• Il lui avait dit de se tenir prête et qu’ils allaient sortir sans autre explication. Elle n’avait pas osé en demander non plus mais elle s’en mordait les doigts à présent. Il allait arriver dans deux heures et ça faisait déjà un moment qu’elle réfléchissait à une tenue qui pourrait être appropriée. Mais sans savoir ce qu’elle ferait ni où elle irait, cela n’était pas simple du tout. Elle avait le regard fixé sur sa garde robe, un air désespéré accroché aux yeux lorsqu’elle entendit la sonnerie de son portable signifiant l’arrivée d’un message « Je serai chez toi dans 1 heure. Sois prête. Tenue de campagne »

    Aussitôt lu, son niveau d’inquiétude monte en flèche. 1 heure ! Il ne lui reste qu’une heure ! Et « tenue de campagne » ? C’est quoi pour lui une tenue de campagne ???

    « Je ne vais pas y aller en jean, Tshirt et tennis quand même » se dit-elle….

    Elle tente de réfléchir rapidement et se décide pour une jupe ample qui s’arrête aux genoux et des chaussures à tous petits talons qui lui permettront de marcher n’importe où. Elle enfile ses bas, regarde son string sur le lit… string ou pas string… pas string ou string. Elle sourit intérieurement devant cette question existentielle…. Mais en même temps, elle essaie d’imaginer ce qui lui ferait plaisir sans y parvenir vraiment. Elle se décide pour la version « chatte à l’air » en pensant au soleil qui brille et à la chaleur ambiante. Et puis… campagne… nature… pourquoi ne pas interpréter la consigne sur ce plan là aussi… se dit-elle en riant.

    En haut, le tshirt basique est exclu car il ne donne pas suffisamment accès à ses seins… elle regarde à nouveau sa penderie et…… La sonnerie…. message… un coup d’œil en vitesse :

     « tout compte fait... sois prête dans 30 minutes ».

    Elle ouvre la bouche en un cri silencieux ! Punaise ! 30 minutes !! Il abuse là ! Elle se reprend immédiatement et sourit. Non il n’abuse pas. Il lui fait plaisir plutôt. Elle est sa soumise et il sait qu’elle aime lui obéir même (surtout) dans le stress. Ceci dit… 30 minutes… à ce rythme elle ne sera jamais prête à temps.

    Aller… mission placard ! Elle hésite un peu mais se décide pour un chemisier sans manche qui fait suffisamment « décontracté » pour « coller » au thème imposé. Elle l’enfile, regarde son allure dans la glace… « C’est bon » Se dit-elle. Il lui reste 20 minutes pour remettre un coup de mascara (waterproof au cas où…), un coup de peigne, mettre quelques bijoux (sinon elle ne sent pas à l’aise) et… se calmer ou plutôt, essayer de se calmer…

    La petite musique à nouveau… « devine !.... dans 5 minutes ! ».

    5 minutes !!! Elle jette son téléphone sur le lit plutôt qu’elle ne le pose. Cours à la salle de bain, vérifie son maquillage vite fait.

    Passage aux toilettes : 1 minute ;

    Mascara : 30 secondes ;

    Coiffage : 30 secondes ;

    re-brossage des dents : 1 minute ;

    bijoux : 1 minute.

    Elle revient à la chambre, attrape son portable, le met dans son sac à main, va rapidement à la porte et jette un œil à l’heure. 1 minute avant son arrivée… un peu juste pour se calmer. Elle a l’impression que son cœur veut sortir de sa poitrine et qu’un nœud lui tord le ventre et…. Elle aime ça.

    Quelques instants après, la porte s’ouvre à la volée.

    Il est là, devant elle, souriant. Il la regarde, tournant autour d’elle, vérifiant du regard si tout correspond à sa demande. Il soulève sa jupe…

     « Pas de culotte ?.... Bien… J’aime quand tes fesses sont ainsi à ma disposition. Va t’appuyer contre le canapé et cambre toi bien que je continue mon inspection… »

    Bon… ce n’est pas ça qui va la calmer et il le sait bien…

    Elle se penche, se cambre autant qu’elle peut et prend sur elle pour tendre ses bras vers l’arrière et écarter ses fesses.

     « Bien… je vois que ça rentre »

    Malgré sa gêne, elle sourit à ces paroles.

     « Je vais quand même vérifier » dit-il en lui mettant une petit claque sur le derrière.

    Elle sent ses doigts parcourir ses lèvres, les tirer, les écarter puis la pénétrer.

     « Là… pas de problème comme d’habitude ! Je vais vérifier ailleurs. Contente hein…. »

    Elle se fige un peu, malgré elle.

     « Aller, écarte mieux que ça… »

    Elle sursaute au contact du gel froid, appuie sa tête contre le canapé lorsqu’elle sent les doigts pénétrer son anus.

     « Bon… ça va aussi ici… »

    Alors qu’elle l’entend aller vers la salle de bain, elle se redresse et remet sa jupe droite.

     « Je ne crois pas t’avoir dit de te relever. Si ? »

    Elle stoppe tout mouvement.

     « Euh… non mon Maître. Excuse-moi »

    Elle remonte sa jupe et se penche à nouveau sur le canapé, exposant ses fesses écartées.

     « tu as du gel, il serait dommage de ne pas en profiter… Regarde ce que j’ai pour toi.. »

    Elle tourne la tête et voit son plug. Un faible gémissement sort de sa bouche. Elle est incapable de dire si c’est de plaisir car elle aime le sentir au fond d’elle, d’appréhension car l’intromission lui pose toujours problème, ou de gêne. Sûrement un peu des trois.

    Elle s’efforce de rester immobile, de ne pas avancer pour fuir inutilement. De fait, le plug est rapidement au fond d’elle grâce au gel et à la préparation de ses doigts.

    Il l’aide à se redresser, lisse sa jupe pour elle, passe doucement sa main sur ses fesses.

     « Ca va ? »

    « Oui mon Maître. Merci »

    « Bien. Alors on va y aller mais avant…..»

    Il sort son collier de sa poche. Le regard de Valsou se fixe dessus et un sourire étend ses lèvres. Il sourit à son tour en la voyant réagir ainsi. Il l’attache à son cou et vérifie qu’il ne sert pas de trop. Il sort ensuite son masque qu’il place devant ses yeux, l’aveuglant.

    Il prend le bout de la laisse et la tire vers la sortie. Il referme la porte sur eux, tourne la clé et la met dans son sac à main. Il la guide vers les escaliers qu’elle descend en se tenant à la rampe.

    Elle pose le pied sur le palier du premier étage lorsque le bruit proche d’une porte qui se ferme la fait sursauter.

     « Bonsoir »

    « Bonsoir »

    Elle sent qu’il tire un peu sur la laisse…

     « Tu pourrais être polie…. »

    Un timide petit « bonsoir » sort de ses lèvres….

     « Vous sortez votre chienne ? »

    « Oui… il faut bien satisfaire ses besoins sinon elle devient intenable… »

    « Je comprend ça ! Justement je sors d’un apéro chez des amis dont l’épouse n’a pas arrêté de m’allumer !!! Je ne vous explique pas mes besoins, là, tout de suite… »

    « ah…. Je peux peut-être faire quelque chose pour vous dans ce cas »

    Elle sent les mains de son Maître se poser sur son chemisier, défaire un premier bouton. Elle recule, instinctivement, bute contre une marche et se retrouve assise brutalement…

    « J’allais te dire de te relever mais…. Tu as raison ça sera mieux ainsi. Tu as de la chance. La prochaine fois, je t’interdis de te dérober ! »

    Elle sent à nouveau ses doigts qui détachent les boutons un à un. Les pans s’écartent largement et ses seins sont sortis des corbeilles du soutien gorge.

     « Voilà…. Vous pouvez jouir de la vue, dans tous les sens du terme… »

    Elle comprend en même temps qu’elle entend le bruit significatif d’une braguette qui s’ouvre. Il l’offre ou en tout cas sa poitrine. Alors… Alors elle veut qu’il soit fier d’elle. Elle sent la laisse qui est toujours en l’air et donc dans la main de son Maître, à côté d’elle. Elle pose ses mains sur la marche, légèrement en arrière, se cambrant de manière à mettre ses seins en avant.

    Elle entend des frôlements, des gémissements légers puis, rapidement, des gémissements un peu plus appuyés. Elle sent les jets qui frappent sa poitrine et qui coulent le long de son ventre.

     « Merci, vous êtes très aimable. Ca va mieux là…. »

    « Pas de problème… »

    Elle l’entend descendre d’un pas qui semble guilleret… Elle sourit.

    Un souffle frôle son oreille.

    « Alors… la soirée commence bien non ? Aller, rhabille-toi »

    « Oui mon Maître, très bien. Je peux avoir un mouchoir pour m’essuyer s’il te plait ? Ils sont dans mon sac »

    « Non ! »

    « Non ? Mais…. »

    « Tu as besoin que je me répète ? »

    « Euh non mais… non, je vais me rhabiller »

    « Bien… je vais même te faciliter la vie. Laisse tes seins comme ça, rattache juste ton chemisier. »

    Pendant quelques instants, elle ne sait même plus comment elle doit s’y prendre. Elle a l’impression que ça coule, que ça imprègne la ceinture de sa jupe, qu’elle est poisseuse de partout et remettre ses habits par-dessus tout ça… ben… c’est un peu dégoutant d’après elle. Malgré tout, elle rassemble ses esprits. Elle referme son corsage, attache les boutons en essayant de ne pas faire coller le tissu à la peau mais, sans y arriver.

     « Aller ! On ne va pas y passer la nuit quand même. On va finir par nous attendre et ce ne serait pas poli »

    Elle se fige à ces mots. Ils sont attendus… On va la voir… dans cette tenue qui colle... Et il y a des chances pour que l’on en devine aisément la raison… Elle baisse la tête… vaincue et en même temps…. Heureuse de lui obéir.

    Le collier la tire vers le haut pour qu’elle se lève. Elle suit le mouvement et descend les marches du premier étage. La pensée qu’elle va sortir dans ces vêtements tâchés et tenue en laisse la gêne profondément mais… elle suit son Maître.

    Une portière qui s’ouvre, une main sur sa tête pour la protéger de toute bosse.

     « Relève ta jupe pour t’assoir. Je veux ton cul sur directement sur le siège et ta chatte offerte à la vue »

    Elle s’exécute et pose son sac par terre entre ses pieds.

    Il s’installe au volant, la regarde, passe sa main entre ses cuisses, s’attarde sur son clito puis enfonce ses doigts en elle. Elle gémit sous ses caresses.

     « Ouvre la bouche »

    Il glisse ses doigts entre ses lèvres.

     « Tu as l’air d’aimer non ? »

    « Oui mon Maître. J’aime ce que tu me fais ou me fais faire »

    « Très bien. Fais-toi jouir alors. Tu as quinze minutes environ devant toi… Je veux que tu sois trempée en arrivant »

    Elle avance ses fesses sur le siège autant que la ceinture de sécurité le lui permet. Elle écarte bien les jambes et se tourne très légèrement vers son Maître. Elle sait que ce n’est pas très prudent car il conduit mais… elle lui fait confiance pour rester maître de la voiture. Et puis, elle a envie de l’allumer un peu il faut dire….

    Elle se caresse, essayant d’oublier que, malgré la nuit tombante, des passants et des automobilistes peuvent la voir. Elle sent de temps en temps la main de son Maître qui vient caresser son sein gauche ou le pincer doucement, lui arrachant un gémissement de plaisir à chaque fois.

    Elle n’est pas loin de jouir lorsqu’elle sent la voiture ralentir.

    « Tu as encore quelques minutes devant toi, ne panique pas.  Je dois prendre quelqu’un en route. Ca ne te gêne pas je suppose…. »

    Elle referme vivement les jambes et…. Les ouvre presque aussitôt… reposant sa main où elle était, reprenant timidement ses caresses.

    Elle s’éclaircit la voix…

     « Nnnn… hum hum… non bien sûr. Fais ce qu’il te plait mon Maître »

    La voiture s’arrête et son souffle sur son oreille…

     « Bravo ma soumise… »

    Elle entend la fenêtre qui s’ouvre de son côté et une main prend son visage pour le tourner vers l’extérieur. Des lèvres se posent sur les siennes, une langue cherche à pénétrer. Elle s’offre à cette bouche inconnue… avec plaisir se rend-elle compte.

     « Je vois que la soirée a déjà bien commencé ! »

    « C’est le cas de dire oui ! Dans son immeuble elle a déjà fait plaisir à un homme qui s’est satisfait sur ses seins »

    La portière arrière s’ouvre, l’homme s’installe derrière elle. La voiture se remet en marche et elle continue ses caresses. Elle a un peu de mal à se concentrer de nouveau et se demande avec inquiétude si elle va parv…. Une main est venue se poser sur un sein. C’est l’homme derrière car elle sent son bras. Il pince doucement son téton. Insuffisamment fort pour lui donner une douleur qui couperait tout mais suffisamment fort pour la faire gémir d’excitation et lui faire accélérer ses caresses.

    Un gémissement plus appuyé et son corps tendu fait comprendre aux deux hommes qu’elle a jouit.

     « Bien. Je fermerai les yeux pour cette fois sur le fait que tu t’es fait aider pour tenir le délai… »

    « Merci mon Maître, c’est gentil »

    Elle sent la voiture ralentir son allure, la route devenir plus… cahotique, puis, s’arrêter.

    L’homme derrière sort, son Maître aussi. Il la fait se lever, la pousse un peu pour refermer la portière.

    Le bruit de la ville n’est plus. Elle n’entend que le bruissement des feuilles dans des arbres et le bruit des oiseaux nocturnes qui s’éveillent. Elle suppose qu’ils sont dans une forêt mais elle n’en n’est pas sûre. Il fait suffisamment chaud mais elle frissonne… Elle se demande ce qui l’attend avec anxiété.

    Des mains s’attaquent à son chemisier et en détachent les boutons. Il passe le long de ses bras. L’attache de son soutien gorge est défaite et il est rapidement ôté.

    Elle est retournée, la fermeture de sa jupe descendue et la jupe tombe le long de ses jambes.

    Les bracelets de cuir de son Maître sont ajustés à ses poignets. Elle sourit... elle sera attachée…

    La laisse est tirée et elle se félicite d’avoir mis de très petits talons en sentant les cailloux sous ses pieds. Elle avance doucement. On la stoppe et la fait reculer d’un pas ou deux. Elle a l’impression de sentir la voiture derrière ses mollets.

    Un sein est empoigné, son téton pincé doucement puis un peu plus fort… beaucoup plus fort… jusqu’à ce qu’elle gémisse elle aussi, de plus en plus fort. Des élastiques sont alors mis. Elle ne les compte pas mais se doute qu’ils vont tendre sa poitrine. L’autre sein subit le même sort, du début à la fin.

    Des mains la tiennent aux épaules tout en lui indiquant qu’il faut qu’elle se penche en arrière. Elle sait que la voiture est là mais… ce n’est pas évident de se laisser aller ainsi, sans rien voir.

    Enfin, elle est couchée… sur le capot lui semble t-il en sentant la chaleur sous son dos. Ses bras sont tirés vers l’arrière et au bruit, une corde doit avoir été glissée dans les passants. Ses cuisses sont écartées, largement. Ses pieds sont posés sur le pare-choc à son avis et ses chevilles elles aussi sont attachées, l’empêchant de refermer le compas de ses jambes. Ainsi remontée sur la voiture, ses bras sont à nouveaux tirés vers le haut, interdisant tout mouvement. Elle se demande bien à quelle sauce elle sera mangée et si elle a une complète confiance en son Maître, ça ne l’empêche pas d’être inquiète.

    Il a dû le sentir car elle entend sa voix souffler à son oreille « je suis là et j’ai ta laisse bien en main ». Un soupir s’échappe de sa poitrine… elle bloquait sa respiration depuis quelques instants sans même s’en rendre compte.

    Quelques minutes passent ainsi sans que rien ne se passe si ce n’est que ses seins lui semblent extrêmement tendus. Mais c’est une sensation qu’elle apprécie maintenant.

    Tout à coup, elle a l’impression que des arbres s’agitent. Elle entend des pas sur le chemin. Elle est incapable de dire s’il n’y a qu’une personne ou plusieurs mais ils ne sont plus seuls c’est certain !

    Une main se pose sur son ventre. Le caresse doucement, remonte vers sa poitrine, pince son téton déjà tendu.

    La main d’une autre personne (elle en est sûre car le touché n’est pas le même) se pose sur son sexe, écarte les lèvres, les pince, joue avec son bouton alors que des doigts se glissent en elle.

    En fait, elle a l’impression que des mains sont partout sur elle, caressant, pinçant, profitant de sa bouche et de son sexe. Elle sent même que quelqu’un joue avec le plug, le faisant bouger sans le sortir complètement.

    Des sexes sont placés dans ses mains. Elle essaie de les caresser du mieux qu’elle peut, ses mouvements étant limités par les liens. Les soupirs qu’elle entend la rassurent. Elle ne se débrouille pas trop mal apparemment.

    Son bassin se cambre brutalement. Un sexe vient de s’enfoncer en elle d’une seule poussée. Elle le sent bien tout comme ses mouvements car le plug prend de la place aussi, amplifiant ses sensations. Ses tétons sont pincés de concert par… elle ne sait qui.

    L’homme qui vient de la prendre part, aussitôt remplacé par un autre.

    Au bout de plusieurs minutes, elle ne sait plus où donner de la tête. Elle n’arrive plus à savoir qui lui fait quoi. Sa chatte a été prise plusieurs fois, elle a été pénétrée par des sexes, des doigts. On l’a embrassée. Ses seins ont été caressés, pincés, mordus. Elle ne sait plus, elle profite juste du moment.

    Elle sent que celui qui la prend actuellement va jouir à ses mains qui empoignent plus violemment ses hanches et à ses crispations. Ceci fait, il est vite remplacé. Là aussi, l’homme a envie de se soulager rapidement maintenant. Ses mouvements sont amples et vifs. Elle entend des souffles appuyés de part et d’autre de sa tête. Elle essaye de comprendre ce qui se passe mais… sans y parvenir vraiment.

    Le sexe en elle sort et elle entend le son de préservatif que l’on ôte. Elle devine qu’il se caresse devant elle, ce qu’elle vérifie en sentant un jet atterrir sur son pubis et un autre sur son ventre. Simultanément, d’autres jets frappent ses seins et son ventre encore.

    Tout se calme. Elle sourit.

    On la détache, on enlève les élastiques et on l’aide à se relever. Elle a une furieuse envie d’une douche mais ne dit rien.

    Son Maître s’approche. « Alors ? tu as aimé ? »

    « Oui mon Maître. C’était…. Parfait ! »

    « Tant mieux. Mais ce n’est pas encore fini. J’ai une question. Si tu te trompes, tu seras punie. Combien d’hommes ont profité de ton corps ce soir ? »

    « Euh… je dirais 4 ici et 1 dans mon immeuble donc 5. »

    « Tant pis… »

    Elle retient son souffle…

    « Tu ne seras pas punie. Tu échappes à la fessée »

    Elle baisse la tête une seconde, la relève, le regarde derrière son masque. Elle est tout sourire.

    « Je peux revenir sur ma réponse s’il te plait mon Maître ? Je crois que j’en ai oublié un…. »

    « Tu es une belle salope ma soumise ! » Il sourit à son tour… Il était presque certain de sa réaction.

    « Très bien. Viens par là. Appuie-toi ici »

    Il l’a fait se pencher, les coudes sur le capot. Sa main appuie sur ses reins pour la cambrer.

     « Ah… j’ai oublié de te dire, notre ami qui t’a si aimablement aidé sur le trajet pour venir ici, a bien mérité une récompense. Il a donc le droit de te donner une fessée aussi. Ton Maître n’est-il pas gentil ? »

    « Mon Maître est un ange et je le remercie de faire ainsi en sorte que sa soumise ait chaud aux fesses sur le trajet du retour »

    Une, deux, trois…. A six, elle se dit qu’elle a vraiment une trop grande gueule parfois. A dix, qu’elle poserait bien ses fesses dans la neige, à quinze, elle gémit en se dandinant.

    « Arrête de faire ta petite nature. C’est toi qui a demandé je te le rappelle… »

    « Je sais mon Maître…. Je sais…. »

    Elle s’efforce de rester plus tranquille mais… elle a vraiment mal.

    « Je te fais cadeau de la dernière. Contente ? »

    « Oui… merci mon Maître. »

    « Très bien. Maintenant, notre ami ici présent voudrait bien profiter de ta bouche qui n’a pas encore servit ce soir du reste. Ou pas trop en tout cas. Écarte-toi un peu de la voiture en restant dans cette position »

    Elle s’exécute et sent l’homme passer devant elle et s’appuyer sur la voiture à son tour. Elle entend la braguette qui s’ouvre. Une main se pose sur sa tête et appuie jusqu’à ce que ses lèvres rencontrent le sexe bandé. Sa bouche s’ouvre et sa langue tourne autour du gland mais rapidement, elle le suce complètement.

    Son Maître est resté derrière elle. Elle le sent à la laisse qui est posée sur son dos. Il joue avec le plug pendant qu’elle s’occupe de leur invité. Il l’enlève à moitié, jusqu’à ce que l’endroit le plus large soit prêt à sortir. Il le remet et ainsi de suite pendant quelques instants puis, l’enlève complètement. Elle sent le sexe de son Maître la pénétrer lentement mais à fond. Elle gémit…. Mais pas de douleur. Elle en oublie de s’occuper du sexe dans sa bouche.

    Une claque sur une fesse… « Et alors…. ? »

    Elle se remet à lécher l’homme devant elle pendant que son Maître la sodomise.

    « Caresse toi et fais-toi jouir avec nous… »

    A ces mots, sa main vient exciter son clito de caresses rapides et appuyées. Elle ne pense pas qu’ils vont tenir très longtemps avec la soirée qu’ils viennent de passer et, elle-même… elle a très envie de jouir… vite.

    Ils gémissent de concert. L’homme jouit sur sa poitrine et son cou, son Maître au fond d’elle et elle, sous ses doigts.

    Elle se redresse avec raideur dès que son Maître la libère. Elle se sent un peu ankylosée après cette soirée. Et poisseuse. Surtout poisseuse en fait.

    Une claque sur ses fesses… « Aller en voiture ! Mais prends cette serviette avant… déjà que tu taches les couvre-lits… je ne voudrais pas que tu laisses des traces sur le siège. »

    Un esprit d’espièglerie s’empare d’elle et en souriant, elle le prend par le bras, se tend et… l’embrasse sur la joue.

     « Merci mon Maître ! Pour la serviette et… le reste…. »

    En riant, il la regarde s’installer et, prenant un air faussement affligé en direction de leur invité…

     « Je me demande ce que je vais arriver à faire d’elle…. »

     

     

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  • Elle finissait son cours. Dans quelques minutes elle serait libre d’aller faire son shopping comme prévu. Le prof qui lui faisait face avait un certain charme et donnait de l’intérêt à ce cours de langue. Elle était douée en langue pourtant parait-il mais pas trop en anglais en fait !

    Elle avait besoin de progresser, mais qu’est-ce que c’était dur de se remettre aux études alors que l’on est adulte….

    A la sonnerie, elle range ses affaires dans son sac et s’apprête à quitter la salle. Comme d’habitude elle est la dernière… Alors qu’elle va pour quitter la salle, elle entend le professeur l’interpeler en lui disant d’attendre un peu.

    Il termine d’écrire et se tourne pour la regarder. Il se lève, va fermer la porte puis retourne s’assoir. Il la regarde, d’un regard pesant qui la met un peu mal à l’aise.

    « je sens que vous travaillez mais je pense que vous êtes bien en deçà de vos capacités. Vous vous économisez et vous vous satisfaites de résultats moyens. Moi, ça ne me satisfait pas. Pas du tout. Et je compte bien vous faire progresser ! »

    Ces mots lui font baisser la tête. Se faire traiter ainsi alors que l’on a plus de 40 ans… mince alors ! Même si c’est vrai, c’est dur à encaisser.

    « Venez ici »

    Elle le regarde et son regard n’est plus aussi bienveillant que pendant les cours. Ses yeux se baissent à nouveaux rapidement.

    « Dépêchez-vous je n’aime pas me répéter ! »

    Elle s’approche du bureau et s’arrête tout près de lui.

    « Vous avez des enfants… rappelez-moi ce qu’on fait aux enfants lorsqu’ils ne sont pas sages…. »

    « …. »

    « Pardon ???? »

    « ….fessée »

    « Je vois que vous êtes aussi douée en français qu’en anglais ! Je vous rappelle qu’une phrase comporte un sujet, un verbe et un complément. Répétez »

    « …. On leur donne une fessée »

    « Très bien ! Et comme vous n’avez pas été aussi sage que je l’aurais espéré… vous serez punie en conséquence ! Déshabillez-vous ! »

    Elle ne sait pas qu’elle attitude adopter lorsqu’elle senti des doigts se poser sur son téton droit et le serrer, la faisant crier de douleur.

    « Je n’aime pas répéter mais je n’aime pas que l’on me crie dans les oreilles non plus ! Alors taisez-vous et obéissez ! »

    Prenant sa tunique par le bas, elle commence de se déshabiller lentement. Elle ne sait plus trop où elle en est. Elle devrait partir, se plaindre, hurler mais… non. Elle reste là et obéis.

    Nue, elle se tient maintenant devant lui. Elle pose une main sur sa poitrine et l’autre sur son sexe, le regard toujours baissé.

    Il lui prend les mains l’une après l’autre, les mets dans son dos puis les attaches, pas trop serrées, elle s’en rend bien compte. Le constater, lui permet de se dire qu’elle aime cette situation.

    Il lui prit la gorge et lui lève le menton.

    « Ne baisse pas les yeux. Regarde-moi, regarde ce que je tiens à chaque fois et imagine l’effet que ça te procurera lorsque ça touchera ta peau douce »

    Elle eu un frisson en entendant ses mots. Pas de peur mais de plaisir.

    Il eu un sourire en coin en la voyant frotter ses jambes l’une contre l’autre.

    Il prend deux pinces de bureau qui tiennent ses copies, les pose dans la paume de sa main ouverte et lui montre à hauteur des yeux. Elle n’ose croire ce qu’elle croit.

    Il prend un de ses seins, pince le bout, assez fort, le tourne dans un sens puis dans l’autre, le tire, devant, vers le haut… Une pince vient mordre cette chair tendre. Elle se crispe et gémis en pinçant les lèvres. Autre sein, autre téton, mais même traitement et même effet. Peut-être un peu moins de gémissement car elle savait par expérience, ce que la pince lui ferait ressentir.

    Il prend une grande règle plate qui était sur le bureau et là aussi, lui montre l’instrument, frappant la paume de sa main avec, comme pour en tester la résistance. Il se place de travers puis frappe les seins alternativement. Gauche, droite, dessus, dessous, etc… Au fur et à mesure des coups, elle a de plus en plus mal et supporte de moins en moins ce traitement. Elle gémit, tape du pied, le regarde implorante…. Enfin, les coups cessent. Les caresses des mains remplacent les coups. Son regard se fait reconnaissant….

    Il la prend par un bras, la pousse légèrement afin qu’elle se penche, les pinces pendant à quelques millimètres du bureau. Il lui écarte légèrement les jambes et glisse sa main vers son sexe…. qu’il trouve bouillant et humide.

    « je vois que la punition n’est pas que désagréable…. »

    Il place la paume de sa main devant ses yeux, à l’horizontale. Elle ne comprend pas car sa main est vide de tout instrument. Elle tourne la tête pour le regarder l’air interrogateur. Il sourit…

    « tu ne comprends pas hein…. »

    Et la main s’aplatit sur son postérieur, la faisant sursauter. Les claques se font douces ou dures, rapprochées ou séparées par une caresse. Elle sent que ses fesses la chauffent de plus en plus.

    « Tu en veux encore ? »

    « Non non »

    « Mauvaise réponse »

    Il lui montre à nouveau sa main mais cette fois, avec la règle. Elle a déjà mal et appréhende…. Les quelques coups qu’il lui administre sont assez « gentils » mais avec la fessée qu’elle vient de recevoir, elle ne s’en rend pas compte. Elle a mal. Et en même temps, elle sait, elle sent qu’elle est excitée par la situation.

    Il l’a fait se redresser, la détache, lui enlève les pinces.

    « Rhabillez-vous. »

    Elle le regarde, étonnée. Elle pensait franchement qu’il allait lui demander de le sucer ou qu’il la caresserait voire même qu’il l’a prendrait. Mais là…. Elle a vu qu’il était très excité comme elle pourtant….

    Elle s’habille lentement. Une claque sur ses fesses déjà fort douloureuses lui fait presser le rythme. Une fois ses vêtements mis, elle se place devant le bureau.

    « Augmenter vos résultats à votre prochain contrôle et vous aurez peut-être ce que vous semblez rêver d’avoir en ce moment même…. Cela vous convient ? »

    « ouiiiii »

    « La fessée que vous aurez avant de me sucer ne sera que pour notre plaisir à tous les deux alors…. Vous pouvez partir….. A la semaine prochaine…»

     

     

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  • Ce texte.... je ne l'avais pas prévu totalement ainsi lorsque j'ai commencé à l'écrire. Et puis, comme ça arrive souvent, ma plume n'en n'a fait qu'à sa tête. Là, le dernier mot écrit, ce texte me faisait sourire toute seule et j'étais assez fière de moi.

    C'est en fait un des premiers textes que j'ai écrit à mon Maître 

    Bonne lecture, bisous.

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    La réunion est ennuyeuse. Un bilan chiffré, détaillé en long, en large et en travers. Elle regarde autour d’elle. Ses compagnons peuvent être divisés en 3 catégories. Les premiers, assidus, qui prennent des notes, l’air absorbé par ce qu’ils entendent, les seconds, qui font semblant, dessinant arabesques et figures géométriques sur leur bloc de papier et enfin les troisièmes, dont elle fait partie, qui ont l’esprit très loin du bureau.

    Son téléphone s’allume devant elle. Comme tous les autres, l’appareil est devant elle sur la table. Aucune sonnerie car elle fait très attention d’autant plus que les propriétaires des rares appareils qui ont sonnés dans la grande salle de réunion se sont fait remarquer et pas qu’un peu. Elle le prend discrètement dans sa main en voyant le nom s’inscrire sur l’écran. Qu’y a-t-il pour qu’il la contacte ainsi, alors qu’il sait qu’elle est en réunion tout le début d’après-midi.

     « Tu ouvriras la porte à partir de 19 h à qui sonnera »

    Qu’avait-il imaginé ? S’il lui demande ça, c’est que forcément il a prévu qu’elle aurait de la visite. Et pourtant, il est en déplacement pour encore 48 h donc ça ne peut pas être lui. Elle tente de réfléchir rapidement. A qui devrait-elle ouvrir la porte ? Elle ne voit pas. Mais, savoir qu’il pense à elle pendant son absence la réjouit.

    Quelques minutes après, du coin de l’œil, elle voit son téléphone se rallumer : « tu seras dans la tenue que j’aime ». Ah…. Un sourire illumine ses traits. Elle se voit dans la tenue dont il parle. C’est simple, une longue jupe fendue sur le côté qui laisse voir ses jambes fines lorsqu’elle marche, des sandales à talons, un porte-jarretelles, des bas clairs, un corsage en satin sans manches et très ouvert. Aucun sous-vêtement. Ce n’est pas qu’il n’aime pas la voir en sous-vêtements de dentelle travaillée, mais il trouve surtout que c’est plus pratique pour la caresser et la prendre lorsqu’il en a envie. De son côté à elle, elle trouve très excitant le fait d’être au service de son plaisir, offerte à ses mains, sa bouche et son sexe lorsqu’il en éprouve le besoin.

    La réunion allait se terminer lorsqu’elle reçoit  un nouveau message « rectification : sans la jupe ». Ah… sans la jupe… c'est-à-dire simplement en porte-jarretelles. Ouvrir la porte dans cette tenue risque d’être équivoque. Vraiment équivoque. Elle pourra peut-être se cacher partiellement derrière la porte….

    Enfin la réunion se termine. Elle passe à son bureau pour terminer ses travaux en cours. Elle a du mal car elle n’arrête pas de penser à lui, à ses messages. Elle se voit à demi-nue chez elle ce soir pour ouvrir à Dieu sait qui. Elle imagine qui pourra être derrière la porte. Elle imagine ce qui pourra se passer.

    30 minutes sont passées  lorsqu’un nouveau message apparaît. « Tu  auras ton plug ». Elle se sent rougir. Il sait qu’elle aime l’avoir en elle. Que le sentir au fond de ses reins l’a toujours à la fois excitée et troublée. Son regard reste fixé sur son téléphone alors qu’une enveloppe vient de s’afficher. Un nouveau message. Elle commence à appréhender les messages courts qu’elle reçoit depuis quelques heures.

    Elle prend sa respiration et appuie sur les touches pour faire apparaître le texto suivant. « Tout compte fait, pas la peine de mettre ton corsage ». Elle lit et relit et hésite entre laisser le rire qui est au bord de sa bouche éclater ou laisser la boule qu’elle a au ventre continuer à enfler…. Elle le remercie mentalement en riant doucement. C’est vrai qu’en porte-jarretelles avec un corsage, le tableau aurait eu une touche étrange. Et… elle aurait du s’en douter. Il lui avait enlevé sa jupe, autant faire pareil avec son corsage. Et sa poitrine, bien que tombante, n’était pas si moche que ça.

    Elle sourit, d’un sourire franc jusqu’à ce que…. Elle se rappelle qu’elle devra ouvrir la porte dans cette tenue. A ce moment là, son sourire se fige un peu.

    Elle a beau lui faire entièrement confiance, il ne sera pas là. Elle sera seule avec un inconnu. Rectification, elle sera seule et nue, avec un inconnu. C’est vrai qu’elle a déjà imaginé se donner à un autre oui. Mais avec lui. Et il le sait pourtant. Elle ne comprend pas.

     « Tu mettras la chainette avec les pinces pour tes seins et tes lèvres ». Encore un message. Et non des moindres. Les pinces ! Il sait qu’elle les adore ses pinces, celles qu’il lui a offert. Il sait qu’elle adore lorsqu’il pince la pointe de ses seins avec elles tout comme il le fait avec ses dents. Elle sent l’excitation augmenter d’un seul coup en elle. Elle sent son ventre se serrer d’envie.

    Elle très légèrement anxieuse si elle est honnête avec elle-même, mais surtout, elle est excitée. Qu’a-t-il bien pu imaginer ? De toute façon, elle se doute qu’elle aimera. Il la connait suffisamment maintenant pour savoir ce qui la fait mouiller au quart de tour. Et là, c’est le cas. Elle a à la fois des nœuds au ventre et son sexe qui a envie de contracter les muscles pour l’exciter encore plus. Etrange mais agréable…. Si agréable…

    C’est décidé, elle rentre à la maison. De toute façon, elle est maintenant incapable de se concentrer. Elle ne fait que se trémousser sur son siège depuis 5 minutes. A quoi bon rester.

    Arrivée chez elle, elle pose précipitamment ses affaires sur son lit et file sous la douche qui, elle l’espère, la calmera un peu. Elle règle l’eau à une température assez fraîche et laisse ses mains enduites de gel douche passer sur son corps. Elle se laisserait bien aller plus loin, à se caresser, à se donner le plaisir que son corps réclame, mais… non. Elle sait qu’elle ne doit pas, en tout cas, pas sans qu’il soit là. Elle termine rapidement sans que le calme salvateur arrive.

    Elle se sèche consciencieusement, se parfume légèrement, se maquille soigneusement et s’habille….  partiellement. Elle sort du tiroir la chaîne pour ses seins, le plug et le lubrifiant. Il est 18 h 40. Il est temps.

    Elle passe un peu de lubrifiant entre ses fesses, sur le bout du plug et l’enfonce en savourant ce qu’il lui fait éprouver.  Ceci fait, elle prend la première pince et la clipse sur le bout de son sein droit avec un léger gémissement de plaisir et de douleur mélangés. Elle fait subir le même traitement au sein gauche, avec le même gémissement. Puis, les lèvres de son sexe. Elle aime cette sensation tout comme elle aime voir cette chaîne devant elle.

    Elle se dirige vers la cuisine, prend un tablier qu’elle attache rapidement derrière elle. C’est un tablier qui tient par un lien à la nuque comme celui qu’elle avait lorsqu’elle était enfant.  Elle veut  manger rapidement un yaourt, ne sachant pas si elle en aurait l’occasion plus tard. Le pot dans la main gauche et la cuillère dans la main droite, elle commence à être aussi stressée qu’excitée. L’heure approche…

    On sonne. Elle pose son yaourt, sa cuillère et se dirige vers la porte. Elle prend une grande respiration et…..

    « C’est toi ????? Mais je croyais que…. »

    « Tu attendais quelqu’un d’autre peut-être ? »

    « Non, mais tu devais être absent…. »

    « Et je vois que tu en profites pour ne pas respecter mes consignes »

    « Mais si… j’ai tout suivi à la lettre… »

    « Dans quel message ai-je parlé d’un tablier ? »

    « Ah…. J’ai oublié de le poser, c’est tout… »

    « On en rediscutera en temps utile, mais tu me connais, je m’en rappellerai… »

    « Oui, je sais. Je suis désolée »

    « Pose moi ça déjà, et va nous chercher un verre de vin s’il te plait »

    Elle pose rapidement son tablier sur la table de la cuisine, ouvre le réfrigérateur, prend la bouteille, deux verres et….

    Dringggggggg !!!!!

    « Ah oui… j’ai oublié de te dire… j’ai commandé une pizza…. Tu n’as qu’à aller ouvrir…. »

     

     

     

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  • Il y a certains de mes textes que j'aime plus que d'autres. Je les trouve plus aboutis, ils me font sourire ou ils me touchent plus pour une raison ou une autre.
    Voici un texte que j'ai écrit pour mon Maître d'alors... Mon tout premier Maître réel.. sourire 
    Je tiens particulièrement à ce récit. Je trouve qu'il reflète bien notre relation, la tendresse mêlée à la soumission...
     
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    Il arrive de sa journée de travail, pousse la porte de l’appartement et lui sourit. Elle lui sourit en retour, perchée sur ses sandales à talons fins, vêtue de ses bas et d’un ensemble string et soutien gorge marron et rose. Elle s’approche en lui tendant  un verre de son whisky préféré. Il prend le verre, en avale une gorgée et le pose sur la tablette située à côté de lui. D’une main un peu brusque, il lui prend la nuque pour l’approcher de lui.

     

    En un pas, elle se retrouve tout contre lui, les cuisses légèrement écartées par sa jambe. Il pose ses lèvres sur les siennes, doucement, lui donne un baiser léger puis, sentant la bouche s’ouvrir, le baiser se fait plus profond et plus sensuel. Quelques instants et sa bouche se recule, un peu, si peu en fait, qu’elle sent ses dents mordiller ses lèvres. Elle aime ce mordillement autant que ses baisers même si, comme en cet instant, ses dents se font plus cruelles. Elle va pour gémir doucement, autant de plaisir que de douleur, lorsqu’elle sent que son téton droit vient d’être emprisonné entre des doigts qui le pressent et le tournent. Son gémissement se fait immédiatement plus intense et il plaque ses lèvres contre les siennes, comme pour l’avaler.

     

    Ses doigts se desserrent et sa main englobe le sein pour le caresser tendrement, comme pour le consoler. Elle recule un peu la tête pour le regarder, lui sourit à nouveau et l’embrasse dans le cou, en profitant pour le respirer avec bonheur.

     

    Alors que la tête est nichée dans  le creux de son épaule…

    « J’ai invité Jean-Paul à l’apéritif ce soir. Il arrive dans une demi-heure »

    « Ok. Il est sympa ? »

    « Oui… très. Mais tu verras par toi-même »

    « Bon. Je vais me mettre quelque chose sur le dos vite fait et je vais préparer les petits trucs à grignoter. »

    Il la regarde en souriant, place sa main dans le creux de ses reins, la pousse vers la chambre.

    « Je vais t’aider à faire « vite fait comme tu dis »…. »

     

    Arrivé dans la pièce, elle allait se diriger vers son armoire lorsqu’elle sent sa main la retenir par le coude. Elle le voit aller dans un coin de la pièce, ouvrir la caisse de ses accessoires et en ressortir…. Son collier. Elle adore son collier mais là, elle le regarde les yeux écarquillés.

     

    « Je ne vais pas le mettre quand même ! »

    « Pardon ?..... »

    Elle l’a entendu et ne voit nul sourire. Elle sait que même si elle argumente, rechigne, comme ça lui arrive de le faire, elle lui obéira quand même. Et elle sait au fond d’elle-même qu’elle aime lui obéir même s’il lui en coûte. Mais c’est plus fort qu’elle…

     

    « Mais…. Je ne le connais même pas et je ne vais pas mettre de col roulé pour cacher mon collier…. »

    « Non effectivement. Et de toute façon, je n’aime pas les cols roulés. Mais ne t’inquiète pas… tu auras bien quelque chose sur les fesses… »

     

    Elle n’a pas du tout envie de s’afficher ainsi. Enfin…. Elle y a déjà pensé si, mais là, elle ne le connait pas, c’est un de ses collègues… Et puis, elle le regarde et… c’est son collier et elle aime l’avoir sur elle, le sentir autour de son cou. Sans compter que c’est lui son Maître et qu’elle n’a pas à discuter ses décisions. Alors, elle lui fait un grand sourire, s’approche de lui et baisse la tête pour qu’il le lui attache.

     

    Dès le collier autour de son cou, il la retourne et lui fait poser les avant-bras sur la commode.

    « Cambre-toi !.... Plus que ça »

    Elle se place au mieux et attend, immobile. Elle l’entend farfouiller dans la caisse et un mélange d’appréhension et de plaisir l’étreint.

     

    Tout à coup, elle sent la claque de la raquette sur sa fesse droite. Un gémissement, quasiment de plaisir, s’échappe de sa bouche. Elle aime bien cette raquette. Ce n’est pas qu’elle fait du bien car elle chauffe sacrément mais… quand même…. Une claque sur la fesse gauche, puis encore deux sur chacune…

     

    Elle ne bouge pas encore, attend.

    La main du Maître vient se poser sur sa croupe et la caresse doucement. Il se penche vers elle et de son autre main, pince un téton, assez fort, en le tirant vers le bas.

    Elle gémit, assez fort. Il relâche.

    « Ca va ? »

    « Oui »

    « Bien…. »

     

    Il retourne dans sa caisse, revient vers elle et lui place ce qu’il tient, devant les yeux… Elle a une grimace d’appréhension en voyant la cuillère en bois.

    « Ca c’est pour avoir râlé… »

    Elle n’ose rien dire, sachant qu’effectivement, elle n’aurait pas dû.

     

    A chaque coup de cuillère, elle sent une brûlure vive, à chaque coup, un gémissement lui échappe, à chaque coup, elle a le réflexe de baisser les fesses mais elle s’oblige à rester cambrée.

    Au bout de quatre, là encore, il caresse doucement son postérieur.

    « Ca te fait de belles fesses…. »

    Elle entend son sourire lorsqu’il lui dit ça.

     

    Une petite claque, presque une caresse, pour lui faire comprendre qu’elle peut se relever.

    « Aller… va préparer l’apéro, je prends une douche rapide »

     

    Elle se dirige rapidement vers la cuisine et commence à préparer légumes et sauce au fromage blanc. Dispose les cacahuètes et les chips sur un plat. Sort les verres et les bouteilles. Elle est en train de tout placer sur la table du salon lorsqu’il arrive, sentant bon le gel douche.

     

    « Je vais vite mettre une robe, ton invité doit arriver dans 5 minutes »

    « Non ! »

    « Il ne vient plus ? »

    « Tu ne mets pas de robe »

    « Mais je…… » Elle n’a pas le temps de continuer sa phrase qu’elle voit la tête sévère de son Maître. Elle s’interrompt brusquement.

    « Je….. »

    « Rien ! »

     

    Elle baisse la tête. Un vent de panique la traverse. Il veut qu’elle accueille quelqu’un qu’elle n’a jamais vu, un homme, habillée en sous-vêtement avec un collier de chien et une laisse ?????? Même si c’est un abruti fini, ce dont elle doute vraiment, il va prendre ça pour une invitation et même si son Maître est là et qu’elle sait pertinemment qu’il ne pourra rien lui arriver de fâcheux,  elle n’a jamais fait ça et ça l’effraie !

     

    « Très bien…. »

    « Ah ben quand même… Il en faut du temps pour que tu comprennes ! »

     

    Elle baisse la tête. Un peu honteuse mais surtout pleine d’angoisse à l’idée de rencontrer un homme dans ces conditions.

     

    « Aller, viens là »

    Elle relève la tête et s’approche de lui. Le voir souriant la rassure, un peu. Elle s’arrête devant lui. Elle lui sourit aussi, ne pouvant résister. Il prend la laisse et la tire à lui. Il passe la main derrière sa tête et l’embrasse tendrement.

     

    « Tout ce passera bien tu verras »

    Un tout petit « oui » franchit sa bouche, si faible qu’il a du mal à l’entendre.

    « Bon aller…. C’est pas le tout mais il faut l’accueillir comme il se doit »

     

    Il la tire vers l’entrée en tenant la chaîne dont il accroche le bout à un crochet placé à bonne hauteur. Il la place face au mur, lui attache les mains et les accroche au même crochet qui tient la laisse.

     

    Il lui tourne un peu la tête afin qu’elle le regarde. Il lui sourit. L’embrasse. Lui mord les lèvres. Elle n’est pas rassurée mais elle lui sourit aussi.

     

    « Je t’ai promis que tu aurais quelque chose sur les fesses pour l’accueillir. Là, je trouve qu’elles ne sont pas très habillées. Que dirais-tu de quelques traces bien parallèles ? Celles de tout à l’heure se sont presque estompées… »

     

    Elle le regarde, baisse le regard, hésite quelques petites secondes, le regarde. Crainte, joie, fierté… traversent son regard.

    « Je pense que ça serait du plus bel effet… »

    Il hoche la tête en souriant…

    « Bien belle réponse ma soumise…. »

     

    Il prend la tige qui était posée non loin. Elle se cambre d’elle-même, un peu.

    « Encore »

    Elle accentue la pause.

    « Ah mince… j’allais oublier tes seins »

     

    Il fouille dans ses poches et en ressort deux pinces, celles en plastique. Il les lui pose après l’avoir l’écartée du mur un instant et avoir sortit les seins des balconnets du soutien gorge, puis se replace sur le côté, baguette à la main. Deux coups rapprochés lui cinglent la fesse droite, puis de manière identique sur la gauche.

     

    « Qu’en dis-tu ? On croise ? Ça ferait joli non ? Si on s’ennuie, on pourra même jouer à OXO sur tes fesses…. »

    Elle le regarde, souriant malgré ses fesses qui la cuisaient, souriant malgré elle, à l’idée de les voir jouer ainsi…

    « Vas-y… »

     

    Il se place correctement, donne deux coups sur une fesse, se recule pour admirer.

    « Vraiment pas mal… Je suis content. A l’autre. »

    Il va pour frapper de l’autre côté lorsque la sonnette retentie.

     

    Elle sursaute… elle avait presque oublié que l’invité allait la voir, la voir quasi nue, marquée, attachée…. Un vent de panique la traverse. Il le sent, lui caresse les épaules, la joue, et la regarde tendrement.

    « Tout va bien se passer tu verras. Et je serai là, tout le temps »

     

    Il ouvre la porte, s’efface un peu pour laisser Jean-Paul passer. Il va pour dire bonjour lorsqu’il la voit… Sa bouche s’ouvre sur un « oh » muet…

    « Ah oui……. Quand même….. Tu en as de la chance dis donc »

     

    Elle n’ose pas le regarder. Sa tête se cache autant qu’elle peut dans son épaule, son bras levé, ne lui montrant que sa nuque.

    Une claque sur la fesse déjà bien marquée la surprend.

    « C’est comme ça que tu dis bonjour toi ? »

     

    Elle hésite. Quelques secondes. Il la voit respirer, vite, puis prendre une grande respiration et se redresser. Il sourit intérieurement.

    Elle tourne la tête, affiche un sourire quelque peu crispé mais un sourire quand même.

     

    « Bonjour. Bienvenue chez nous »

    « Merci »

    Et il s’approche pour lui faire une bise sur la joue.

    « Jean-Paul… la fesse gauche n’est pas complète comme tu vois. Ca te dirait de finir ? »

    « Mais avec plaisir. Je serai sûrement moins doué que toi mais bon… »

    « Val, cambre-toi bien pour lui faciliter les choses »

     

    Elle s’exécute, posant son front contre le mur, fermant les yeux, anxieuse… Elle l’entend vaguement donner des conseils. Elle sent la baguette la caresser, se poser simplement, puis…. Le cinglement brulant. Quelques secondes, comme s’il regardait, vérifiait…. et le deuxième cinglement, le dernier….

    Il s’approche, regarde, sourit…

    « Pas mal pour une première fois. Félicitations »

     

    Il passe sa main doucement sur les fesses, remonte, lui caresse les reins, le dos, les épaules. Elle sourit de contentement. Elle aime ses caresses, après.

    « Caresse la aussi »

    Elle se crispe, légèrement. Elle sent d’autres mains sur elle, plus hésitantes mais…. pas désagréables. Au bout de quelques instants, elle arrive à se détendre, un peu.

    Il la détache, la retourne, l’embrasse, lui mord les lèvres, l’embrasse à nouveau alors que Jean-Paul continue de la caresser.

    « Enlève-lui les pinces puis caresse lui les seins »

     

    Il le fait, la faisant sursauter à chaque pince ôtée. Les mains sur ses seins lui sont douloureuses dans un premier temps, puis elles deviennent plus plaisantes.

     

    « Ca va ? » lui murmure t-il à l’oreille

    Un sourire timide puis un « Oui »

    « Bien ! On va peut-être aller au salon maintenant. Tu es quand même venu pour l’apéro je crois »

     

    « Je vous suis…. J’aime bien la vue que j’ai par derrière… »

    Elle sourit intérieurement… Elle semble lui plaire un minimum… c’est déjà ça.

    Elle suit son Maître qui la tient par la chaîne. Étrangement, ce geste ne la gêne pas, il la rassurerait plutôt. Elle est à lui.

     

    « Va te regarder dans la chambre… et tu en profiteras pour enlever ton soutien-gorge et ton string parce que de toute façon, ça ne cache pas grand-chose et en plus, tu n’en n’auras pas besoin…. »

    Elle le regarde et n’hésite qu’une infime seconde. C’est vrai qu’elle est curieuse de voir ses fesses…

     

    Elle en profite un moment pour se regarder et elle aime les traces qu’elle trouve belles sur ses fesses.

    Oter son soutien gorge ne la gêne que très peu puisque de toute façon, ses seins étaient déjà sortis, mais le string… même si, par définition, ses fesses étaient offertes aux regards, devant, il y avait un rempart, somme toute symbolique mais… il était là.

     

    Elle le pose malgré tout. Elle voulait qu’il soit fier et elle voulait tout faire pour qu’il le soit. Et… en y pensant bien, rien de ce qu’il lui faisait faire ce soir, en tout cas, jusqu’à présent, ne lui avait trop coûté.

     

    Elle prit une respiration profonde, mis ses mains de côté, normalement, essaie de prendre une démarche assurée, et retourne dans le salon.

    « Merci à vous deux, les traces sont très belles »

    Il la regarde en souriant.

     

    Elle s’applique à faire le service, demandant à leur invité ce qu’il souhaite boire, pose les plats de friandises à grignoter en ayant l’air le plus naturel possible.

    Elle va pour s’assoir à côté, mais éloigné, de Jean-Paul…

     

    « Viens plutôt t’assoir vers moi »

    Elle s’exécute et se met juste à côté de lui.

    Après quelques minutes de discussions diverses, elle sent, voit, que ses mains écartent ses genoux, l’air de rien. Un peu, beaucoup… Elle le regarde mais… ne dit rien et se laisse faire. Un regard par en-dessous vers Jean-Paul et elle voit bien que son regard n’est plus vers ses yeux mais plus bas…

     

    Sa main remonte vers son sein, le prend, le tire, pince le bout et le tourne, la faisant gémir.

    « Qu’en dis-tu, tu as envie de voir ses seins attachés ou serrés en tout cas ? »

    « Oh… vas-y…. fait comme chez toi… »

     

    Il sort une poignée d’élastiques de sa poche, se cale dans le canapé, écarte les jambes, se tourne vers elle.

    « Viens là » et il tape devant lui, entre ses cuisses.

     

    Elle s’installe sur le bord. Il lui écarte d’abord les jambes avec une petite tape car elle les avait refermées puis il prend son sein droit, le caresse, le malaxe, tord le bout, lui arrachant un gémissement. Il lui met 1, 2, 3, 4 élastiques, puis procède la même manière pour le gauche.

     

    « Alors… qu’en penses-tu ? »

    « Hummm…. Très…. Joli »

    Il regarde son collègue en souriant.

    « Oui je vois que le spectacle te plait ! Tu as vu ma soumise ? »

    Elle regarde rapidement, ayant compris le sous-entendu.

    « Oui, il est…. En forme »

    « Et comme c’est un invité, on ne va pas le laisser ainsi. Tu vas te mettre à quatre pattes, aller vers lui et le sucer »

     

    Elle tourne vivement les yeux vers lui, paniquée. Elle avait beau savoir que ça risquait d’arriver, là, tout de suite, elle n’arrivait tout simplement plus à bouger.

    Il posa sa bouche dans le creux de son oreille.

    « Tu vas y arriver ma soumise. J’ai confiance… Aller… Vas-y, dépêche toi, tu vois bien qu’il t’attend…. »

     

    Elle prend sa décision, respire, descend du canapé, se met à quatre pattes et se dirige vers Jean-Paul qui vient de sortir son sexe bandé de son pantalon.

    Elle arrive devant lui et n’ose pas le regarder. Elle se contente de regarder ce sexe dressé devant elle. Elle se met à genoux, prend le membre dans sa main, ouvre la bouche, sort la langue et lèche une fois le gland qui lui semble doux. Encore un coup de langue, puis un autre. Au fur et à mesure, elle s’enhardit. Elle fait tourner sa langue autour du gland, l’aspire par moment, le caresse de sa main. Elle le sent gonfler encore dans sa bouche, l’entend gémir de plaisir et se « vautrer » en arrière dans le canapé. Elle sourit intérieurement : il a l’air d’aimer.

     

    Elle entend tout à coup un bourdonnement et sent son Maître derrière elle, tout près.

    « Ecarte les jambe »

    Dès les jambes écartées, elle sent les vibrations de son jouet rose sur ses lèvres, entre ses lèvres, sur son clitoris. Elle ferme les yeux, essaie de se concentrer sur ce sexe dans sa bouche mais…. Ça devient de moins en moins évident alors que le vibro est posé et appuie sur son clito et que deux mains sont sur ses seins, les caressant ou en pinçant les bouts.

    Elle a dû ralentir ou s’arrêter sans s’en rendre compte car une main la prend par les cheveux et lui imprime le rythme. Elle aime bien, même si elle préfère encore plus la caresse entre ses cuisses. Elle laisse le plaisir monter en elle, bougeant son bassin pour être encore plus en contact avec les vibrations, tout en essayant de se concentrer sur le sexe qui occupe sa bouche.

    Le « laisse toi aller » qu’elle entend contre son oreille la fait se lâcher complètement et elle jouie dans un gémissement.

     

    « Et bien…. Ça n’a pas l’air d’avoir été si désagréable que ça, si ? »

    Elle le regarde en souriant. Les yeux encore plein du plaisir qu’elle venait de recevoir.

    « Non, non… c’était très agréable. Merci ! A tous les deux »

    « Bien…. »

    Il regarde son collègue.

    « Et si nous changions ? Je vais me caler dans le canapé et tu la prendras par derrière si cela te convient »

    « Je serais difficile sinon… »

     

    Elle voit son Maître s’installer confortablement, sortir son sexe, les fesses au bord du canapé. Elle va le rejoindre, souriante, à quatre pattes avec beaucoup plus d’enthousiasme que tout à l’heure. Elle veut qu’il ait autant de plaisir qu’elle en a eu. Elle reste dans cette position, posant ses avant-bras entre les cuisses de son Maître.

     

    Elle se penche, tourne sa langue autour du gland, le lèche avec application, sert les lèvres, desserre, lèche le sexe de bas en haut puis met le sexe dans sa bouche tout en continuant de faire tourner sa langue. Elle aime entendre ses gémissements et fait ce qu’il faut pour qu’il gémisse à loisir.

     

    Elle est tout à ses jeux de langue mais elle sent que Jean-Paul s’est placé derrière elle. Il pose sa main sur son sexe mouillé, glisse un doigt entre ses lèvres, se pose et appuie sur son clito encore sensible. Ce geste la fait sursauter et elle allait pour se relever lorsqu’elle sent une main se poser sur sa tête pour que le sexe qui était dans sa bouche continue d’avoir son attention. Elle se repenche et se laisse faire.

     

    Jean-Paul caresse ses fesses, ses hanches. Il pose une main dans le creux de ses reins puis appuie son sexe entre les lèvres de Val, cherchant l’entrée, et appuyant dès qu’il la trouvée. Un mouvement ample de son bassin et Val gémit de se sentir ainsi prise.

    Elle essaie de synchroniser les caresses de sa bouche avec les mouvements de Jean-Paul mais ce n’est pas simple.

     

    Lorsqu’elle reprend sa respiration, son Maître en profite pour sortir de sa bouche et se caresser devant ses yeux. Elle sourit et le regarde faire. C’est un spectacle dont elle ne se lasse pas.

    « Ferme les yeux ! »

     

    Ah… ça elle aime moins car elle sait ce que cela sous-entend mais… elle ferme les yeux et ouvre la bouche dans la seconde.

    Elle entend ses soupirs de satisfaction en même temps qu’elle sent l’humidité sur ses joues, ses lèvres, son menton.

     

    Il étale quelques traces sur son visage avec son doigt qu’il lui fait sucer.

    Dans le même temps, elle sent les mains de Jean-Paul se crisper sur ses hanches et son bassin se coller contre elle. Elle devine sans problème que lui aussi vient de jouir.

    Après quelques instants, ils se relèvent.

     

    Son Maître la regarde…

    « Va te nettoyer rapidement »

     

    Puis regarde Jean-Paul en train de se réajuster.

    « Bon et bien maintenant, on va peut-être arriver à se le boire cet apéro ! »

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  • Je navigue dans les couloirs, suivant les flèches… je tourne à gauche, puis à droite, encore à droite… j’y suis. Je frappe doucement à la porte fermée. Une voix d’homme, douce, grave, me dit d’entrer. J’ouvre la porte, la referme derrière moi. L’homme est seul à son bureau. Il est resté plus tard aujourd’hui pour rattraper son travail en retard (ah… msn !). Il fini d’écrire et lève la tête. Je vois ses lèvres former un O de surprise.

     

    Tu ne m’attendais pas, évidemment…

     

    Je te souris, d’un sourire plus que coquin, avec mes lèvres et avec mes yeux.  Je te vois sourire à ton tour, et je vois ta main sauvegarder sagement ce que tu venais de saisir. Tu es intelligent…

    Lentement, très lentement, j’enlève mon manteau. Je suis pull fin et en jupe. Mon décolleté, profond, met en valeur ma poitrine. Je m’approche de ton bureau, face à toi. Je me penche vers toi. Ton visage s’approche du mien. Ton regard se perd en route vers mes seins dont les pointes se font apparentes au travers de mon pull. Nos lèvres se joignent doucement, nos regards rivés l’un à l’autre.

     

    En circulant dans les couloirs, je savais ce que je voulais te faire mais je ne savais pas comment. Maintenant je sais. Je me recule et fais le tour de ton bureau. Je m’assois légèrement sur lui, devant toi, entre tes jambes. Tes mains se posent sur mes cuisses, remontent le long de mes hanches, se posent sur mes seins. Je vois que tu es content de me voir. Une bosse se forme entre tes jambes. Une de mes mains te caresse la joue, pendant que l’autre descend, descend toujours plus bas, jusqu’à cette bosse qu’elle frôle, doucement. Je me mords les lèvres. Tes mains ont pincés la pointe de mes seins. Tu me souris de voir les efforts que je fais pour ne pas laisser échapper le moindre son. Lentement, j’enlève tes mains. Tu ne comprends plus.

     

    Tu me vois descendre, toujours entre tes cuisses, toujours plus bas, jusqu’à ce que je sois à genoux devant toi. Je me recule sous le bureau. Mes mains s’égarent sur tes jambes de pantalon, remontent, remontent, jusqu’à la fermeture qui, à ce moment, est très tendue. Je la détache, toujours en te regardant. Ton sexe, dur, gros, doux, excité, se tend vers moi. Tu me connais, je ne peux (et ne veux) résister à son appel. Mes doigts le caressent tendrement, le frôlant d’un doigt curieux, de haut en bas, de bas en haut. Ton sexe a l’air d’apprécier…. Mon regard ne te quitte pas, et ne te quitte toujours pas. Tu me vois, approchant lentement ma bouche. Ma langue sort, téméraire. Elle te frôle, te goûte. Elle remonte le long de ce sexe brûlant. Elle s’arrête en haut. Te lèche, t’excite encore plus, ton gland montre son approbation sur ce traitement en laissant sortir quelques gouttes que je savoure. Ma bouche entière prend le relais. Ton sexe commence à s’y enfoncer doucement. Ma langue, à l’intérieur de ma bouche, continue son traitement, voulant te rendre fou de désir. Je t’entends soupirer…. Et j’entends aussi la porte s’ouvrir…

     

    « Tu es toujours là ? ».

    Heureusement que tu as un bureau du même type que le mien : fermé devant.

    « Oui »

    Ce « oui » me semble un peu rauque je trouve. Je ne sais pas pourquoi… Je suis d’humeur joueuse…. Alors, au lieu de te laisser répondre calmement, au lieu d’arrêter, je continue. Je prends ton sexe de façon plus profonde. Les caresses de ma langue se font plus précises. Une de mes mains vient à la rescousse et vient caresser tes boules. Je te sens avoir un sursaut.

    « tout va bien ? » demande ton collègue…

    « oui…… euh…. Oui… je fini juste un truc et je rentre. »

    « A demain alors »

    « oui à…… demain »…

    Demain, deux mains…. Je dois avoir un problème d’audition….mes deux mains sont maintenant sur toi. La première toujours au même endroit, la deuxième aide ma bouche. Je t’aspire tendrement, je sais que tu aimes….. Je vois que tu n’en peux plus. Ton excitation semble terrible. J’en suis heureuse.

    Tu te recules soudain, doucement. Tes mains me font me relever. Tu m’embrasses le cou, les lèvres. Un petit « je t’aime » murmuré à mon oreille puis tu me fais me retourner. Tu me poses les mains sur le bureau. Ta main sur mes reins me fait me cambrer. Puis, plus rien… je te vois aller vers la porte et tourner la clé. Tu me regardes et tu me souris.

     

    Tu reprends ta place derrière moi. Tes mains se posent sur ma jupe, remontent doucement, emportant ma jupe avec. Tu vois mes bas, noirs. Tu remontes encore. Tes doigts rencontrent ce que tu supposais depuis un moment. J’ai mis un porte-jarretelles pour accrocher mes bas. Tu montes encore…. Pas de culotte, évidemment… Tu te penches à mon oreille 

    « tu as besoin de préliminaire ma douce ? ».

    Tu sais, et je sais que non. Que je suis tellement trempée, que tu vas glisser en moi sans aucun problème mais je te réponds dans un souffle

    « je ne sais pas…. Vas voir ».

     

    Je sens ta main passer entre mes cuisses, un doigt frôler mon clitoris, suivre la ligne de mes lèvres, remonter plus haut, vers un endroit encore secret pour toi. Je te sens hésiter puis te décider. Ton doigt entre en moi, dans mon sexe chaud et mouillé.

    « Je crois que les préliminaires sont superflus ma chérie ».

    Tu te recules. Ton sexe se place tout seul contre mes lèvres. Tu appuis doucement et je te sens d’un seul coup en moi. Profondément. Me remplissant. Tu es excité à fond et tu sais que moi aussi, alors tu te déchaînes… Tes mains sur mes hanches sont fermes, tes coups de reins se font puissants et vigoureux. De plus en plus fort. De plus en plus vite. Tu coulisses parfaitement en moi. Mes mains se crispent sur ton bureau, froissant au passage quelques papiers. Tu sais que j’aime quand tu me prends comme ça. Ton sexe me rend folle de plaisir. Je me sens partir. Mon corps se tend vers toi, se crispe. Mes lèvres sont rouges à force d’être mordues et je les serre encore pour ne pas faire de bruit. Quelques coups de reins encore… puis tu sors de ton écrin chaud.

     

    Tu te recule, un peu, me retourne, m’embrasse. J’ai les yeux encore remplis du plaisir violent que tu viens de me donner. Une de tes mains sur mon épaule, l’autre sur ma tête… Elles me font comprendre que je dois me baisser.

     

    A genoux devant toi, je vois une de tes mains prendre ton sexe et le guider vers ma bouche. Ma langue pointe et goûte encore ce sexe qui a maintenant l’odeur de mon plaisir. J’aime. Ton gland, gros, doux et plus chaud que jamais, entre dans ma bouche. Tu lui fais faire des va et vient, doucement puis de plus en plus vite. Je sens que tu es à bout. Je sens ton sexe dans la bouche, devenir encore plus gros. Puis tu te crispes à ton tour, tes hanches vers ma bouche, ta main toujours sur ma tête. Je sens ta semence, chaude et sucrée jaillir dans ma bouche. J’avale ton plaisir avec plaisir…. Et me relève. Mes mains remontent le long de ton corps pour arriver sur tes joues. Je prends ta tête avec tendresse et t’embrasse doucement les lèvres.

     

     « bonsoir mon cœur ». 

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