• Un soir de Saint Valentin

    Elle avait décidé de lui faire une surprise en ce vendredi soir de la saint Valentin. Ils n’avaient rien de prévu de particulier et elle voulait lui faire plaisir. Aussi, depuis ce matin, elle avait astiqué la maison, fait les courses, préparé le repas avec soin. Une partie de l’après-midi avait été consacré à elle. Elle avait pris un long bain moussant, s’était épilée,… Elle avait mis une guêpière en dentelle. Une guêpière qui laissait ses seins libres. Elle pensait qu’il aimerait les avoir à sa disposition pour les pincer et les mordre selon son bon vouloir. Là, assise sur son lit, elle était en train de pester contre ses bas qui ne voulaient pas s’attacher comme elle le souhaitait après ses jarretelles. Une fois la couture n’était pas droite, une fois elle en avait filé un et là, la jarretelle. Elle n’était vraiment pas douée se disait-elle en souriant. Une fois ses bas enfin attachés, elle mit son string, ses sandales à talons et ses bijoux.

    La table était dressée, le repas était soit dans le réfrigérateur soit en train de mijoter, elle se regarda rapidement dans le miroir puis alla l’attendre dans le salon. Au bruit de la voiture se garant devant la maison, elle se mit rapidement sur ses pieds et se place juste devant la porte.

    Lorsqu’il entre, qu’il voit sa tenue, il lui sourit, pose ses clés et s’approche d’elle, près, très près. Il se penche sur sa bouche pour l’embrasser profondément alors que ses mains se posent sur ses seins. Alors que sa langue tourne, ses doigts pincent très fort la pointe de ses seins, attendant ses cris qui seront étouffés par sa bouche, attendant que son corps se tende. Il les desserre dès qu’il la sent répondre comme il le souhaite et caresse ses seins maintenant avec tendresse. Il la regarde en souriant.

    « Très bon accueil, j’apprécie »

    « Merci. Je te sers ton whisky dans le salon… »

    « D’accord »

    Elle va à la cuisine, remue sa purée de carottes, arrose ses tomates dans le four vérifie que le poisson n’est pas trop cuit et alors qu’elle se penche pour prendre la bouteille, elle le sens derrière elle. Elle le sent douloureusement du reste, puisqu’il vient de lui mettre une grande claque sur la fesse droite la faisant se relever rapidement.

    « Re-penche toi immédiatement, j’aime la vue ! Et comme ça, tu auras chaud au moins ici »

    N’hésitant qu’une seconde, elle se repenche.

    Elle sent ses mains lui caressant les hanches, passant sous elle pour pincer la pointe de ses seins la faisant gémir, puis…. Des claques sur chacune de ses fesses, suivies par des caresses. Elle a chaud effectivement maintenant. Elles doivent être rouges pense-t-elle en souriant. Il faut dire qu’elle aime ce traitement. Au début, elle en avait un peu honte, voire beaucoup. Maintenant, elle aimait. Et il le savait parfaitement.

    Ses pensées reviennent rapidement à ses fesses lorsqu’elle le sent les écarter, pousser la ficelle du string sur le côté et caresser son anus, d’un doigt qu’elle pense lubrifié vu l’aisance avec laquelle il la pénètre.

    « Cambre-toi »

    Un deuxième doigt puis un troisième. Elle est un peu gênée comme toujours avec cette caresse même si elle sait pertinemment qu’elle apprécie au fond d’elle.

    Les doigts la quittent, vite remplacés par ce qu’elle reconnait être son plug. Enfoncé comme il faut, son Maître la relève, lui claque la fesse gauche en la regardant dans les yeux, puis l’embrasse, lui mordant légèrement la lèvre inférieure.

    « Il me semble que j’attends mon apéritif depuis un moment… »

    Elle le regarde en souriant…

    « J’arrive, va t’installer »

    Elle termine de préparer le plateau d’apéritif et l’apporte dans le salon.

    A chaque pas, chaque mouvement, elle sent ce qu’elle porte au creux de ses reins et elle aime cette sensation. Elle pose le plateau sur la petite table en se penchant légèrement. Il en profite pour venir faire bouger ce plug d’une main, de l’autre allant vers sa chatte, enfonçant deux doigts…. Plus que facilement.

    « Eh bien…. C’est la fessée ou le plug ? »

    « Euhhh… les deux je pense… »

    « Penche-toi un peu vers moi en me regardant »

    Elle s’exécute et le voit, souriant comme toujours, lui montrant entre ses doigts deux pinces métalliques.

    « Alors tu vas aimer ça » lui dit-il en les accrochant à ses seins.

    Elle gémit un peu mais les mains de son Maître sur ses seins… elle adore.

    « Assied-toi »

    Elle s’assoie en face de lui, le regarde d’un air un peu moins bravache que tout à l’heure.

    « Bouge sur le siège, histoire que le plug se rappelle à toi »

    Il la regarde. Il aime la regarder tout autant qu’elle aime le regarder lui semble-t-il. Un savant mélange de soumission et de tendresse qu’ils apprécient l’un et l’autre. Et là, la voir bouger comme il le lui a demandé, les  pinces enserrant les pointes de ses seins, ses reins pris, il adore.

    L’apéritif se passe, les pinces sont retirées au bout de quelques minutes car il n’a pas pour objectif de la faire souffrir plus qu’elle ne pourrait supporter. Mais en échange…

    « Viens t’assoir vers moi »

    Elle obéit. A peine assise, elle sent sa bouche se poser sur un sein pour l’embrasser puis, elle sent ses dents qui serrent, serrent. Là aussi, il arrête lorsqu’il sent sa réaction, lorsqu’il entend son cri. Il fait de même avec l’autre.

    Elle adore qu’il s’occupe ainsi de ses seins. Même si ça fait mal. Le plaisir qu’elle a avec ses caresses juste après, compense largement. Elle aime vraiment les deux.

    « Nous passons à table ? »

    « Bien sur… vas-y, j’arrive avec l’entrée »

    Elle va chercher les deux assiettes d’entrée, pose la première devant son Maître.

    « Ecarte les jambes…. Encore plus »

    « Tu es trempée dis-moi… tant mieux… ça rentrera tout seul ! »

    Elle se demande de quoi il parle, lorsqu’elle sent une sorte de boule entrer en elle. Son œuf ! Il n’a pas mis longtemps pour récupérer tout le matériel tout à l’heure se dit-elle….

    Il l’enfonce bien, ce qui n’est pas chose aisée puisque le plug occupe un peu de place mais, il y parvient sans trop de problème.

    « C’est bon, vient t’assoir maintenant »

    Elle pose l’assiette qu’elle tenait toujours, devant elle et s’assied.

    Alors qu’elle commençait à discuter, se décontractant un peu, elle sursaute. Elle sent les vibrations de l’œuf s’enclencher, vibrations propageant jusqu’au plug, augmentant encore les sensations.

    Décidemment, ce repas ne se déroule pas tout à fait comme elle l’avait imaginé mais…. Elle l’apprécie d’autant plus. Et la soirée n’est pas finie, se dit-elle, bougeant les reins de plaisir….

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