• Sortie campagnarde

    Il lui avait dit de se tenir prête et qu’ils allaient sortir sans autre explication. Elle n’avait pas osé en demander non plus mais elle s’en mordait les doigts à présent. Il allait arriver dans deux heures et ça faisait déjà un moment qu’elle réfléchissait à une tenue qui pourrait être appropriée. Mais sans savoir ce qu’elle ferait ni où elle irait, cela n’était pas simple du tout. Elle avait le regard fixé sur sa garde robe, un air désespéré accroché aux yeux lorsqu’elle entendit la sonnerie de son portable signifiant l’arrivée d’un message « Je serai chez toi dans 1 heure. Sois prête. Tenue de campagne »

    Aussitôt lu, son niveau d’inquiétude monte en flèche. 1 heure ! Il ne lui reste qu’une heure ! Et « tenue de campagne » ? C’est quoi pour lui une tenue de campagne ???

    « Je ne vais pas y aller en jean, Tshirt et tennis quand même » se dit-elle….

    Elle tente de réfléchir rapidement et se décide pour une jupe ample qui s’arrête aux genoux et des chaussures à tous petits talons qui lui permettront de marcher n’importe où. Elle enfile ses bas, regarde son string sur le lit… string ou pas string… pas string ou string. Elle sourit intérieurement devant cette question existentielle…. Mais en même temps, elle essaie d’imaginer ce qui lui ferait plaisir sans y parvenir vraiment. Elle se décide pour la version « chatte à l’air » en pensant au soleil qui brille et à la chaleur ambiante. Et puis… campagne… nature… pourquoi ne pas interpréter la consigne sur ce plan là aussi… se dit-elle en riant.

    En haut, le tshirt basique est exclu car il ne donne pas suffisamment accès à ses seins… elle regarde à nouveau sa penderie et…… La sonnerie…. message… un coup d’œil en vitesse :

     « tout compte fait... sois prête dans 30 minutes ».

    Elle ouvre la bouche en un cri silencieux ! Punaise ! 30 minutes !! Il abuse là ! Elle se reprend immédiatement et sourit. Non il n’abuse pas. Il lui fait plaisir plutôt. Elle est sa soumise et il sait qu’elle aime lui obéir même (surtout) dans le stress. Ceci dit… 30 minutes… à ce rythme elle ne sera jamais prête à temps.

    Aller… mission placard ! Elle hésite un peu mais se décide pour un chemisier sans manche qui fait suffisamment « décontracté » pour « coller » au thème imposé. Elle l’enfile, regarde son allure dans la glace… « C’est bon » Se dit-elle. Il lui reste 20 minutes pour remettre un coup de mascara (waterproof au cas où…), un coup de peigne, mettre quelques bijoux (sinon elle ne sent pas à l’aise) et… se calmer ou plutôt, essayer de se calmer…

    La petite musique à nouveau… « devine !.... dans 5 minutes ! ».

    5 minutes !!! Elle jette son téléphone sur le lit plutôt qu’elle ne le pose. Cours à la salle de bain, vérifie son maquillage vite fait.

    Passage aux toilettes : 1 minute ;

    Mascara : 30 secondes ;

    Coiffage : 30 secondes ;

    re-brossage des dents : 1 minute ;

    bijoux : 1 minute.

    Elle revient à la chambre, attrape son portable, le met dans son sac à main, va rapidement à la porte et jette un œil à l’heure. 1 minute avant son arrivée… un peu juste pour se calmer. Elle a l’impression que son cœur veut sortir de sa poitrine et qu’un nœud lui tord le ventre et…. Elle aime ça.

    Quelques instants après, la porte s’ouvre à la volée.

    Il est là, devant elle, souriant. Il la regarde, tournant autour d’elle, vérifiant du regard si tout correspond à sa demande. Il soulève sa jupe…

     « Pas de culotte ?.... Bien… J’aime quand tes fesses sont ainsi à ma disposition. Va t’appuyer contre le canapé et cambre toi bien que je continue mon inspection… »

    Bon… ce n’est pas ça qui va la calmer et il le sait bien…

    Elle se penche, se cambre autant qu’elle peut et prend sur elle pour tendre ses bras vers l’arrière et écarter ses fesses.

     « Bien… je vois que ça rentre »

    Malgré sa gêne, elle sourit à ces paroles.

     « Je vais quand même vérifier » dit-il en lui mettant une petit claque sur le derrière.

    Elle sent ses doigts parcourir ses lèvres, les tirer, les écarter puis la pénétrer.

     « Là… pas de problème comme d’habitude ! Je vais vérifier ailleurs. Contente hein…. »

    Elle se fige un peu, malgré elle.

     « Aller, écarte mieux que ça… »

    Elle sursaute au contact du gel froid, appuie sa tête contre le canapé lorsqu’elle sent les doigts pénétrer son anus.

     « Bon… ça va aussi ici… »

    Alors qu’elle l’entend aller vers la salle de bain, elle se redresse et remet sa jupe droite.

     « Je ne crois pas t’avoir dit de te relever. Si ? »

    Elle stoppe tout mouvement.

     « Euh… non mon Maître. Excuse-moi »

    Elle remonte sa jupe et se penche à nouveau sur le canapé, exposant ses fesses écartées.

     « tu as du gel, il serait dommage de ne pas en profiter… Regarde ce que j’ai pour toi.. »

    Elle tourne la tête et voit son plug. Un faible gémissement sort de sa bouche. Elle est incapable de dire si c’est de plaisir car elle aime le sentir au fond d’elle, d’appréhension car l’intromission lui pose toujours problème, ou de gêne. Sûrement un peu des trois.

    Elle s’efforce de rester immobile, de ne pas avancer pour fuir inutilement. De fait, le plug est rapidement au fond d’elle grâce au gel et à la préparation de ses doigts.

    Il l’aide à se redresser, lisse sa jupe pour elle, passe doucement sa main sur ses fesses.

     « Ca va ? »

    « Oui mon Maître. Merci »

    « Bien. Alors on va y aller mais avant…..»

    Il sort son collier de sa poche. Le regard de Valsou se fixe dessus et un sourire étend ses lèvres. Il sourit à son tour en la voyant réagir ainsi. Il l’attache à son cou et vérifie qu’il ne sert pas de trop. Il sort ensuite son masque qu’il place devant ses yeux, l’aveuglant.

    Il prend le bout de la laisse et la tire vers la sortie. Il referme la porte sur eux, tourne la clé et la met dans son sac à main. Il la guide vers les escaliers qu’elle descend en se tenant à la rampe.

    Elle pose le pied sur le palier du premier étage lorsque le bruit proche d’une porte qui se ferme la fait sursauter.

     « Bonsoir »

    « Bonsoir »

    Elle sent qu’il tire un peu sur la laisse…

     « Tu pourrais être polie…. »

    Un timide petit « bonsoir » sort de ses lèvres….

     « Vous sortez votre chienne ? »

    « Oui… il faut bien satisfaire ses besoins sinon elle devient intenable… »

    « Je comprend ça ! Justement je sors d’un apéro chez des amis dont l’épouse n’a pas arrêté de m’allumer !!! Je ne vous explique pas mes besoins, là, tout de suite… »

    « ah…. Je peux peut-être faire quelque chose pour vous dans ce cas »

    Elle sent les mains de son Maître se poser sur son chemisier, défaire un premier bouton. Elle recule, instinctivement, bute contre une marche et se retrouve assise brutalement…

    « J’allais te dire de te relever mais…. Tu as raison ça sera mieux ainsi. Tu as de la chance. La prochaine fois, je t’interdis de te dérober ! »

    Elle sent à nouveau ses doigts qui détachent les boutons un à un. Les pans s’écartent largement et ses seins sont sortis des corbeilles du soutien gorge.

     « Voilà…. Vous pouvez jouir de la vue, dans tous les sens du terme… »

    Elle comprend en même temps qu’elle entend le bruit significatif d’une braguette qui s’ouvre. Il l’offre ou en tout cas sa poitrine. Alors… Alors elle veut qu’il soit fier d’elle. Elle sent la laisse qui est toujours en l’air et donc dans la main de son Maître, à côté d’elle. Elle pose ses mains sur la marche, légèrement en arrière, se cambrant de manière à mettre ses seins en avant.

    Elle entend des frôlements, des gémissements légers puis, rapidement, des gémissements un peu plus appuyés. Elle sent les jets qui frappent sa poitrine et qui coulent le long de son ventre.

     « Merci, vous êtes très aimable. Ca va mieux là…. »

    « Pas de problème… »

    Elle l’entend descendre d’un pas qui semble guilleret… Elle sourit.

    Un souffle frôle son oreille.

    « Alors… la soirée commence bien non ? Aller, rhabille-toi »

    « Oui mon Maître, très bien. Je peux avoir un mouchoir pour m’essuyer s’il te plait ? Ils sont dans mon sac »

    « Non ! »

    « Non ? Mais…. »

    « Tu as besoin que je me répète ? »

    « Euh non mais… non, je vais me rhabiller »

    « Bien… je vais même te faciliter la vie. Laisse tes seins comme ça, rattache juste ton chemisier. »

    Pendant quelques instants, elle ne sait même plus comment elle doit s’y prendre. Elle a l’impression que ça coule, que ça imprègne la ceinture de sa jupe, qu’elle est poisseuse de partout et remettre ses habits par-dessus tout ça… ben… c’est un peu dégoutant d’après elle. Malgré tout, elle rassemble ses esprits. Elle referme son corsage, attache les boutons en essayant de ne pas faire coller le tissu à la peau mais, sans y arriver.

     « Aller ! On ne va pas y passer la nuit quand même. On va finir par nous attendre et ce ne serait pas poli »

    Elle se fige à ces mots. Ils sont attendus… On va la voir… dans cette tenue qui colle... Et il y a des chances pour que l’on en devine aisément la raison… Elle baisse la tête… vaincue et en même temps…. Heureuse de lui obéir.

    Le collier la tire vers le haut pour qu’elle se lève. Elle suit le mouvement et descend les marches du premier étage. La pensée qu’elle va sortir dans ces vêtements tâchés et tenue en laisse la gêne profondément mais… elle suit son Maître.

    Une portière qui s’ouvre, une main sur sa tête pour la protéger de toute bosse.

     « Relève ta jupe pour t’assoir. Je veux ton cul sur directement sur le siège et ta chatte offerte à la vue »

    Elle s’exécute et pose son sac par terre entre ses pieds.

    Il s’installe au volant, la regarde, passe sa main entre ses cuisses, s’attarde sur son clito puis enfonce ses doigts en elle. Elle gémit sous ses caresses.

     « Ouvre la bouche »

    Il glisse ses doigts entre ses lèvres.

     « Tu as l’air d’aimer non ? »

    « Oui mon Maître. J’aime ce que tu me fais ou me fais faire »

    « Très bien. Fais-toi jouir alors. Tu as quinze minutes environ devant toi… Je veux que tu sois trempée en arrivant »

    Elle avance ses fesses sur le siège autant que la ceinture de sécurité le lui permet. Elle écarte bien les jambes et se tourne très légèrement vers son Maître. Elle sait que ce n’est pas très prudent car il conduit mais… elle lui fait confiance pour rester maître de la voiture. Et puis, elle a envie de l’allumer un peu il faut dire….

    Elle se caresse, essayant d’oublier que, malgré la nuit tombante, des passants et des automobilistes peuvent la voir. Elle sent de temps en temps la main de son Maître qui vient caresser son sein gauche ou le pincer doucement, lui arrachant un gémissement de plaisir à chaque fois.

    Elle n’est pas loin de jouir lorsqu’elle sent la voiture ralentir.

    « Tu as encore quelques minutes devant toi, ne panique pas.  Je dois prendre quelqu’un en route. Ca ne te gêne pas je suppose…. »

    Elle referme vivement les jambes et…. Les ouvre presque aussitôt… reposant sa main où elle était, reprenant timidement ses caresses.

    Elle s’éclaircit la voix…

     « Nnnn… hum hum… non bien sûr. Fais ce qu’il te plait mon Maître »

    La voiture s’arrête et son souffle sur son oreille…

     « Bravo ma soumise… »

    Elle entend la fenêtre qui s’ouvre de son côté et une main prend son visage pour le tourner vers l’extérieur. Des lèvres se posent sur les siennes, une langue cherche à pénétrer. Elle s’offre à cette bouche inconnue… avec plaisir se rend-elle compte.

     « Je vois que la soirée a déjà bien commencé ! »

    « C’est le cas de dire oui ! Dans son immeuble elle a déjà fait plaisir à un homme qui s’est satisfait sur ses seins »

    La portière arrière s’ouvre, l’homme s’installe derrière elle. La voiture se remet en marche et elle continue ses caresses. Elle a un peu de mal à se concentrer de nouveau et se demande avec inquiétude si elle va parv…. Une main est venue se poser sur un sein. C’est l’homme derrière car elle sent son bras. Il pince doucement son téton. Insuffisamment fort pour lui donner une douleur qui couperait tout mais suffisamment fort pour la faire gémir d’excitation et lui faire accélérer ses caresses.

    Un gémissement plus appuyé et son corps tendu fait comprendre aux deux hommes qu’elle a jouit.

     « Bien. Je fermerai les yeux pour cette fois sur le fait que tu t’es fait aider pour tenir le délai… »

    « Merci mon Maître, c’est gentil »

    Elle sent la voiture ralentir son allure, la route devenir plus… cahotique, puis, s’arrêter.

    L’homme derrière sort, son Maître aussi. Il la fait se lever, la pousse un peu pour refermer la portière.

    Le bruit de la ville n’est plus. Elle n’entend que le bruissement des feuilles dans des arbres et le bruit des oiseaux nocturnes qui s’éveillent. Elle suppose qu’ils sont dans une forêt mais elle n’en n’est pas sûre. Il fait suffisamment chaud mais elle frissonne… Elle se demande ce qui l’attend avec anxiété.

    Des mains s’attaquent à son chemisier et en détachent les boutons. Il passe le long de ses bras. L’attache de son soutien gorge est défaite et il est rapidement ôté.

    Elle est retournée, la fermeture de sa jupe descendue et la jupe tombe le long de ses jambes.

    Les bracelets de cuir de son Maître sont ajustés à ses poignets. Elle sourit... elle sera attachée…

    La laisse est tirée et elle se félicite d’avoir mis de très petits talons en sentant les cailloux sous ses pieds. Elle avance doucement. On la stoppe et la fait reculer d’un pas ou deux. Elle a l’impression de sentir la voiture derrière ses mollets.

    Un sein est empoigné, son téton pincé doucement puis un peu plus fort… beaucoup plus fort… jusqu’à ce qu’elle gémisse elle aussi, de plus en plus fort. Des élastiques sont alors mis. Elle ne les compte pas mais se doute qu’ils vont tendre sa poitrine. L’autre sein subit le même sort, du début à la fin.

    Des mains la tiennent aux épaules tout en lui indiquant qu’il faut qu’elle se penche en arrière. Elle sait que la voiture est là mais… ce n’est pas évident de se laisser aller ainsi, sans rien voir.

    Enfin, elle est couchée… sur le capot lui semble t-il en sentant la chaleur sous son dos. Ses bras sont tirés vers l’arrière et au bruit, une corde doit avoir été glissée dans les passants. Ses cuisses sont écartées, largement. Ses pieds sont posés sur le pare-choc à son avis et ses chevilles elles aussi sont attachées, l’empêchant de refermer le compas de ses jambes. Ainsi remontée sur la voiture, ses bras sont à nouveaux tirés vers le haut, interdisant tout mouvement. Elle se demande bien à quelle sauce elle sera mangée et si elle a une complète confiance en son Maître, ça ne l’empêche pas d’être inquiète.

    Il a dû le sentir car elle entend sa voix souffler à son oreille « je suis là et j’ai ta laisse bien en main ». Un soupir s’échappe de sa poitrine… elle bloquait sa respiration depuis quelques instants sans même s’en rendre compte.

    Quelques minutes passent ainsi sans que rien ne se passe si ce n’est que ses seins lui semblent extrêmement tendus. Mais c’est une sensation qu’elle apprécie maintenant.

    Tout à coup, elle a l’impression que des arbres s’agitent. Elle entend des pas sur le chemin. Elle est incapable de dire s’il n’y a qu’une personne ou plusieurs mais ils ne sont plus seuls c’est certain !

    Une main se pose sur son ventre. Le caresse doucement, remonte vers sa poitrine, pince son téton déjà tendu.

    La main d’une autre personne (elle en est sûre car le touché n’est pas le même) se pose sur son sexe, écarte les lèvres, les pince, joue avec son bouton alors que des doigts se glissent en elle.

    En fait, elle a l’impression que des mains sont partout sur elle, caressant, pinçant, profitant de sa bouche et de son sexe. Elle sent même que quelqu’un joue avec le plug, le faisant bouger sans le sortir complètement.

    Des sexes sont placés dans ses mains. Elle essaie de les caresser du mieux qu’elle peut, ses mouvements étant limités par les liens. Les soupirs qu’elle entend la rassurent. Elle ne se débrouille pas trop mal apparemment.

    Son bassin se cambre brutalement. Un sexe vient de s’enfoncer en elle d’une seule poussée. Elle le sent bien tout comme ses mouvements car le plug prend de la place aussi, amplifiant ses sensations. Ses tétons sont pincés de concert par… elle ne sait qui.

    L’homme qui vient de la prendre part, aussitôt remplacé par un autre.

    Au bout de plusieurs minutes, elle ne sait plus où donner de la tête. Elle n’arrive plus à savoir qui lui fait quoi. Sa chatte a été prise plusieurs fois, elle a été pénétrée par des sexes, des doigts. On l’a embrassée. Ses seins ont été caressés, pincés, mordus. Elle ne sait plus, elle profite juste du moment.

    Elle sent que celui qui la prend actuellement va jouir à ses mains qui empoignent plus violemment ses hanches et à ses crispations. Ceci fait, il est vite remplacé. Là aussi, l’homme a envie de se soulager rapidement maintenant. Ses mouvements sont amples et vifs. Elle entend des souffles appuyés de part et d’autre de sa tête. Elle essaye de comprendre ce qui se passe mais… sans y parvenir vraiment.

    Le sexe en elle sort et elle entend le son de préservatif que l’on ôte. Elle devine qu’il se caresse devant elle, ce qu’elle vérifie en sentant un jet atterrir sur son pubis et un autre sur son ventre. Simultanément, d’autres jets frappent ses seins et son ventre encore.

    Tout se calme. Elle sourit.

    On la détache, on enlève les élastiques et on l’aide à se relever. Elle a une furieuse envie d’une douche mais ne dit rien.

    Son Maître s’approche. « Alors ? tu as aimé ? »

    « Oui mon Maître. C’était…. Parfait ! »

    « Tant mieux. Mais ce n’est pas encore fini. J’ai une question. Si tu te trompes, tu seras punie. Combien d’hommes ont profité de ton corps ce soir ? »

    « Euh… je dirais 4 ici et 1 dans mon immeuble donc 5. »

    « Tant pis… »

    Elle retient son souffle…

    « Tu ne seras pas punie. Tu échappes à la fessée »

    Elle baisse la tête une seconde, la relève, le regarde derrière son masque. Elle est tout sourire.

    « Je peux revenir sur ma réponse s’il te plait mon Maître ? Je crois que j’en ai oublié un…. »

    « Tu es une belle salope ma soumise ! » Il sourit à son tour… Il était presque certain de sa réaction.

    « Très bien. Viens par là. Appuie-toi ici »

    Il l’a fait se pencher, les coudes sur le capot. Sa main appuie sur ses reins pour la cambrer.

     « Ah… j’ai oublié de te dire, notre ami qui t’a si aimablement aidé sur le trajet pour venir ici, a bien mérité une récompense. Il a donc le droit de te donner une fessée aussi. Ton Maître n’est-il pas gentil ? »

    « Mon Maître est un ange et je le remercie de faire ainsi en sorte que sa soumise ait chaud aux fesses sur le trajet du retour »

    Une, deux, trois…. A six, elle se dit qu’elle a vraiment une trop grande gueule parfois. A dix, qu’elle poserait bien ses fesses dans la neige, à quinze, elle gémit en se dandinant.

    « Arrête de faire ta petite nature. C’est toi qui a demandé je te le rappelle… »

    « Je sais mon Maître…. Je sais…. »

    Elle s’efforce de rester plus tranquille mais… elle a vraiment mal.

    « Je te fais cadeau de la dernière. Contente ? »

    « Oui… merci mon Maître. »

    « Très bien. Maintenant, notre ami ici présent voudrait bien profiter de ta bouche qui n’a pas encore servit ce soir du reste. Ou pas trop en tout cas. Écarte-toi un peu de la voiture en restant dans cette position »

    Elle s’exécute et sent l’homme passer devant elle et s’appuyer sur la voiture à son tour. Elle entend la braguette qui s’ouvre. Une main se pose sur sa tête et appuie jusqu’à ce que ses lèvres rencontrent le sexe bandé. Sa bouche s’ouvre et sa langue tourne autour du gland mais rapidement, elle le suce complètement.

    Son Maître est resté derrière elle. Elle le sent à la laisse qui est posée sur son dos. Il joue avec le plug pendant qu’elle s’occupe de leur invité. Il l’enlève à moitié, jusqu’à ce que l’endroit le plus large soit prêt à sortir. Il le remet et ainsi de suite pendant quelques instants puis, l’enlève complètement. Elle sent le sexe de son Maître la pénétrer lentement mais à fond. Elle gémit…. Mais pas de douleur. Elle en oublie de s’occuper du sexe dans sa bouche.

    Une claque sur une fesse… « Et alors…. ? »

    Elle se remet à lécher l’homme devant elle pendant que son Maître la sodomise.

    « Caresse toi et fais-toi jouir avec nous… »

    A ces mots, sa main vient exciter son clito de caresses rapides et appuyées. Elle ne pense pas qu’ils vont tenir très longtemps avec la soirée qu’ils viennent de passer et, elle-même… elle a très envie de jouir… vite.

    Ils gémissent de concert. L’homme jouit sur sa poitrine et son cou, son Maître au fond d’elle et elle, sous ses doigts.

    Elle se redresse avec raideur dès que son Maître la libère. Elle se sent un peu ankylosée après cette soirée. Et poisseuse. Surtout poisseuse en fait.

    Une claque sur ses fesses… « Aller en voiture ! Mais prends cette serviette avant… déjà que tu taches les couvre-lits… je ne voudrais pas que tu laisses des traces sur le siège. »

    Un esprit d’espièglerie s’empare d’elle et en souriant, elle le prend par le bras, se tend et… l’embrasse sur la joue.

     « Merci mon Maître ! Pour la serviette et… le reste…. »

    En riant, il la regarde s’installer et, prenant un air faussement affligé en direction de leur invité…

     « Je me demande ce que je vais arriver à faire d’elle…. »

     

     

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