• Elle était à son bureau depuis plusieurs heures maintenant, travaillant sur un dossier qu’elle devait terminer pour la fin de semaine. Interrompue plusieurs fois depuis son arrivée par le téléphone, elle pestait mentalement. L’alerte qui vient de s’afficher sur son téléphone coupe son énervement, lui donne un grand sourire et dans le même temps, lui donne des papillons dans le ventre. A chaque fois c’est pareil. Qu’il lui téléphone ou qu’il lui envoie un message, elle est aussi heureuse qu’elle est « inquiète ». Mais à chaque fois c’est pareil, quoi qu’elle soit en train de faire, elle ne peut s’empêcher de jeter un œil. Même si elle ne peut pas réponde immédiatement, elle regarde le message. C’est plus fort qu’elle. Et… de vous à moi, elle adore cette situation. Etre émue rien qu’en voyant son visage. Savoir qu’elle ne peut rien lui refuser. Cette petite appréhension en voyant l’alerte. Elle connaît sa chance car tous ne prennent pas le temps d’envoyer des messages.

    Le téléphone en main, elle savoure quelques microsecondes le fait de voir son nom s’afficher. Evidemment, elle a paramétré son téléphone pour que le message ne s’affiche que si elle le demande car, imaginez la situation si, en réunion, son voisin de table pouvait lire le contenu envoyé….

    Là, elle est seule ou quasiment car elle entend sa secrétaire travailler dans le bureau à côté (oui, les murs sont minces). Elle regarde son message avec impatience.

    « Que fais-tu ? »

    « Je travaille sur un dossier, je gère les affaires courantes… bref, une journée normale bien que très remplie. Je vous embrasse ».

    Elle sourit en écrivant. Elle aime leurs petits échanges à toute heure de la journée.

    Elle va pour se lever et se faire un café lorsque l’alerte se fait entendre. Le café attendra.

    « Tu es en jupe ? » Question purement rhétorique puisqu’il connait sa tenue grâce à la photo envoyée tous les matins.

    « oui » répond-elle malgré tout.

    Elle a juste le temps d’atteindre la cafetière et d’appuyer sur le bouton que l’alarme se fait de nouveau entendre. Elle prend son café d’une main tout en regardant son message de l’autre.

    « Relève-la ! Je veux tes fesses en contact direct avec ta chaise »

     Ohhhhh… Elle adore lorsqu’il lui donne des ordres ainsi. Elle se dépêche de remonter sa jupe puis s’assied. Ça n’a l’air de rien pourtant mais le fait de lui obéir rend cet acte tellement…

    « J’espère que tu es plus rapide pour bosser que pour t’exécuter ou pour me répondre »

    Oups…. Voilà ce que c’est de trop penser à ses consignes tant désirées.

    « Excusez-moi. C’est fait »

    « Tu sais que je m’en souviendrai lors de notre prochaine rencontre… »

    « Oui je le sais. Excusez-moi encore »

    « Garde ton chemisier mais sort tes seins de ton soutien-gorge »

    Ah… elle s’exécute… tout en espérant que sa secrétaire n’aura pas envie de venir la voir…

    « Fait »

    « Photo »

    Les papillons sont de plus en plus actifs dans son ventre…. Elle fait un selfie en essayant que l’on puisse voir à la fois ses cuisses nues sur son siège et sa poitrine dont les tétons sont bien visibles et lui envoie la photo.

    « Parfait »

    « Tu as tes liens ? »

    Ses liens ? Elle sourit… oui elle les a toujours sur elle, ou plutôt dans son sac depuis qu’elle a compris qu’il adorait qu’elle (ou lui) se bonde les tétons avec ses petites ficelles.

    « Oui »

    « Alors tu sais ce que tu as à faire »

    C’est la première fois qu’il lui demande ça dans son bureau. D’habitude, il les lui fait mettre aux toilettes. Là, c’est un peu plus gênant car sa secrétaire peut rentrer. Mais…. Même si elle a du mal à se l’avouer, c’est obéir à ce genre de demande qui fait qu’elle se sent tellement à lui…

    Elle prend les liens dans son sac, se tourne à demi histoire de ne pas être face à la porte, ouvre son corsage. Elle veut faire vite mais… elle veut aussi les sentir enserrer ses tétons. Elle veut les sentir comme si c’était lui qui les serrait…

    Elle commence par doubler un lien et fait un nœud coulissant qu’elle passe à la base de son téton. Ensuite, elle fait des tours, serrant bien à chaque fois. Pas trop fort mais suffisamment pour bien le sentir. Son téton est complètement recouvert par ses tours de ficelle et elle fait un dernier nœud, bien serré. Elle procède de la même manière avec le deuxième, prend une photo, puis rattache son chemisier.

    « C’est fait » envoi-t-elle avec une photo.

    « Très bien… merci pour la photo. Tu peux remettre tes seins dans ton soutien-gorge »

    Elle admet que cette dernière demande lui facilite la vie. Même si elle sait que son chemisier et sa veste cacheraient ses tétons érigés de force, on ne sait jamais… Elle remet rapidement son sous-vêtement et profite que les messages n’arrivent plus pour boire son café tout en lisant son dossier. Ses tétons se rappellent à elle et… elle adore ça, même si sa concentration en prend un coup.

    Son téléphone s’allume… Elle lit…

    « Es-tu mouillée ? »

    Elle n’aime pas lorsqu’il lui demande ça. C’est idiot mais elle pense ne pas mouiller beaucoup d’une manière générale et comme elle ne lui ment jamais, elle trouve ça très gênant de lui répondre "non" ou "un peu" alors qu’elle adorerait lui dire qu’elle est complètement mouillée… Bon, dans un premier temps, regarder. Elle écarte les cuisses puis passe un doigt entre ses lèvres, insiste un peu et… oui, elle est mouillée.

    « Je suis mouillée »

    « Très bien. Je suppose que tu as ton petit vibro dans ton sac. Prend-le et bloque-le dans ton bas comme je sais que tu aimes faire. Excite toi en pensant à ma queue et ne répond plus à mes messages jusqu’à ce que je te le dise »

    Elle prend son gadget, le met en marche vitesse 2, le pose sur son clito puis le glisse sous l’élastique de son bas droit. Son excitation grimpe…

     « Imagine ma queue devant ta bouche… dans ta bouche »

    Oh… ça, elle l’imagine sans problème. Elle imagine sa langue qui tourne autour de son gland. Elle imagine ses lèvres caressant tout le long de sa queue. Elle s’imagine léchant, aspirant ses bourses…

    « Imagine-toi à quatre pattes devant moi, ma queue dans ta chatte, mes mains qui empoignent tes hanches… »

    Elle se rappelle… ses mouvements doux qui peuvent devenir très très « virils » à la limite de la brutalité et… ça l’excite encore plus…

    « Enlève ton vibro et fais-toi jouir avec tes doigts. Je veux que tu aies joui d’ici 3 minutes. Et préviens-moi lorsque ce sera fait »

    Il sait qu’elle n’aime pas les délais, qu’elle est plutôt longue mais là… elle se sent proche de la jouissance alors ça devrait aller.

    Son doigt glisse sans problème sur son clito. Il s’agite de droite à gauche, appuie de plus en plus tout en caressant. Elle sait que sa jouissance arrive. Elle se crispe, ferme les yeux, s’imagine avec lui la regardant… elle jouit… en silence.

    Quelques secondes pour se remettre puis elle envoie son message. « J’ai joui. Merci mon Maître chéri. Je vous embrasse »

    « Je t’en prie ma soumise. Bosse bien maintenant. Je t’embrasse ».

    Elle sourit.

    Son téléphone se rallume. Ah… un oubli ?

    « A partir d’aujourd’hui, en plus de ton attirail habituel, pense à prendre ton plug. On ne sait jamais, ça pourrait te servir un de ces jours…. »

     

     

    aucun commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une image que j'aurais aimé mettre en texte. J'aurais adoré. Mais j'ai eu du mal. Et le temps que je commence quelque chose qui me plaise, mon histoire était terminée.

    Je ne savais pas quoi faire de cette photo même si je l'ai gardée précieusement. Alors... pas de texte mais je place malgré tout l'image ici car je l'aime vraiment. Passons sur le fait qu'elle me rappelle de bons souvenirs évidemment mais je l'aime aussi pour d'autres raisons :

    C'était ma première expérience de shibari et j'ai adoré cette sensation.

    Je trouve l'image belle et ça ne m'arrive pas souvent lorsque je suis dessus.

    Et... histoire de sourire... j'ai découvert que des bras, c'est drôlement utile pour se déplacer sur un lit, se coucher, se relever, etc...

    Voilà... maintenant, j'entame une nouvelle histoire... Peut-être aurez-vous de nouveaux textes ou de nouvelles photos....

     

     

     

     

    aucun commentaire
  • Il était une fois une petite fée que nous appellerons Valérie. Elle vivait évidemment au pays des fées, très beau pays verdoyant. Tout le monde y était gentil et d’une parfaite politesse. Valérie vivait dans sa petite maison bâtie au centre d’un rosier d’un rouge profond. Elle avait beaucoup d’amies et d’amis et faisait souvent la fête. Sa vie amoureuse était sexuelle. Elle n’avait pas de petit ami attitré mais passait de l’un à l’autre sans trouver ce qu’elle cherchait. Elle ne savait pas trop ce qu’elle cherchait du reste, mais elle savait qu’elle n’était pas complètement satisfaite. Bref, elle s’ennuyait ferme au lit !

    Un jour, pourtant, elle rencontra un jeune homme qui voulut innover. Il la fit mettre en levrette. Elle n’en n’avait pas bien l’habitude mais elle accepta. Et lorsqu’elle senti une de ses mains agripper la base de ses ailes pour qu’il enfonce sa queue bien au fond de sa chatte, elle mouilla comme jamais. Lorsqu’ensuite il lui mit de grandes claques sur les fesses, elle jouit comme jamais elle n’avait jouit. Au petit matin, malheureusement, lorsqu’elle voulut lui dire de rester et de recommencer, il l’a devança et lui dit « C’était sympa merci… On remettra ça un de ces 4… »

    Il n’avait pas fermé la porte qu’un vase vola à travers la pièce…. Oui… Valérie avait son petit caractère…

    Elle reprit ses aventures sans retrouver ces sensations. Elle questionna ses amies l’air de rien mais sans succès. Elle se refermait petit à petit et partait souvent faire de longues promenades dans les forêts proches, seule.

    Aujourd’hui justement, elle se promène. Elle se promène sans but précis, juste pour essayer de se vider la tête. Au détour d’un sentier, elle voit de la fumée qui l’intrigue. Il n’y a pourtant aucune habitation par là-bas d’après ses souvenirs. Elle avance dans cette direction et arrive devant une maison. Une palissade borde le terrain et un petit portail semble l’appeler. Curieuse comme toutes les fées, Valérie regarde de tous les côtés puis pousse le portillon. Elle va pour taper à la porte lorsque celle-ci s’ouvre brusquement la faisant sursauter.

    « Bonjour, je t’attendais justement »

    « Vous m’attendiez ? Mais… »

    « Ne reste pas là, entre… »

    Elle le regarde quelques instants. Il semble sûr de lui dans son costard-cravate. Et impressionnant même s’il sourit. Et son crâne quasiment rasé n’arrange rien. Elle a un mouvement de recul mais il est plus vif qu’elle et l’attrape par le poignet…

    « Pas si vite ma petite Valérie… Tu es venue jusqu’ici alors tu peux rester un peu. Je ne vais pas te manger. Pas sans ton consentement en tout cas… » Rajoute-t-il en un sourire.

    Elle ne comprend pas ce qui se passe. Il semble la connaître, l’appelle par son prénom mais elle ne se rappelle pas l’avoir déjà croisé… Mais Valérie est à la fois timide et téméraire, elle se laisse tirer à l’intérieur.

    L’intérieur est propre et bien tenu ce qui la surprend un peu. Elle s’assoit là où il le lui indique : sur un canapé. Il s’assoit sur la place à côté d’elle.

    « Un café, un thé ?»

    « Un thé merci »

    Elle ne sait plus trop ce qu’elle doit penser. Il semble intimidant mais également gentil. Il sourit souvent et elle aime bien. Il discute un peu de tout, d’elle. Il semble tout connaître d’elle.

    Au bout d’une heure de thé, de petits gâteaux et de discussions, elle se sent à l’aise même s’il l’intimide encore un peu. Sa main se pose sur son genou ne lui pose pas de problème. Mieux… elle a subitement envie de plus…

    Il voit à la réaction de ses pupilles qu’il peut aller plus loin et il ne va certainement pas s’en dispenser.

    Ils ne parlent plus mais ils s’observent. Sa main passe de son genou à sa cuisse alors que son autre main vient se poser sur un sein. Elle lâche un soupir tant de surprise que d’excitation. Il le lui pétrit doucement puis un peu plus fortement lorsqu’il la sent se tendre vers lui.

    Elle décide (mais…. elle l’a décidé depuis un petit moment…) de lui faire confiance. Un homme qui lui fait ressentir tout ça ne peut être foncièrement mauvais. Et… elle a envie de sexe. Et pas de sexe timoré.

    Elle ferme les yeux face à toutes ses sensations et lorsqu’il l’a voit s’abandonner, il prend les choses en mains.

    « Pose tes vêtements »

    « Que je…. ? »

    « Oui. Et dépêche-toi ou c’est moi qui m’en charge »

    « Non, non… c’est…. C’est bon… Je vais le faire »

    Une caresse sur la joue, sur la tête, un sourire et « c’est bien »

    Elle se déshabille plus ou moins maladroitement devant lui.

    D’un geste, il lui indique le sol devant le canapé. Elle s’approche et se met à l’endroit indiqué. Il la place entre ses jambes. Ses mains montent vers ses seins et alors qu’il lui embrasse le ventre et le pubis, il pince fortement ses tétons la faisant sursauter et crier. Il empoigne ses seins et les serre… un peu…. Beaucoup… vraiment beaucoup… attendant ses gémissements, qui arrivent assez rapidement.

    Il se lève, lui donne une claque sur une fesse et l’entraine en ta tenant par un sein derrière le canapé. Il l’a fait se pencher sur le dossier. Elle se retient tant bien que mal avec les mains car ses pieds touchent à peine le sol maintenant.

    Elle a à peine le temps de penser qu’elle est folle de se laisser faire ainsi qu’elle sent une main claquer sa fesse droite. Puis une caresse. Puis sa fesse gauche claque. Puis une caresse. Les claques et les caresses s’alternent, ou pas, le rythme n’est pas très régulier mais elle n’y fait pas attention. Tout ce qu’elle sait c’est que ses fesses la cuisent. Elle essaie de bouger, d’éviter les claques mais… à l’instant où elle se dit que trop c’est trop, tout stoppe. Elle va pour se relever mais une main posée sur son dos l’en dissuade.

    « Reste-là »

    Elle n’ose plus bouger et l’air de rien… savoure la chaleur de ses fesses et frotte légèrement sa chatte sur le dossier. Eh oui… même si elle n’en n’a pas pleinement conscience, cette fessée l’a échauffée… à tous points de vue.

    Il est parti quelques instants mais elle le sent. Il est tout contre elle. Sa main flatte son dos, ses épaules, comme un massage très doux. Elles descendent sur ses hanches, ses fesses, ses cuisses…

    Il la tire doucement vers l’arrière et pose fermement sa main sur sa chatte, l’enserrant fermement. Son gémissement de plaisir le fait sourire. Il passe et repasse sa main plus ou moins doucement puis écarte les lèvres. Ses doigts trouvent son bouton et tournent autour, doucement, vivement, et le pince à certains moments arrachant des gémissements de plaisir à Valérie.

    « Sais-tu que tu es trempée ? » lui dit-il en lui tirant les cheveux pour la faire se cambrer.

    « Non… je… »

    « Si… Pas la peine de nier »

    Il continue ses caresses durant quelques minutes, la menant proche de la libération mais… pas encore.

    Il se recule, la repousse correctement sur le dossier.

    Elle sent la caresse de quelque chose de doux passer sur son dos, ses hanches, ses fesses…. Elle ne voit pas bien ce que ça peut être jusqu’à ce qu’elle sente un claquement sur son postérieur. Claquement bien moins douloureux que la fessée précédente. Ça… elle se rend compte qu’elle aime beaucoup. Ses fesses se tendent, elle bouge pour chercher la douce « caresse » du martinet puisqu’il s’agit de ça devine-t-elle.

    Au bout de quelques minutes, les coups s’arrêtent. Elle le sent qui s’appuie derrière elle, collant son corps encore habillé contre le sien. Elle sent qu’il bande et espère qu’il ne va pas tarder pour la prendre… encore et encore…

    « Veux-tu que l’on aille plus loin Valérie ? Ou préfères-tu que l’on en reste là ? »

    Elle réfléchit. Pas trop longtemps car elle aime cette situation à sa grande surprise.

    « Je veux continuer »

    « Tu es sûre ? Je veux aller plus loin avant de te baiser »

    « Oui… oui j’en suis sûre »

    « Très bien »

    Encore une fois il s’absente quelques secondes. Lorsqu’il revient, il jette sur le canapé, devant elle, une cravache, un martinet, un fouet enroulé. Elle a un mouvement de recul.

    « Non. Ne t’inquiète pas. Pas trop en tout cas. Je n’irai pas plus loin que ce que tu peux endurer »

    Elle lui jette un regard anxieux, le voit sourire, voit son regard et… se repositionne sur le dossier.

    « Bien, bravo Valérie ! »

    Il lui écarte les jambes et attache ses chevilles aux pieds du canapé à l’aide des cordes. Il procède de même avec ses mains sur les pieds de la table basse.

    « Que préfères-tu ? Je te laisse le choix pour cette première fois. Cravache ou martinet ? »

    Elle réfléchit quelques secondes. La cravache lui fait peur mais le martinet, elle a bien aimé…

    « Le martinet »

    « très bien » dit-il dans un sourire.

    Là aussi, il commence par la parcourir des lanières, doucement, lui effleurant juste le dos et les fesses et puis…

    Clac, une caresse de la main, clac, une autre caresse. Elle en compte 10 au total. Ses fesses la chauffent. Beaucoup. Beaucoup plus que tout à l’heure.

    Le martinet est reposé devant elle.

    Elle tourne la tête vers lui en souriant de façon téméraire...

    « Vous êtes au courant que le premier martinet était carrément de la publicité mensongère ? »

    Il éclate de rire…

    « Ah bon ? Tu crois ? Et si j’essayais le fouet pour voir si tu as la langue toujours aussi bien pendue ? »

    Elle entend le sifflement du fouet et sent en même temps sa morsure, rapide, brulante mais un peu moins douloureuse qu’elle n’en n’avait eu peur. Elle se décontracte un peu.

    La seconde morsure, sur le dos, est un peu plus appuyée. Elle sursaute de surprise. La troisième et la quatrième montent encore en puissance, sur ses hanches. La cinquième, sur le dos encore et il termine sur la deuxième fesse, d’un coup plus puissant que les autres.

    Il sent que c’est assez. Il pose rapidement son pantalon, prend en main sa queue bien bandée, vérifie si, comme il le pense, Valérie est bien mouillée et s’enfonce d’un coup en elle. Elle gémie longuement, appréciant d’être prise ainsi, à sa merci.

    Il empoigne d’un côté la chair de sa hanche, de l’autre main, il empoigne ses cheveux et commence ses va-et-vient, profonds et rapides.

    Elle bouge pour aller au-devant de ses mouvements, de plus en plus excitée. Elle apprécie tant cet assaut sauvage qu’elle ne met pas longtemps pour jouir.

    Il se retire, dénoue rapidement les cordes et la prenant par les cheveux, la fait mettre à genoux devant lui. Elle n’est pas idiote. Elle prend la queue toujours bandée en bouche et commence à le sucer en y mettant toute son expérience et surtout tout son cœur. Elle a envie de lui faire plaisir de lui prouver qu’elle sait sucer.

    Elle n’a pas à attendre longtemps tellement il était déjà plus qu’excité. Il se tend dans sa bouche et jouit, tenant sa tête contre son pubis.

    Après quelques instants, il la relève, l’embrasse.

    « Ça va ? »

    « Très bien oui » répond-elle en souriant et en se rhabillant

    « Dis-moi petite fée, j’ai très envie que tu m’appartiennes. Tu aurais envie de venir voir le Père Fouettard régulièrement ? »

    « J’hésite » dit-elle  en un sourire mutin….

    Une claque sur la fesse gauche…

    Elle l’embrasse au coin de la bouche « Ouiiiiii… Oui évidemment que j’en ai envie… »

    Ainsi, ils se virent… souvent. Longtemps. Ils ne se marièrent pas mais ils eurent plein de petites cravaches… et pas que…

    aucun commentaire
  • Voilà bien longtemps que je me retrouve incapable d'aligner des phrases qui correspondent à ce que je voudrais dire. J'ai les idées mais rien ne sort comme je le souhaiterais. Et puis....

     

    Ils s’étaient donné rendez-vous dans un restaurant anonyme. « Ils » c’était « Lui » et c’était « elle ». Ils avaient échangé par mails, échangé des points de vu, échangé des fragments de leur vie, à la fois intime, familial et sexuel. Et là, elle se retrouvait face à Lui.

    elle ne s’attachait absolument au physique lorsqu’elle rencontrait pour la première fois, préférant voir un sourire véritable qu’une « belle gueule » mais là… certes Lui avait un beau sourire qui remontait jusqu’au yeux mais elle le trouvait… « beau ». Et elle ne se trouvait pas « belle ». Alors… elle avait envie de se noyer dans son regard et en même temps, elle se demandait ce qu’il pouvait lui trouver, outre son goût pour la soumission.

    Leur conversation était fluide entrecoupée de petits silences qu’elle appréciait aussi. elle hésitait alors. Le regarder lorsqu’ils parlaient était normal, naturel. Le regarder pendant les silences c’était… autre chose. C’était un regard pour imaginer la suite envisageable. Et là, elle se sentait à la fois comme une ado devant le garçon de ses rêves et comme une femme soumise devant son possible Maître. elle l’imaginait bien sourire. elle faisait même mieux que l’imaginer car il souriait souvent. elle l’imaginait aussi sans sourire et elle pouvait même l’imaginer l’air sévère. Et elle aimait ces images.

    Par contre, même si elle avait de l’imagination, elle n’arrivait pas encore à se visualiser avec Lui en soumise. Sans doute était-ce trop tôt. elle avait bien cette sensation au fond d’elle que cette relation pouvait aboutir sur quelque chose d’infiniment mieux qu’un simple repas agrémenté de sourires mais de là à s’imaginer nue et attachée devant lui… il y avait un important fossé.

    elle se sentait à la fois nerveuse et heureuse d’être là. Heureuse d’être là et d’être nerveuse.

    Clac… Un claquement de doigts vers son oreille et elle sursaute un peu. elle relève sa tête qui était posée gentiment sur Ses genoux…

    - Oui mon Maître ?

    - Tu avais le regard vague et le sourire aux lèvres… à quoi rêvais-tu ?

    - Je me rappelais juste notre première rencontre et que j’étais heureuse d’être à vous….

    --------------------------------------

    C'était il y a quatre mois. La première "vraie" rencontre a eu lieu et je suis effectivement heureuse.

     

    aucun commentaire
  • J'ai toujours aimé les textes érotiques. J'en écris parfois bien que cela fasse longtemps que je n'ai rien écrit de bien, de finalisé.

    Malgré tout, cela ne m'empêche pas de fouiner de-ci de-là et de tomber sur des textes à tomber par terre. 

    Je ne suis pas critique littéraire, loin s'en faut ! rire... mais voici mes derniers coups de coeur :

    Le premier, c'est "Annabelle" de Sarah Agnès L.

    Jusqu'à l'année dernière, les deux tomes étaient en lecture libre mais... ce n'est plus le cas. Seuls certains de ses ouvrages le sont encore.

    Tous les chapitres sont magiques et ont fait monter en moi de multiples souvenirs, ravivant certaines de mes envies  (Ou pas, car le premier tome va très loin). J'ai commencé de lire et je n'ai pas pu m'arrêter.... Heureusement que je suis en congés... sourire. Voici le lien vers son site et vers le bonheur de la lecture. 

    Ps... Elle écrit du bdsm mais elle écrit aussi de la littérature érotique "standard", des textes longs, des textes courts... bref, il y en a pour tous les goûts. 

    http://www.saraagnesl.com/

     

     

    Le deuxième, c'est "La rencontre" de Paul Fontaine

    J'admets que je ne l'ai pas encore terminé. Pour deux raisons. Je l'ai commencé il y a peu d'une part et d'autre part, le livre est en cours d'écriture (il y a quand même 55 chapitres de mis en ligne à ce jour...).

    Pourquoi je vous en parle ? Car il est assez rare de trouver des textes écrits par des Maîtres qui parlent à la première personne. Ou alors je ne suis pas tombée sur les bons sites. On trouve souvent des textes écrits par des soumises et/ou des textes où le narrateur est omniprésent et raconte ce qu'il "voit".

    Là, pour moi, cela a un côté "étrange" mais pas du tout désagréable. Et là aussi, cela a fait remonter certaines envies... sourire...

    http://www.atramenta.net/lire/la-rencontre/42050

     

    Voilà... bonne lecture à toutes et tous et n'hésitez pas à me donner votre avis.

    Bises.

    aucun commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires