• Surpris au bureau

    Je navigue dans les couloirs, suivant les flèches… je tourne à gauche, puis à droite, encore à droite… j’y suis. Je frappe doucement à la porte fermée. Une voix d’homme, douce, grave, me dit d’entrer. J’ouvre la porte, la referme derrière moi. L’homme est seul à son bureau. Il est resté plus tard aujourd’hui pour rattraper son travail en retard (ah… msn !). Il fini d’écrire et lève la tête. Je vois ses lèvres former un O de surprise.

     

    Tu ne m’attendais pas, évidemment…

     

    Je te souris, d’un sourire plus que coquin, avec mes lèvres et avec mes yeux.  Je te vois sourire à ton tour, et je vois ta main sauvegarder sagement ce que tu venais de saisir. Tu es intelligent…

    Lentement, très lentement, j’enlève mon manteau. Je suis pull fin et en jupe. Mon décolleté, profond, met en valeur ma poitrine. Je m’approche de ton bureau, face à toi. Je me penche vers toi. Ton visage s’approche du mien. Ton regard se perd en route vers mes seins dont les pointes se font apparentes au travers de mon pull. Nos lèvres se joignent doucement, nos regards rivés l’un à l’autre.

     

    En circulant dans les couloirs, je savais ce que je voulais te faire mais je ne savais pas comment. Maintenant je sais. Je me recule et fais le tour de ton bureau. Je m’assois légèrement sur lui, devant toi, entre tes jambes. Tes mains se posent sur mes cuisses, remontent le long de mes hanches, se posent sur mes seins. Je vois que tu es content de me voir. Une bosse se forme entre tes jambes. Une de mes mains te caresse la joue, pendant que l’autre descend, descend toujours plus bas, jusqu’à cette bosse qu’elle frôle, doucement. Je me mords les lèvres. Tes mains ont pincés la pointe de mes seins. Tu me souris de voir les efforts que je fais pour ne pas laisser échapper le moindre son. Lentement, j’enlève tes mains. Tu ne comprends plus.

     

    Tu me vois descendre, toujours entre tes cuisses, toujours plus bas, jusqu’à ce que je sois à genoux devant toi. Je me recule sous le bureau. Mes mains s’égarent sur tes jambes de pantalon, remontent, remontent, jusqu’à la fermeture qui, à ce moment, est très tendue. Je la détache, toujours en te regardant. Ton sexe, dur, gros, doux, excité, se tend vers moi. Tu me connais, je ne peux (et ne veux) résister à son appel. Mes doigts le caressent tendrement, le frôlant d’un doigt curieux, de haut en bas, de bas en haut. Ton sexe a l’air d’apprécier…. Mon regard ne te quitte pas, et ne te quitte toujours pas. Tu me vois, approchant lentement ma bouche. Ma langue sort, téméraire. Elle te frôle, te goûte. Elle remonte le long de ce sexe brûlant. Elle s’arrête en haut. Te lèche, t’excite encore plus, ton gland montre son approbation sur ce traitement en laissant sortir quelques gouttes que je savoure. Ma bouche entière prend le relais. Ton sexe commence à s’y enfoncer doucement. Ma langue, à l’intérieur de ma bouche, continue son traitement, voulant te rendre fou de désir. Je t’entends soupirer…. Et j’entends aussi la porte s’ouvrir…

     

    « Tu es toujours là ? ».

    Heureusement que tu as un bureau du même type que le mien : fermé devant.

    « Oui »

    Ce « oui » me semble un peu rauque je trouve. Je ne sais pas pourquoi… Je suis d’humeur joueuse…. Alors, au lieu de te laisser répondre calmement, au lieu d’arrêter, je continue. Je prends ton sexe de façon plus profonde. Les caresses de ma langue se font plus précises. Une de mes mains vient à la rescousse et vient caresser tes boules. Je te sens avoir un sursaut.

    « tout va bien ? » demande ton collègue…

    « oui…… euh…. Oui… je fini juste un truc et je rentre. »

    « A demain alors »

    « oui à…… demain »…

    Demain, deux mains…. Je dois avoir un problème d’audition….mes deux mains sont maintenant sur toi. La première toujours au même endroit, la deuxième aide ma bouche. Je t’aspire tendrement, je sais que tu aimes….. Je vois que tu n’en peux plus. Ton excitation semble terrible. J’en suis heureuse.

    Tu te recules soudain, doucement. Tes mains me font me relever. Tu m’embrasses le cou, les lèvres. Un petit « je t’aime » murmuré à mon oreille puis tu me fais me retourner. Tu me poses les mains sur le bureau. Ta main sur mes reins me fait me cambrer. Puis, plus rien… je te vois aller vers la porte et tourner la clé. Tu me regardes et tu me souris.

     

    Tu reprends ta place derrière moi. Tes mains se posent sur ma jupe, remontent doucement, emportant ma jupe avec. Tu vois mes bas, noirs. Tu remontes encore. Tes doigts rencontrent ce que tu supposais depuis un moment. J’ai mis un porte-jarretelles pour accrocher mes bas. Tu montes encore…. Pas de culotte, évidemment… Tu te penches à mon oreille 

    « tu as besoin de préliminaire ma douce ? ».

    Tu sais, et je sais que non. Que je suis tellement trempée, que tu vas glisser en moi sans aucun problème mais je te réponds dans un souffle

    « je ne sais pas…. Vas voir ».

     

    Je sens ta main passer entre mes cuisses, un doigt frôler mon clitoris, suivre la ligne de mes lèvres, remonter plus haut, vers un endroit encore secret pour toi. Je te sens hésiter puis te décider. Ton doigt entre en moi, dans mon sexe chaud et mouillé.

    « Je crois que les préliminaires sont superflus ma chérie ».

    Tu te recules. Ton sexe se place tout seul contre mes lèvres. Tu appuis doucement et je te sens d’un seul coup en moi. Profondément. Me remplissant. Tu es excité à fond et tu sais que moi aussi, alors tu te déchaînes… Tes mains sur mes hanches sont fermes, tes coups de reins se font puissants et vigoureux. De plus en plus fort. De plus en plus vite. Tu coulisses parfaitement en moi. Mes mains se crispent sur ton bureau, froissant au passage quelques papiers. Tu sais que j’aime quand tu me prends comme ça. Ton sexe me rend folle de plaisir. Je me sens partir. Mon corps se tend vers toi, se crispe. Mes lèvres sont rouges à force d’être mordues et je les serre encore pour ne pas faire de bruit. Quelques coups de reins encore… puis tu sors de ton écrin chaud.

     

    Tu te recule, un peu, me retourne, m’embrasse. J’ai les yeux encore remplis du plaisir violent que tu viens de me donner. Une de tes mains sur mon épaule, l’autre sur ma tête… Elles me font comprendre que je dois me baisser.

     

    A genoux devant toi, je vois une de tes mains prendre ton sexe et le guider vers ma bouche. Ma langue pointe et goûte encore ce sexe qui a maintenant l’odeur de mon plaisir. J’aime. Ton gland, gros, doux et plus chaud que jamais, entre dans ma bouche. Tu lui fais faire des va et vient, doucement puis de plus en plus vite. Je sens que tu es à bout. Je sens ton sexe dans la bouche, devenir encore plus gros. Puis tu te crispes à ton tour, tes hanches vers ma bouche, ta main toujours sur ma tête. Je sens ta semence, chaude et sucrée jaillir dans ma bouche. J’avale ton plaisir avec plaisir…. Et me relève. Mes mains remontent le long de ton corps pour arriver sur tes joues. Je prends ta tête avec tendresse et t’embrasse doucement les lèvres.

     

     « bonsoir mon cœur ». 

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