elle ». Ils avaient échangé par mails, échangé des points de vu, échangé des fragments de leur vie, à la fois intime, familial et sexuel. Et là, elle se retrouvait face à Lui.
elle ne s’attachait absolument au physique lorsqu’elle rencontrait pour la première fois, préférant voir un sourire véritable qu’une « belle gueule » mais là… certes Lui avait un beau sourire qui remontait jusqu’au yeux mais elle le trouvait… « beau ». Et elle ne se trouvait pas « belle ». Alors… elle avait envie de se noyer dans son regard et en même temps, elle se demandait ce qu’il pouvait lui trouver, outre son goût pour la soumission.
Leur conversation était fluide entrecoupée de petits silences qu’elle appréciait aussi. elle hésitait alors. Le regarder lorsqu’ils parlaient était normal, naturel. Le regarder pendant les silences c’était… autre chose. C’était un regard pour imaginer la suite envisageable. Et là, elle se sentait à la fois comme une ado devant le garçon de ses rêves et comme une femme soumise devant son possible Maître. elle l’imaginait bien sourire. elle faisait même mieux que l’imaginer car il souriait souvent. elle l’imaginait aussi sans sourire et elle pouvait même l’imaginer l’air sévère. Et elle aimait ces images.
Par contre, même si elle avait de l’imagination, elle n’arrivait pas encore à se visualiser avec Lui en soumise. Sans doute était-ce trop tôt. elle avait bien cette sensation au fond d’elle que cette relation pouvait aboutir sur quelque chose d’infiniment mieux qu’un simple repas agrémenté de sourires mais de là à s’imaginer nue et attachée devant lui… il y avait un important fossé.
elle se sentait à la fois nerveuse et heureuse d’être là. Heureuse d’être là et d’être nerveuse.
Clac… Un claquement de doigts vers son oreille et elle sursaute un peu. elle relève sa tête qui était posée gentiment sur Ses genoux…
- Oui mon Maître ?
- Tu avais le regard vague et le sourire aux lèvres… à quoi rêvais-tu ?
- Je me rappelais juste notre première rencontre et que j’étais heureuse d’être à vous….
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C'était il y a quatre mois. La première "vraie" rencontre a eu lieu et je suis effectivement heureuse.
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Par Valsou le 21 Février 2018 à 21:09
Un texte que j'ai écrit avant même d'être soumise en réel. Je discutais de-ci de-là et souvent avec un homme qui avait eu une expérience de soumission. Il m'a mis au défit de lui écrire un texte que voici.
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Il est 18 h 30. Hier, tu m'as prévenu que tu allais rentrer tard de ton bureau ce soir. Lorsque je t'ai proposé de venir te chercher pour manger, tu as été d'accord, sans trop hésiter à ma surprise du reste.
Depuis 1 h 30, je me pouponne pour toi.
J'ai pris une douche, chaude comme je les aime. J'ai aimé sentir l'eau couler sur ma peau, mes mains savonneuses passant sur mon corps. Mon gel douche parfumait l'air ambiant et je me suis laissée aller à rêvasser comme souvent, imaginant ta présence à mes côtés, sous l'eau.
Je me suis séchée soigneusement. Je me suis mis une crème parfumée pour la peau (Angel).
Je me suis maquillée.
Dans la chambre, je regarde ce que je me suis préparée pour ma visite... de beaux bas noirs (jarretière en dentelle et couture derrière la jambe), un petit porte-jarretelles, un corset qui j'espère te plaira, une jupe noire et longue et des chaussures, noires elles aussi.
Je m'habille, à la fois excitée de la surprise que je te réserve et anxieuse car c'est bien la première fois que j'ose faire une telle chose.
Une fois prête je vais à la cuisine prendre le panier en osier que j'ai préparé un peu plus tôt. J'y ai mis, outre des assiettes, des verres, des couverts et des serviettes (on ne sait jamais, des fois que l'on veuille manger proprement...), une bouteille de vin blanc, du foie gras, des toasts, des tranches de saumon dans de la gelée que j'ai fait moi-même, des petites asperges, et..... du chocolat quasi liquide d'une marque que je ne citerai pas, du sucre, des fraises, des framboises qui sentent délicieusement bon (hummm). Tout est ultra frais et j'espère que ma surprise te plaira, tant au niveau de ma tenue que du pique-nique que j'ai prévu dans ton bureau. Sur une dernière inspiration, j’y ajoute une surprise…. Rouge.
18 h 45. Le panier est à côté de moi sur le siège passager, attaché pour ne pas qu'il tombe. Il ne manquerait plus que ça !
19 h 15. Je suis en bas de tes bureaux. Seul le gardien de nuit est là. Mon manteau long cache ma tenue mais il voit bien mon panier. Nous discutons quelques minutes sur les diners en amoureux, il se rappelle et me raconte brièvement une de ses frasques avec sa chère et tendre... mais je m'impatiente un peu et il le sent... rire. Il m'indique en souriant que tu es seul à l'étage, que tes collègues sont tous partis.... à bon entendeur.... Un dernier sourire en direction de mon complice malgré lui et je pénètre dans l'ascenseur.
Les petites lumières s'égrènent et.... la porte s'ouvre sur le couloir. Je suis déjà venue en journée et j'arrive sans peine à me repérer. Je frappe doucement. A ton signal, j'entre, fais un pas dans le bureau. Sans me retourner, sans quitter ton regard, en te souriant, ma main libre va dans mon dos et referme à clé.
« Dois-je déduire de ton panier que nous ne sortons pas ? »
« Bonne déduction Sherlock. Tu m'en veux ? »
« Bien sûr que non. Nous allons étrenner le canapé et la table basse qui m'ont été livré en début de semaine. Pose ton manteau il fait chaud ici »
« Je vais d'abord poser le panier... »
Je le pose sur la table basse (pas mal du reste !) qui se trouve à ta droite. Je sens ton regard qui me suit. Une fois débarrassée de ce panier, je me retourne vers toi, et, en te regardant, je détache les boutons un à un, lentement. A tes yeux, je vois que tu te doutes que je ne suis pas habillée comme d'habitude. Tous les boutons détachés, je pose mon manteau sur un fauteuil à côté du canapé. J'ai l'impression que tu apprécies.... le « whaouu » que tu viens d'émettre ne me laisse que peu de doute... Je suis contente. Mais ce n'est pas fini. Nous nous regardons toujours et mes mains viennent prendre la fermeture de ma jupe. Un crissement t'indique qu'elle est ouverte.... comme ta bouche. Je fais doucement descendre mon vêtement le long de mes jambes et l'enjambe pour m'approcher de toi. Le spectacle ne t'a pas laissé indifférent : tu as ta main à ton entre jambe et tu regardes mon corset, mes bas, mon string (mini) qui te prive un peu de la vision de mon minou.
Je m'approche, passe entre toi et ton bureau et pose mes fesses sur ton bureau devant toi. Tu me fais m'écarter légèrement et tu me descends mon string. Je me rassois sur ton bureau, te regarde dans les yeux et écartes lentement les jambes.
Mes mains passent sur mes cuisses et remontent. Caressent ma taille, suivent les baleines du corset pour venir vers mes seins. Le corset est ajusté mais je peux sortir la pointe de mes seins et je les caresses doucement. Mes doigts tournent autour des pointes qui commencent de gonfler d'excitation de te voir, bouche bée ainsi sur ton siège, en me voyant faire depuis tout à l'heure. Mes jambes sont maintenant largement écartées et sont de part et d'autre des tiennes.
Je vois tes yeux aller de mes seins à ma chatte. Je vois tes yeux sur mon corset. Je vois ta main s'approcher de moi. Je la prends et la repose sur ton accoudoir. Tu comprends et t'installe au fond de ton siège sans rien dire. Seul un sourire m'indique que tu aimes ce nouveau jeu. Un sourire et la bosse que fait ton sexe dans ton pantalon.
J'ai une main sur mon sein gauche, je le caresse, pince la pointe et recommence. J'aime.
Je te regarde et baisse ma main droite vers mon ventre que je frôle. Elle descend encore et caresse mon pubis. Mes doigts suivent la ligne de mes lèvres plusieurs fois. J'appuie un peu et ils les écartent. Un doigt atteint mon clito ce qui me fait gémir. Tes yeux sur moi.... j'aime à ce moment. Ils me prouvent que je peux t'exciter. Ton gémissement à la suite du mien m'excite également. Mon bassin a tendance à se tendre vers toi mais tu restes sage. Je continue et me caresse maintenant réellement. Mes doigts passent et repassent sur mon clito, tournent autour, passent dessus. Mes gémissements sont de plus en plus forts. Je bouge en cadence.
Ma main gauche a pris maintenant mon sein et le serre un peu, pince le bout, caresse.....
Mes doigts ont abandonné temporairement mon clito pour aller visiter mon sexe. Je te fixe et m'enfonce trèèèèèès lentement un doigt en moi.
Si moi je te fixe, toi tu fixes mes doigts sur mon sexe. Tu fixes et tu gémis mais tu restes immobile malgré la bosse que je vois sans problème et qui doit quelque peu te gêner. Un deuxième doigt est venu en renfort du premier, puis un troisième. C'est bon et je ne m'en cache pas. Tu le vois à mes yeux, à mon liquide intime qui s'écoule de moi, tu l'entends à mes gémissements de plus en plus rapprochés.
Ma main qui était sur mon sein descend et mes doigts viennent exciter mon bouton pendant que je continue à entrer et sortir mes doigts de moi. Tu as l'air d'avoir un peu de mal à trouver ta respiration. Moi aussi. Je sens que je ne suis plus très loin de la jouissance. Tu dois le deviner car tu passes de mes yeux à mon sexe. Tu ne dis mot et pourtant j'ai l'impression d'entendre tes encouragements. Je te regarde et me laisse envahir par le plaisir......
Quelques instants se passent, le temps que je retrouve mes esprits. Je te regarde, tu n'as pas bougé, ton regard me fixe.
« Ça va ? Tu te remets ? »
« hummm oui..... mais.... qu'attends-tu pour me nettoyer de ta langue ? Je ne vais pas tacher ton canapé neuf quand même !»
Tu t'approches, poses tes mains sur mes cuisses ouvertes. Elles se déplacent pour les caresser, suivre les jarretelles, caresser mon corset, remonter vers mes seins. Je te laisse faire..... Mais pas trop longtemps....
Ma main se pose sur ta tête et la pousse en avant, vers ma chatte luisante de ma jouissance. Je sens tes lèvres déposer un baiser sur mon pubis, sur mes lèvres.... Je sens ta langue s’immiscer entre mes lèvres, remonter, lécher, lécher encore, avec application, faisant remonter une douce chaleur en moi. Je sens ta langue se poser sur mon clito, tourner autour de la pointe. Je la sens se faire plate pour appuyer dessus. Je sens ta bouche vouloir l’aspirer. Je sens mon bassin s’appuyer encore plus contre ta tête que je tiens toujours contre moi. Je sens mon excitation monter et monter encore. J’hésites… j’ai très envie de jouir encore, et jouir dans ta bouche est un véritable plaisir. Ou t’arrêter là.
J’ai choisi…. Je veux profiter de ta bouche ! A peine mon cerveau a-t-il pris cette décision, que je sens les sommets du plaisir se rapprocher. Mon bassin bouge de plus en plus, ma main te presse de plus en plus contre ma chatte. Tu sembles comprendre mon état car ta langue s’agite sur mon clito. Je sens une de tes mains qui était posée sur ma hanche se déplacer et tes doigts (je ne sais combien) entrer en moi. Le fait de sentir ta langue sur mon clito et tes doigts me remplir ainsi, déclenche une jouissance qui me fait pousser des cris que je n’arrive pas à garder en moi comme je le fais d’ordinaire.
Tu continues de me lécher quelques minutes, gentiment, le temps que je revienne à moi. Je te repousse, me redresse, et viens me coller contre toi, pour t’embrasser à pleine bouche, histoire de gouter à ma jouissance. Notre baiser profond s’éternise et ma main va caresser ta braguette. Ton sexe bandé semble vouloir transpercer ton pantalon. Heureusement que tu as un sous-vêtement ou tu serais obscène (hummmm).
Je mets fin à ce baiser, pose ma tête dans le creux de ton épaule.
« Viens…. Je n’ai pas apporté le pique-nique pour rien ! Je m’occuperai de toi après….. si et seulement si….. tu es sage ….. très sage et…. obéissant »
« Je serai extrêmement sage et obéissant…. »
Je te vois sourire en me regardant. Tu sais que je vais user et abuser de ton corps pour ton plus grand plaisir (et le mien). Et que je sois d’humeur à tout décider est suffisamment rare pour que tu en profites au maximum.
« Ça va ? Tu n’es pas trop à l’étroit dans ton pantalon ?»
« Si je le suis ! »
« J’espère bien ! Mais bon je voudrais vérifier et comme je trouve qu’il fait chaud dans ton bureau…. Pose donc ton pantalon, que je profite de ton superbe corps en boxer. Et puisque tu m’as promis d’être obéissant…. Pose-moi donc tout sauf ton boxer en me faisant un petit striptease…. ».
Je te regarde avec un grand sourire très coquin en te disant ça. Je m’assieds sur ton fauteuil et attends. Tu m’as l’air très embarrassé par ma demande. C’est vrai que c’est la première fois que je te demande ça. Tu commences à déboutonner ta chemise mais bon…. Tes gestes sont très empruntés.
« Arrête ce massacre ! Je croyais que tu avais promis d’être obéissant ! Imagine une musique et fais-moi un strip sensuel comme tu aimerais que je t’en fasse ! »
Je te vois relever la tête, me regarder et je lis dans tes yeux le moment où tu décides de te lâcher. Tu m’exécutes un déshabillage tout en langueur, tes yeux dans les miens. J’aime voir tes mains poser ta chemise. J’aime voir tes mains poser ton pantalon tes yeux dans les miens. J’aime voir tes mains te caresser sensuellement le torse, les épaules…. Ton spectacle m’excite et tu le vois…. Mon ventre se serre en te voyant te pincer le bout de tes seins. J’aimerais le faire à ta place mais j’attends de voir ce que tu vas faire après.
Une de tes mains descend en te caressant le ventre, descend, et frôle ton sexe bandé. Je le vois sans peine tressauter d’excitation sous ton boxer.
« Arrête tout de suite ! Je ne t’ai pas demandé de t’exciter, si ? Laisse la tranquille. Je m’en occuperai plus tard…. Peut-être. Mais comme ton strip n’était pas mal, je vais te donner un aperçu »
Je m’approche de toi, pose tes mains le long de tes cuisses. Je pose les miennes sur tes épaules, les descend le long de tes bras, remonte. Caresse ton torse en évitant tes seins. Caresse ton ventre, ta taille, remonte. Mes doigts se posent alors sur tes tétons et, te regardant dans les yeux, je les pince de concert entre mon pouce et mon index (ce qui te rappelle que j’ai des ongles….). Je t’entends gémir et je me sens mouiller. J’arrête, pose une main sur ton épaule, vers ta nuque et de l’autre je passe mes doigts sur ton membre… qui ne demande que ça.
« J’espère que ça ira comme aperçu car tu n’auras que ça ! Viens, allons manger maintenant »
Nous faisons les quelques pas jusqu’au canapé. Tu t’assieds à côté de moi. Je commence à déballer le contenu du panier et ce que j’en sors à l’air de te satisfaire. La dernière chose que je sors est…… un ruban de soie…. Rouge.
« Donne-moi tes mains ! »
Tu es effectivement très obéissant…. Tu me tends tes mains sans un mot. Je te les attache avec ce lien.
Je pose une serviette sur tes genoux et commence à nous nourrir, bouchée par bouchée, une pour toi puis une pour moi. Le foie gras est délicieux. Le saumon également. La tâche est plus dure pour les asperges. Un peu de sauce tombe sur ton torse alors que j’approchais le légume de ta bouche. Je te regarde et me baisse légèrement pour lécher ces quelques gouttes. Ta respiration semble bloquée…. Je continue à te nourrir d’asperge et à chaque goutte, je vais te lécher, à chaque goutte je t’entends respirer plus rapidement. Je fais maintenant exprès d’être maladroite.
Nous avons fini avec le « salé », passons au sucré.
Sur la table, des ramequins de fraises, et framboises et du chocolat ainsi que du sucre glace. Je commence par tremper une fraise dans le sucre, te regarde, et la pose sur mes lèvres. Je me caresse les lèvres avec puis je la présente à ta bouche qui la croque à moitié. Je mange l’autre moitié. Je reprends une fraise, la sucre et te la propose. La aussi tu n’en manges que la moitié. Je sors un de mes seins de mon corset et frotte le jus de la fraise sur le bout de mon sein tendu. Je te regarde, tu as l’air hypnotisé par ce fruit et mon sein. Je prends ta tête et la penche pour te faire lécher le jus de la fraise qui a coulé. Ta langue lèche avec application et je ne peux retenir un gémissement de plaisir.
Je relève ta tête, pose un baiser sur ta bouche et te repousse en arrière. Ta tête repose sur l’accoudoir (rembourré). Je me lève et pose tes jambes sur le canapé. Tu es maintenant couché. Je place tes mains liées au dessus de ta tête et je me fais une petite place sur le bord vers tes genoux. J’admire ton corps et mes mains qui s’y promènent, créant sur ta peau de légers frissons.
Je prends une fraise, mords dedans et la pose sur un de tes seins. Je le caresse avec le fruit rouge, laissant le jus faire des traces sur ta peau. Je fais la même chose avec l’autre puis descend le fruit sur ton ventre, jusqu’à l’élastique de ton boxer. Je me penche et lèche la trainée faite par le fruit en commençant par le bas. Ton ventre se soulève de façon rapide à chacun de mes coups de langue. Lorsque j’arrive à ton téton gauche, je le lèche et l’aspire entre mes lèvres. Je fais subir le même sort à l’autre et tes gémissements me prouvent que tu ne trouve pas ça désagréable.
J’aime les fraises mais les framboises également, voire même encore plus.
Je prends le ramequin que je pose sur ton estomac. Je dépose une framboise sur ton nombril puis une autre en remontant. Mais les mouvements de ton ventre les font tomber.
« Arrête de bouger… Comment veux-tu que mes framboises tiennent ? »
Euhhhh tout compte fait, je crois avoir trouvé. Je prends une framboise et la trempe très légèrement dans le chocolat. Pas trop car je trouve ça écœurant s’il y en a trop et de toute façon je préfère les framboises natures mais bon…. Il faut bien qu’elles tiennent ! J’arrive, avec le chocolat, à tracer une arabesque de framboises sur ton ventre ton torse. Tu es magnifique ainsi ! A croquer ! A croquer est le mot et je compte bien en profiter. Je me lève et me penche pour picorer une framboise. Une fois avalée, je me repenche et en reprend une entre mes lèvres pour venir la poser entre les tiennes, en un baiser parfumé…. Je continue ainsi, une chacun notre tour. De temps en temps nos langues s’emmêlent pour un baiser plus profond que j’agrémente de caresses plus ou moins appuyées sur ton sexe. A chaque fois, ton bassin se lève pour s’appuyer encore plus contre ma main. Chacun de tes mouvements (et pas que ça….) me prouvent que je t’excite et j’adore ça.
Les framboises terminées, il reste encore quelques traces de chocolat que je me dois de nettoyer langoureusement. Ma langue sur ta peau semble te faire de l’effet, d’autant plus qu’une de mes mains est en train de te baisser ton boxer. Ton sexe bandé au maximum ne me facilite pas la tâche. Tu lèves ton bassin et enfin, tu es à l’air libre… J’aime ton sexe, le regarder, le caresser,…….. Et justement j’ai envie de te caresser, de mettre ma main sur cette bite qui se tend vers moi.
Mes doigts, mes ongles, te frôlent seulement dans un premier temps. Je vois ton sexe bouger tout seul sous l’excitation. Je continue de plus belle, te pinçant un peu de mes ongles par moment, appuyant plus mes caresses à d’autres moments. Tes bourses sont pleines et dures elles aussi et mes caresses ne les épargnent pas.
« S’il te plait…. J’ai été sage…. je n’en peux plus… prends moi dans ta bouche…. »
Je te regarde en souriant
« C’est vrai que tu as été très sage et que tu mérites ta récompense…. » (et une petite voix au fond de moi, me rappelle que je n’en peux plus moi non plus et que j’ai une furieuse envie de toi….)
Je te regarde, prend une fraise que je te fais manger à moitié et….. Caresse ton gland avec l’autre moitié. Je vois le jus qui coule le long de ton sexe…. Je me penche et lèche ta hampe en remontant. Arrivé au bout, je mets de multiples coups de langue et, enfin, mes lèvres se posent dessus. Elles s’entrouvrent et ton gland se retrouve dans la chaleur de ma bouche. Ma langue caresse ton frein en passant et repassant dessus. Je t’entends gémir. Je sens ton bassin se lever dans l’espoir que je fasse entrer ta bite plus à fond mais…. Non, pas pour l’instant. Je continue mes caresses sur ton gland, avec ma bouche entière, avec ma langue, avec mes lèvres, avec mes dents…. Puis…. Ma bouche sur ton gland descend pour te faire entrer en entier, ma main posée sur tes bourses. Ton cri de plaisir m’emplit de joie et d’excitation.
Je fais quelques allers-retours avec ma bouche, ma langue tournant autour de toi ou ma bouche t’aspirant….
Mais je vois bien que tu n’es pas très loin du point de non-retour et ce n’est pas là que je veux que tu jouisses. Je te veux en moi. J’ai envie de toi maintenant. Je me relève et t’enjambe. Je te regarde. Tu veux ramener tes mains vers moi pour que je te détache mais….. non. Tu ne jouiras qu’avec les sensations de ton sexe dans le mien.
Je me baisse et ton sexe s’appuie contre mon clito qui est lui aussi gonflé d’excitation. J’en gémis. Je fais glisser ton sexe une fois ou deux contre moi. Je sais que je suis trempée. Je me relève légèrement et fait coulisser ton sexe, lentement, très lentement en moi. Je veux profiter des sensations qu’il me procure, du plaisir qu’il me donne d’être ainsi emplie de toi.
Je me penche vers toi et pose mes mains de chaque côté de ta tête et appuie mon bassin contre le tien. Je te veux au fond de moi. Toi aussi car tu lèves ton bassin de ton côté. Mes mouvements au-dessus de toi se font amples en profonds. Je me mords les lèvres de plaisir en gémissant. Tes propres gémissements m’excitent. En fait, nous sommes à bout tous les deux. Nos regards s’accrochent et mon ventre se serre. Je jouis en m’empalant sur toi, à fond comme nous aimons. Les crispations de mon ventre déclenchent ta jouissance également. Je t’offre un baiser léger puis un autre moins léger…..
« Merci mon ange »
Murmurais-je contre ton oreille avant de t’embrasser doucement dans le cou en te détachant…..
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Par Valsou le 21 Février 2018 à 20:50
Elle avait décidé de lui faire une surprise en ce vendredi soir de la saint Valentin. Ils n’avaient rien de prévu de particulier et elle voulait lui faire plaisir. Aussi, depuis ce matin, elle avait astiqué la maison, fait les courses, préparé le repas avec soin. Une partie de l’après-midi avait été consacré à elle. Elle avait pris un long bain moussant, s’était épilée,… Elle avait mis une guêpière en dentelle. Une guêpière qui laissait ses seins libres. Elle pensait qu’il aimerait les avoir à sa disposition pour les pincer et les mordre selon son bon vouloir. Là, assise sur son lit, elle était en train de pester contre ses bas qui ne voulaient pas s’attacher comme elle le souhaitait après ses jarretelles. Une fois la couture n’était pas droite, une fois elle en avait filé un et là, la jarretelle. Elle n’était vraiment pas douée se disait-elle en souriant. Une fois ses bas enfin attachés, elle mit son string, ses sandales à talons et ses bijoux.
La table était dressée, le repas était soit dans le réfrigérateur soit en train de mijoter, elle se regarda rapidement dans le miroir puis alla l’attendre dans le salon. Au bruit de la voiture se garant devant la maison, elle se mit rapidement sur ses pieds et se place juste devant la porte.
Lorsqu’il entre, qu’il voit sa tenue, il lui sourit, pose ses clés et s’approche d’elle, près, très près. Il se penche sur sa bouche pour l’embrasser profondément alors que ses mains se posent sur ses seins. Alors que sa langue tourne, ses doigts pincent très fort la pointe de ses seins, attendant ses cris qui seront étouffés par sa bouche, attendant que son corps se tende. Il les desserre dès qu’il la sent répondre comme il le souhaite et caresse ses seins maintenant avec tendresse. Il la regarde en souriant.
« Très bon accueil, j’apprécie »
« Merci. Je te sers ton whisky dans le salon… »
« D’accord »
Elle va à la cuisine, remue sa purée de carottes, arrose ses tomates dans le four vérifie que le poisson n’est pas trop cuit et alors qu’elle se penche pour prendre la bouteille, elle le sens derrière elle. Elle le sent douloureusement du reste, puisqu’il vient de lui mettre une grande claque sur la fesse droite la faisant se relever rapidement.
« Re-penche toi immédiatement, j’aime la vue ! Et comme ça, tu auras chaud au moins ici »
N’hésitant qu’une seconde, elle se repenche.
Elle sent ses mains lui caressant les hanches, passant sous elle pour pincer la pointe de ses seins la faisant gémir, puis…. Des claques sur chacune de ses fesses, suivies par des caresses. Elle a chaud effectivement maintenant. Elles doivent être rouges pense-t-elle en souriant. Il faut dire qu’elle aime ce traitement. Au début, elle en avait un peu honte, voire beaucoup. Maintenant, elle aimait. Et il le savait parfaitement.
Ses pensées reviennent rapidement à ses fesses lorsqu’elle le sent les écarter, pousser la ficelle du string sur le côté et caresser son anus, d’un doigt qu’elle pense lubrifié vu l’aisance avec laquelle il la pénètre.
« Cambre-toi »
Un deuxième doigt puis un troisième. Elle est un peu gênée comme toujours avec cette caresse même si elle sait pertinemment qu’elle apprécie au fond d’elle.
Les doigts la quittent, vite remplacés par ce qu’elle reconnait être son plug. Enfoncé comme il faut, son Maître la relève, lui claque la fesse gauche en la regardant dans les yeux, puis l’embrasse, lui mordant légèrement la lèvre inférieure.
« Il me semble que j’attends mon apéritif depuis un moment… »
Elle le regarde en souriant…
« J’arrive, va t’installer »
Elle termine de préparer le plateau d’apéritif et l’apporte dans le salon.
A chaque pas, chaque mouvement, elle sent ce qu’elle porte au creux de ses reins et elle aime cette sensation. Elle pose le plateau sur la petite table en se penchant légèrement. Il en profite pour venir faire bouger ce plug d’une main, de l’autre allant vers sa chatte, enfonçant deux doigts…. Plus que facilement.
« Eh bien…. C’est la fessée ou le plug ? »
« Euhhh… les deux je pense… »
« Penche-toi un peu vers moi en me regardant »
Elle s’exécute et le voit, souriant comme toujours, lui montrant entre ses doigts deux pinces métalliques.
« Alors tu vas aimer ça » lui dit-il en les accrochant à ses seins.
Elle gémit un peu mais les mains de son Maître sur ses seins… elle adore.
« Assied-toi »
Elle s’assoie en face de lui, le regarde d’un air un peu moins bravache que tout à l’heure.
« Bouge sur le siège, histoire que le plug se rappelle à toi »
Il la regarde. Il aime la regarder tout autant qu’elle aime le regarder lui semble-t-il. Un savant mélange de soumission et de tendresse qu’ils apprécient l’un et l’autre. Et là, la voir bouger comme il le lui a demandé, les pinces enserrant les pointes de ses seins, ses reins pris, il adore.
L’apéritif se passe, les pinces sont retirées au bout de quelques minutes car il n’a pas pour objectif de la faire souffrir plus qu’elle ne pourrait supporter. Mais en échange…
« Viens t’assoir vers moi »
Elle obéit. A peine assise, elle sent sa bouche se poser sur un sein pour l’embrasser puis, elle sent ses dents qui serrent, serrent. Là aussi, il arrête lorsqu’il sent sa réaction, lorsqu’il entend son cri. Il fait de même avec l’autre.
Elle adore qu’il s’occupe ainsi de ses seins. Même si ça fait mal. Le plaisir qu’elle a avec ses caresses juste après, compense largement. Elle aime vraiment les deux.
« Nous passons à table ? »
« Bien sur… vas-y, j’arrive avec l’entrée »
Elle va chercher les deux assiettes d’entrée, pose la première devant son Maître.
« Ecarte les jambes…. Encore plus »
« Tu es trempée dis-moi… tant mieux… ça rentrera tout seul ! »
Elle se demande de quoi il parle, lorsqu’elle sent une sorte de boule entrer en elle. Son œuf ! Il n’a pas mis longtemps pour récupérer tout le matériel tout à l’heure se dit-elle….
Il l’enfonce bien, ce qui n’est pas chose aisée puisque le plug occupe un peu de place mais, il y parvient sans trop de problème.
« C’est bon, vient t’assoir maintenant »
Elle pose l’assiette qu’elle tenait toujours, devant elle et s’assied.
Alors qu’elle commençait à discuter, se décontractant un peu, elle sursaute. Elle sent les vibrations de l’œuf s’enclencher, vibrations propageant jusqu’au plug, augmentant encore les sensations.
Décidemment, ce repas ne se déroule pas tout à fait comme elle l’avait imaginé mais…. Elle l’apprécie d’autant plus. Et la soirée n’est pas finie, se dit-elle, bougeant les reins de plaisir….
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Par Valsou le 21 Février 2018 à 18:13
Un des textes dont je suis la plus fière je pense... Le dernier avant une longue, très très longue traversée du désert niveau écriture.
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Pour l’instant elle se retenait de se serrer les mains. Elle tenait, presque de façon naturelle, son dossier sur ses genoux. Elle l’espérait en tout cas.
Elle sursaute lorsque, tout à coup, l’homme qui est venu chercher la dernière candidate, se présente devant elle. L’entretien n’a vraiment pas duré longtemps se dit-elle.
Elle se lève précipitamment en croisant le regard de l’homme, un peu froid, que son sourire de façade ne vient pas atténuer. Elle le suit dans le dédale de couloirs, marchant assez vite pour ne pas se laisser distancer.
Enfin, il la fait entrer dans une pièce spacieuse. Un grand bureau moderne fait face à deux chaises qui semblent confortables. Un coin est aménagé avec une sorte de banquette et une table basse.
Après l’avoir invité à s’assoir, le DRH la regarde en silence depuis son fauteuil. Elle ne sait pas trop quelle attitude adopter. Après quelques minutes, alors qu’elle ouvre la bouche pour demander comment allait se passer cet entretien, il la devance d’une micro seconde.
« Je me demandais quand est-ce que vous alliez parler. Que vous ne soyez pas une pipelette me convient très bien mais j’espère que vous savez ouvrir la bouche quand il le faut »
Durant un instant, elle se demande si c’est elle qui a l’esprit mal tourné où si, effectivement, la phrase a un second sens.
Sa bouche qui s’était arrondie sous la surprise, se referme brusquement.
« Ne la refermez pas tout de suite. Tout d’abord, vous allez me parler de vous, de votre parcours, de vos ambitions puis vous m’expliquerez pour quelle raison je vous prendrais vous, plutôt qu’une autre. Ensuite, je présenterai l’entreprise et sa culture et nous terminerons peut-être par une phase un peu moins formelle… Ca dépendra de vous… »
Elle se redresse, rassemble rapidement ses idées, puis se lance dans son exposé, s’interrompant par moment pour montrer certains documents ou pour répondre aux questions de son interlocuteur.
A son tour, il prend la parole, présente l’entreprise, le poste, les perspectives de carrière. Elle l’écoute, pose des questions lorsqu’elle veut un éclaircissement ou une précision. Elle se sent plus à l’aise dans cette phase.
Au bout de quelques minutes, un blanc, où il la regarde fixement. Elle hésite entre le regarder dans les yeux ou baisser les yeux mais… après avoir croisé son regard redevenu dur, elle ne peut s’empêcher de regarder ailleurs, sur le bureau, au sol…..
« Votre profil m’intéresse j’avoue… en ce qui concerne votre personnalité, je dois approfondir. Je vous propose donc de passer à la phase moins formelle de cet entretien. C’est d’accord pour vous ? »
Elle est tellement heureuse d’avoir entendu que son profil l’intéressait, qu’elle ne prend pas la peine de réfléchir. Elle lève la tête, sourit, et donne son accord.
« Très bien…. Avez-vous un petit ami ou une petite amie dans votre vie ? »
« Je n’ai pas de petit ami non »
« Et petite amie ? »
« Je ne suis pas lesbienne »
« Vous n’avez jamais eu envie d’essayer ? »
« Non jamais »
« On verra ça… Qu’aimez-vous dans le sexe ? »
« Euh…. Quel rapport avec le travail ? Enfin… si je peux me permettre Monsieur »
« Aucun. A part que vous allez passer vos journées avec moi, que là, tout de suite, je pose des questions et vous, votre travail, c’est d’y répondre et sans perdre de temps en bavardage ou digression. Est-ce compris ? »
Un "oui" léger passe ses lèvres alors qu’elle baisse la tête.
« Pardon ? »
Elle relève la tête rapidement et la rebaisse tout aussi rapidement, après avoir dit un « oui » un peu plus appuyé.
« Bien…. »
Durant les 10 minutes qui suivent, elle a l’impression d’avouer la moindre de ses pensées personnelles, le moindre de ses fantasmes. Elle a l’impression d’avoir été dépossédée de toute intimité. Elle ne sait pas trop comment cela s’est fait mais… c’est ainsi. Elle aurait pu se lever et partir mais… elle est restée et a répondu à ses questions très… très....
Elle se dit que ce travail risque d’être tout sauf… purement administratif mais en même temps, se sentir sous son regard, répondre à ses questions gênantes, elle aime et se sent fondre. Elle a beau se dire que ce n’est pas normal, que beaucoup d’autres femmes seraient parties à sa place, elle, elle reste, assise, le buste droit sur sa chaise, son regard allant du sol au bleu de son regard.
« Bon… ultime test… Suivez-moi très chère »
Elle se lève en prenant sa main et le suit sans discuter en direction d’une porte sur le côté.
« Cet endroit, comme vous le voyez, a une porte communicante. Si, comme je le pense, vous devenez mon assistante, alors ce bureau sera le votre et j’ose croire que vous y passerez des heures plaisantes. Cette porte-ci donne sur le couloir et mes visiteurs devront passer sur…. par votre bureau pour me voir. Comme vous le constatez, vous avez tout le matériel nécessaire et même plus. Un grand bureau, ordinateur, fax, téléphone, imprimante laser couleur. Vous avez mon agenda sur le réseau et nous pouvons discuter tous les deux, pour m’avertir de l’arrivée d’un visiteur par exemple, par la messagerie interne. Les canapés et les revues sont pour l’attente des visiteurs. Dans la pièce d’à-côté, vous avez un réfrigérateur, une nespresso (mais sans Georges Clooney), une douche et… diverses choses dont je vous parlerai en temps utiles. Je ne vous cache pas que je suis très exigeant mais… je sais récompenser. Avez-vous des questions ? »
« Euhhhh oui…. Cette chaise est-elle normale ? Il y a un trou au milieu…. »
« Ah…. Non excusez-moi. Je répare cette erreur immédiatement »
Elle le voit aller d’un pas vif dans la pièce adjacente et revenir quelques secondes après avec un objet dans les mains, objet qu’elle ne voit pas bien d’où elle est. Il va vers la chaise, se penche, fait comme s’il bricolait. Quelques minutes puis il s’écarte. Il lui présente la chaise d’un geste ample.
« La voilà prête à vous recevoir. Asseyez-vous et je vais vous dicter un petit quelque chose histoire de voir vos compétences en dactylo »
Sa bouche s’est transformée en O de stupéfaction lorsqu’il s’est poussé et qu’elle a vu la chaise. Mais… qu’il lui demande de s’assoir dessus….
« Que je…. »
« Que vous… oui. Il y a un mot que vous n’avez pas compris dans ma phrase ? Si c’est le cas, je vais avoir du mal pour faire plus simple et me faire comprendre »
« Mais je…. je ne…. Ce n’est pas….. possible »
« Très possible et vous allez le faire. De plus, vous avez de la chance, vous êtes en jupe. Imaginez si vous étiez venue en pantalon aujourd’hui »
Elle le regarde, alternant avec un regard vers cette chaise très…. Particulière. A la place du trou de tout à l’heure, se dresse maintenant un sexe d’homme en plastique…
Ses pensées tournent à toute allure dans son cerveau.
Il le voit, le sent. Il la croit suffisamment ouverte et soumise pour qu’elle le fasse mais il veut lui laisser du temps. Il ne veut pas plus la forcer que ça, préférant qu’elle admette d’elle-même qu’elle peut le faire, quitte à la pousser juste un peu… suffisamment…
[le faire ou ne pas le faire ? Si je ne le fais pas, je peux dire au revoir au poste. Mais je n’ai jamais rien fait de pareil bon sang… Comment peut-il me demander de faire ça devant lui et à un entretien d’embauche… enfin… entretien… Mais si je le fais, c’est la honte quand même… Je ne dois pas être la première nana qu’il voit mais bon… et puis… il n’a pas tort, avec ma jupe, je peux cacher l’essentiel je pense. Bon… Pour la taille… il doit être quasiment de la taille du mien voire même un peu plus petit mais quand même…. rhooo… ce n’est pas la mer à boire. Ca peut même être assez excitant. Aller… de toute façon le faire comme ça, obéir de façon aveugle à ton patron c’est un de tes fantasmes alors vas-y… tu risques quoi ?...]
Il la regarde depuis tout à l’heure et voit à quel instant elle baisse les armes. Il avait raison… il a toujours raison de toute façon se dit-il en souriant, d’une manière peu modeste mais… avec justesse.
Elle regarde la chaise, inspire profondément pour se donner du courage, le regarde un éclair de fierté dans le regard. Elle relèvera ce qu’elle considère comme un défi.
Il la regarde se diriger vers le bureau, fixant la chaise.
« si besoin est… vous avez de quoi vous aider dans le premier tiroir de droite »
Se demandant de quoi il parle, elle ouvre le tiroir et voit du petit matériel de bureau tels que des pinces et de gros élastiques mais également des choses moins traditionnelles dans ce lieu comme des préservatifs et… du lubrifiant.
Elle n’y avait pas pensé. C’est une chose de se dire que l’on va montrer de quoi on est fait, que l’on va y arriver mais… c’en est une autre que de passer à l’exécution. Là, elle se sent godiche. Elle ne sait même pas si elle en aura besoin de ce foutu lubrifiant. Elle suppose que non mais qui sait si cette gêne ne l’aura pas coupée dans l’excitation qu’elle a pu ressentir tout à l’heure en répondant à ses questions plus qu’indiscrètes. Et vérifier son état devant lui c’est… plus que gênant. Et puis, comme souvent, elle se dit qu’elle avisera au fur et à mesure. Là, le plus urgent est d’essayer d’oublier qu’il est en train de la regarder alors qu'elle sent ses yeux fixés sur le moindre de ses gestes.
Elle allait presque y parvenir et avait commencé de se positionner juste devant la chaise, lorsque…
« Vous ne portez pas de culotte ? Parce que si vous en portez une, ça va être moins pratique pour vous, là… »
Et mince…. Elle aurait pu jurer qu’il souriait en disant ça. Oui évidemment qu’elle avait quelque chose. Pas une culotte, un string mais bon… quand même, maintenant qu’il lui avait fait penser à ça, elle se dit qu’elle ferait mieux de le poser sous peine de risquer l’irritation. Elle se reproche de ne pas y avoir pensé toute seule et secoue la tête en se traitant d’idiote.
Elle respire, se redresse, lui sourit, d’un sourire un peu crispé. Elle se baisse légèrement, passe ses mains sur les deux côtés de la jupe en laissant le devant soigneusement caché, baisse son string, le retire, le prend dans sa main et… fait quelque pas pour le mettre dans la poche de la veste du DRH. Il la regarde un peu stupéfait de son geste. Il ne l’aurait pas cru capable de faire ça. Il sourit.
Elle se retourne et se place devant la chaise. Elle procède comme il y a quelques minutes, montant sa jupe de manière à ce qu’il ne voit rien. Elle ne le regarde pas, fait comme si elle était seule.
Il la voit faire et a bien deviné qu’elle voudrait bien faire ça en toute discrétion. Mais… hors de question de la laisser gagner à ce petit jeu. Elle l’a déjà surpris, là, c’est son tour.
« Relevez la jupe jusqu’à la taille. Tenez-la d’une main et regardez-moi. Si vous n’y arrivez pas… vous pouvez toujours ôter votre jupe » dit-il avec un léger sourire en coin.
Mince !!! Elle lève la tête un éclair dans les yeux mais…. La baisse instantanément en voyant son regard. Pendant quelques courtes secondes, elle se demande s’il sera plus pratique de poser sa jupe, quitte à se trouver quasi nue devant un inconnu ou s’il est plus envisageable de tenir le vêtement et de préserver un semblant de pudeur. Cette réflexion la fait sourire, un peu jaune, intérieurement. Vouloir garder de la pudeur alors qu’elle s’apprête à s’assoir sur un gode devant ce même inconnu… n’importe quoi !
Son esprit pratique l’emporte… elle préfère avoir les mains libres pour se tenir au bureau si besoin est. Elle fait donc descendre la jupe qu’elle plie et pose sur le dossier de la chaise. Elle n’est pas très fière dans cette tenue, sachant ce qu’elle va devoir faire. Mais…. Une respiration de courage et elle se replace devant la chaise. Elle sort la petite fiole de lubrifiant en pensant que, vu la situation, elle en aura besoin. Elle en met dans le creux de sa main et en enduit le godemichet. Elle écarte les jambes en essayant de ne pas penser, de ne pas voir que le DRH s’est déplacé de l’autre côté du bureau, face à elle. Elle écarte les jambes, tenant d’une main la chaise et de l’autre, faisant glisser rapidement, l’air de rien (enfin…. Elle l’espère), son index entre ses lèvres.
Ses doigts se stoppent brusquement en constatant qu’elle est mouillée, complètement. Sans réfléchir, elle relève la tête et le regarde d’un air stupéfait. Il la regarde, souriant, ayant facilement compris ce qui a pu la surprendre et qui lui, ne le surprend pas.
Cette constatation la rassure un peu. Ce n’est pas qu’elle avait peur mais bon… enfin.. si un peu quand même….
Elle se positionne au-dessus de ce sexe d’imitation et descend doucement. Le gland passé, elle remonte un peu pour mieux redescendre, jusqu’au bout. Elle fait quelques essais pour trouver la bonne position assise sur cette étonnante chaise puis fait glisser la chaise pour se trouver devant l’ordinateur.
Le DRH se déplace et se positionne derrière elle. Il se penche, pose ses mains sur ses seins. Juste une très légère crispation mais elle ne dit rien… Ces mains sont agréables….
« Très agréable spectacle, merci… La position vous convient ? rien de douloureux ? »
Elle est un peu surprise qu’il s’en inquiète mais cela contribue à la rassurer. Elle lui confirme que tout va bien d’un hochement de tête.
« Maintenant, nous allons voir comment vous vous débrouillez avec vos doigts. Je vais vous dicter quelques phrases que vous allez saisir sur Word. Pour chaque faute de frappe, vous aurez une claque sur les fesses. Vous avez compris ? »
« Oui »
« Ah…. Avant que je n’oublie… Vous n’avez pas le droit de vous arrêter de saisir quoi qu’il se passe, quoi que vous entendiez. C’est toujours clair ? »
« Oui »
« Bien… Vu votre tenue, je pense que vous pouvez ôter le haut maintenant. »
« Je… »
« Quoi ? »
« Je… non rien »
« bieeennnn »
Elle a le choix. Soit se lever pour tout poser (mais cela signifie aussi se lever du sexe en elle puis, s’y remettre), soit essayer sans trop bouger… Elle parvient à enlever son tshirt sans problème et le pose avec sa jupe, sans avoir eu besoin de se lever. Elle se repositionne correctement face au clavier et à son écran et attend sagement.
De part ses études, elle sait saisir un texte sans regarder ses mains et elle s’en félicite souvent. D’une part car cela fait plus professionnel et d’autre part car ça lui permet de se concentrer sur ce qu’elle entend ou lit. Aujourd’hui, se concentrer pose plus de problème. Nue devant le poste de travail, devant un homme que l’on n’avait jamais vu… c’est déjà déstabilisant mais écouter ces paroles…. l’est encore plus d’après elle. Elle pensait présenter un vulgaire courrier mais certainement pas un texte de ce genre….
[…]Ils déambulent tranquillement dans les rayons hi-fi, informatique et arrivent dans les livres. Elle jette un coup d’œil intéressé vers un ouvrage à la couverture équivoque puis le prend pour en lire le résumé. Sa lecture s’interrompt en sentant le souffle de son Maître dans le creux de son oreille…
« Ecarte les jambes en lisant »
Ses bras la tourne légèrement afin qu’elle ait le dos opposé aux clients qui pourraient éventuellement passer puis relève le devant de sa jupe. Vu comme ça, personne ne pouvait se douter de ce que qu’il lui faisait et pourtant elle le regarde bouche bée par l’audace…. sa main est venue se poser sur sa cuisse nue et est remontée pour vérifier, pour apprécier...
Elle bouge un peu pour presser son pubis contre sa main.
« Tu es vraiment une petite…. »
« Oui »
Il pince ses lèvres de ses ongles d’une manière un peu forte, lui faisant pousser un gémissement.
« Chut ! »
Elle sert les lèvres pour éviter que le moindre son ne les franchisse à nouveau.
Il ne sourit pas et pourtant, elle devine en voyant ses yeux que la situation lui plait.
Après quelques instants de ce traitement, sa main se retire et laisses la jupe redescendre. Il l’embrasse dans le cou puis, l’air de rien, souriant, pince fortement un de ses tétons, la regardant faire un effort pour ne pas gémir.[…]
Il lui est déjà arrivé de lire des textes érotiques sur les forums ou les blogs mais là, l’entendre dans la situation où elle est et devoir se concentrer sur les mots pour les taper sur le clavier…. Cela devient compliqué. D’autant plus compliqué que cette histoire l’excite et que l’excitation la fait remuer sur sa chaise….
Il s’interrompt et se penche pour mieux regarder ce qu’elle a écrit. Se faisant, il en profite pour poser ses mains sur ses épaules et les descendre doucement jusqu’à ses seins et pincer ses tétons érigés.
« Ca vous fait de l’effet d’après ce que je sens et ce que je vois… vous avez laissé 2 fautes. Il faudrait plus vous concentrer je crois. Surtout si vous ne voulez pas avoir les fesses trop rouges en repartant tout à l’heure… »
Elle rougit et corrige rapidement les fautes de frappe.
« Le fait que vous ne regardiez pas votre clavier offre des opportunités certaines… Aller, on continue encore un peu et je vais voir ça »
Il reprend l’histoire tout en lui caressant ou en lui pinçant un sein, à l’envie. A un moment, ses mains s’éloignent de sa peau, la laissant un peu frissonnante. Elle n’a pas le temps d’y réfléchir qu’elle sent le sexe sur lequel elle est assise, vibrer. Surprise, elle sursaute et rate un mot. Un « attention ! » la rappelle à l’ordre.
Elle se reprend, essaie tant bien que mal de se concentrer sur les mots qu’elle entend et les mots qui s’affichent sur l’écran. Elle n’entend pas le bruit d’un zip, pourtant proche mais elle se trouble lorsqu’il lui tourne légèrement la tête en lui plaçant son sexe contre ses lèvres.
« Continuez de taper en ouvrant la bouche ! Je croyais que les femmes étaient réputées pour être capable de faire deux choses en même temps ! »
En une seconde, elle le regarde, regarde ce membre bandé posé sur le rouge de ses lèvres et…. Ouvre.
Il continue sa dictée quelques instants, profitant de l’érotique fellation qu’elle lui prodigue, jusqu’au moment où l’envie d’autre chose se fait sentir. Il se retire de sa bouche avec regret, lui pinçant un téton dans le même temps.
« Levez-vous »
Elle s’exécute doucement, n’oubliant pas ce qu’elle a dans la chatte. Elle a honte en voyant la trace d’excitation qui a glissé le long du vibro et la tache sur la chaise.
« On s’est bien amusée je vois…. »
Elle ne sait plus où se mettre et baisse la tête.
« Allez, venez ici et penchez-vous bien »
Elle se place comme il vient de le demander, penchée, les seins effleurant le haut froid du bureau, s’appuyant sur les coudes.
Elle le sent derrière elle. Ou plutôt, elle sent son sexe se poser sur la raie de ses fesses alors qu’il se penche sur elle, prenant ses bras pour les lui mettre le long de son corps, appuyant ses seins et son ventre contre le meuble.
« J’ai compté 7 fautes, ce qui, vu les conditions, n’est pas mal du tout. Ce qui vous fait donc 7 claques sur ce postérieur qui est en train de me chauffer. Mais 7… une fesse sera jalouse. Alors je vous propose de monter à 8, histoire d’équilibrer les choses. Qu’en pensez-vous ? »
« Mais faites donc… je m’en voudrais de vous priver de ce plaisir »
Elle a dit ça instinctivement, sans réfléchir une seconde, sur le ton de la conversation. Deux secondes après, elle prend conscience de ce qu’elle vient de dire et…
« Euh…. Enfin… je voulais dire…. »
« Rien du tout. Ce qui est dit, est dit. Ce sera donc 8 »
Elle le sent s’écarter d’elle, elle sent ses mains se poser sur ses fesses, les caressant doucement pour l’instant.
« Je n’aime pas compter, faites le donc pour nous deux et à voix haute s’il vous plait »
La première claque la prend par surprise, la faisant sursauter et pousser un petit cri.
« Un »
L’autre fesse.
« Deux »
Les deux étaient parfaitement supportables et elle se décontracte, un peu.
« Trois »
« Quatre »
Les deux suivantes sont un peu plus fortes, tout comme ses gémissements qui se font un peu plus sonores.
« Cinq »
« Six »
« Tout va bien ? »
Un petit « oui » sort de sa bouche.
« Pardon ? »
Elle tourne la tête, le regarde et… « J’ai dit Oui »
« Très bien. Mais ce ton vous vaudra deux de plus »
« Mais je…. »
« Quoi ? »
« Je…. non, non, rien… excusez-moi »
« Je préfère. J’en étais à combien ? »
« six »
« Bien »
« Sept »
« Huit »
Ces deux là… elle les a très bien senties. Elle ne sait pas si c’est car elle en a déjà eu six avant ou si c’est car il a frappé plus fort mais… ses fesses commencent à chauffer sérieusement.
« Neuf »
« Dix »
Elle va pour se relever en posant ses mains sur ses fesses, lorsqu’elle sent ses mains se poser au creux de ses reins et appuyer, lui faisant comprendre de rester encore dans cette position.
Une caresse sur ses rondeurs rougies. Une caresse qui descend et qui se transforme en un doigtage en règle. Elle aurait pu refuser là encore mais…. Non. En fait non. Elle ne le peut plus. Elle le sent. Il y a un long moment déjà qu’elle a déposé les armes aux pieds de cet homme. Elle se laisse d’autant plus faire que ses caresses sont très excitantes.
Elle le sent écarter ses fesses, ses lèvres, passer un doigt, bien le mouiller à son humidité intime et…. Le poser sur ses autres lèvres. Elle ouvre la bouche et vient faire tourner sa langue autour de l’index.
« Biennnnn »
Une claque, légère cette fois, sur son popotin. Une main qui la fait se redresser, gentiment.
« On va s’arrêter là pour aujourd’hui. Il ne faut pas oublier que ce n’était qu’un entretien d’embauche… » dit-il en souriant. « Ceci dit, je peux vous dire depuis maintenant que si le travail vous convient, vous pouvez commencer lundi »
Elle le regarde avec de grands yeux, la bouche ouverte…
« C’est vrai ? Vous me prenez ? »
« Non pas aujourd’hui sexuellement parlant. Mais pour le poste d’assistante, oui je vous prends »
« Euh… oui… enfin… c’est ce que je voulais dire… »
« Alors… vous avez eu l’entretien et un aperçu, très très léger aperçu je vous préviens tout de suite, de ce que pourra être votre poste. Vous êtes toujours d’accord ? »
« Oh oui ! »
Elle a envie de sauter de joie tellement elle est contente. Le poste est intéressant même s’il y a des aspects qu’elle n’aurait pas devinés et l’homme est…. séduisant, ce qui ne gâche rien. Elle appréhende un peu, pour ce qu’il pourrait lui demander mais bon… non… elle veut tenter !
« Très bien. Vous aurez de toute façon un mois d’essai et nous ferons le point d’ici quinze jours. D’ici là, j’espère que vous avez compris que vous êtes à moi, vous et votre corps »
« Oui, je l’ai bien compris »
« Très bien. Vous pouvez utiliser le cabinet de toilette pour vous nettoyer un peu et vous rhabiller. Vous reviendrez dans mon bureau ensuite pour récupérer les papiers »
Elle se nettoie rapidement, s’habille encore plus rapidement, passe par son bureau, prend les papiers et le salue.
En passant devant l’accueil, elle salue l’hôtesse qui lui répond dans un sourire « Vu la longueur de l’entretien, je suppose que l’on va vous voir parmi nous dès la semaine prochaine…. »
Elle la regarde, stupéfaite, baisse la tête, se mord les lèvres et puis…. Se redresse… et la regarde, souriant elle aussi « Oui, vous avez tout à fait raison. Je commence lundi »
« Félicitations alors, et bienvenue »
Elle s’en va, souriante….
Il la regarde traverser le parking depuis la fenêtre de son bureau.
Elle a aimé cette relation particulière. Il en est persuadé. Il devine en elle des dispositions certaines et son caractère, affirmé par moments, soumis à d’autres, lui plait.
Il sourit tout seul…. Oui… elle fera parfaitement l’affaire à ce poste….
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