• Mon Maître d'alors m'avait fait rencontrer un autre Maître D. et sa soumise M.. La rencontre a eu lieu chez elle. Il y avait donc nous quatre et..... le mari, voyeur de son état.

    C'était ma première expérience avec une femme et devant un voyeur aussi du reste. J'avais peur que ce dernier point me "coince" un peu mais non. La rencontre s'est vraiment, vraiment....  bien déroulée.

    Pour ma première fois féminine... j'ai beaucoup aimé. 

    Depuis, j'ai eu une autre rencontre féminine que j'ai beaucoup appréciée aussi mais... vous devrez vous contenter de votre imagination car je n'ai aucune photo... désolée... sourire.

    Rencontre à 5

     

     

    Bon... je n'aime pas mes fesses mais ainsi habillées de traces de coups de ceinture et autres... ça va... sourire.

     

     

     

     

     

    Rencontre à 5

     

     

    Mes fesses et la chatte de ma copine de jeu.... très belle chatte du reste !!!

     

     

     

     

     

    Rencontre à 5

     

     

    Photo d'une première : étrange de se faire prendre par une femme équipée d'un gode-ceinture. Je crois que nous avons autant ri de notre maladresse que nous avons apprécié.

     

     

     

     

     

     

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  • Il lui avait dit de se tenir prête et qu’ils allaient sortir sans autre explication. Elle n’avait pas osé en demander non plus mais elle s’en mordait les doigts à présent. Il allait arriver dans deux heures et ça faisait déjà un moment qu’elle réfléchissait à une tenue qui pourrait être appropriée. Mais sans savoir ce qu’elle ferait ni où elle irait, cela n’était pas simple du tout. Elle avait le regard fixé sur sa garde robe, un air désespéré accroché aux yeux lorsqu’elle entendit la sonnerie de son portable signifiant l’arrivée d’un message « Je serai chez toi dans 1 heure. Sois prête. Tenue de campagne »

    Aussitôt lu, son niveau d’inquiétude monte en flèche. 1 heure ! Il ne lui reste qu’une heure ! Et « tenue de campagne » ? C’est quoi pour lui une tenue de campagne ???

    « Je ne vais pas y aller en jean, Tshirt et tennis quand même » se dit-elle….

    Elle tente de réfléchir rapidement et se décide pour une jupe ample qui s’arrête aux genoux et des chaussures à tous petits talons qui lui permettront de marcher n’importe où. Elle enfile ses bas, regarde son string sur le lit… string ou pas string… pas string ou string. Elle sourit intérieurement devant cette question existentielle…. Mais en même temps, elle essaie d’imaginer ce qui lui ferait plaisir sans y parvenir vraiment. Elle se décide pour la version « chatte à l’air » en pensant au soleil qui brille et à la chaleur ambiante. Et puis… campagne… nature… pourquoi ne pas interpréter la consigne sur ce plan là aussi… se dit-elle en riant.

    En haut, le tshirt basique est exclu car il ne donne pas suffisamment accès à ses seins… elle regarde à nouveau sa penderie et…… La sonnerie…. message… un coup d’œil en vitesse :

     « tout compte fait... sois prête dans 30 minutes ».

    Elle ouvre la bouche en un cri silencieux ! Punaise ! 30 minutes !! Il abuse là ! Elle se reprend immédiatement et sourit. Non il n’abuse pas. Il lui fait plaisir plutôt. Elle est sa soumise et il sait qu’elle aime lui obéir même (surtout) dans le stress. Ceci dit… 30 minutes… à ce rythme elle ne sera jamais prête à temps.

    Aller… mission placard ! Elle hésite un peu mais se décide pour un chemisier sans manche qui fait suffisamment « décontracté » pour « coller » au thème imposé. Elle l’enfile, regarde son allure dans la glace… « C’est bon » Se dit-elle. Il lui reste 20 minutes pour remettre un coup de mascara (waterproof au cas où…), un coup de peigne, mettre quelques bijoux (sinon elle ne sent pas à l’aise) et… se calmer ou plutôt, essayer de se calmer…

    La petite musique à nouveau… « devine !.... dans 5 minutes ! ».

    5 minutes !!! Elle jette son téléphone sur le lit plutôt qu’elle ne le pose. Cours à la salle de bain, vérifie son maquillage vite fait.

    Passage aux toilettes : 1 minute ;

    Mascara : 30 secondes ;

    Coiffage : 30 secondes ;

    re-brossage des dents : 1 minute ;

    bijoux : 1 minute.

    Elle revient à la chambre, attrape son portable, le met dans son sac à main, va rapidement à la porte et jette un œil à l’heure. 1 minute avant son arrivée… un peu juste pour se calmer. Elle a l’impression que son cœur veut sortir de sa poitrine et qu’un nœud lui tord le ventre et…. Elle aime ça.

    Quelques instants après, la porte s’ouvre à la volée.

    Il est là, devant elle, souriant. Il la regarde, tournant autour d’elle, vérifiant du regard si tout correspond à sa demande. Il soulève sa jupe…

     « Pas de culotte ?.... Bien… J’aime quand tes fesses sont ainsi à ma disposition. Va t’appuyer contre le canapé et cambre toi bien que je continue mon inspection… »

    Bon… ce n’est pas ça qui va la calmer et il le sait bien…

    Elle se penche, se cambre autant qu’elle peut et prend sur elle pour tendre ses bras vers l’arrière et écarter ses fesses.

     « Bien… je vois que ça rentre »

    Malgré sa gêne, elle sourit à ces paroles.

     « Je vais quand même vérifier » dit-il en lui mettant une petit claque sur le derrière.

    Elle sent ses doigts parcourir ses lèvres, les tirer, les écarter puis la pénétrer.

     « Là… pas de problème comme d’habitude ! Je vais vérifier ailleurs. Contente hein…. »

    Elle se fige un peu, malgré elle.

     « Aller, écarte mieux que ça… »

    Elle sursaute au contact du gel froid, appuie sa tête contre le canapé lorsqu’elle sent les doigts pénétrer son anus.

     « Bon… ça va aussi ici… »

    Alors qu’elle l’entend aller vers la salle de bain, elle se redresse et remet sa jupe droite.

     « Je ne crois pas t’avoir dit de te relever. Si ? »

    Elle stoppe tout mouvement.

     « Euh… non mon Maître. Excuse-moi »

    Elle remonte sa jupe et se penche à nouveau sur le canapé, exposant ses fesses écartées.

     « tu as du gel, il serait dommage de ne pas en profiter… Regarde ce que j’ai pour toi.. »

    Elle tourne la tête et voit son plug. Un faible gémissement sort de sa bouche. Elle est incapable de dire si c’est de plaisir car elle aime le sentir au fond d’elle, d’appréhension car l’intromission lui pose toujours problème, ou de gêne. Sûrement un peu des trois.

    Elle s’efforce de rester immobile, de ne pas avancer pour fuir inutilement. De fait, le plug est rapidement au fond d’elle grâce au gel et à la préparation de ses doigts.

    Il l’aide à se redresser, lisse sa jupe pour elle, passe doucement sa main sur ses fesses.

     « Ca va ? »

    « Oui mon Maître. Merci »

    « Bien. Alors on va y aller mais avant…..»

    Il sort son collier de sa poche. Le regard de Valsou se fixe dessus et un sourire étend ses lèvres. Il sourit à son tour en la voyant réagir ainsi. Il l’attache à son cou et vérifie qu’il ne sert pas de trop. Il sort ensuite son masque qu’il place devant ses yeux, l’aveuglant.

    Il prend le bout de la laisse et la tire vers la sortie. Il referme la porte sur eux, tourne la clé et la met dans son sac à main. Il la guide vers les escaliers qu’elle descend en se tenant à la rampe.

    Elle pose le pied sur le palier du premier étage lorsque le bruit proche d’une porte qui se ferme la fait sursauter.

     « Bonsoir »

    « Bonsoir »

    Elle sent qu’il tire un peu sur la laisse…

     « Tu pourrais être polie…. »

    Un timide petit « bonsoir » sort de ses lèvres….

     « Vous sortez votre chienne ? »

    « Oui… il faut bien satisfaire ses besoins sinon elle devient intenable… »

    « Je comprend ça ! Justement je sors d’un apéro chez des amis dont l’épouse n’a pas arrêté de m’allumer !!! Je ne vous explique pas mes besoins, là, tout de suite… »

    « ah…. Je peux peut-être faire quelque chose pour vous dans ce cas »

    Elle sent les mains de son Maître se poser sur son chemisier, défaire un premier bouton. Elle recule, instinctivement, bute contre une marche et se retrouve assise brutalement…

    « J’allais te dire de te relever mais…. Tu as raison ça sera mieux ainsi. Tu as de la chance. La prochaine fois, je t’interdis de te dérober ! »

    Elle sent à nouveau ses doigts qui détachent les boutons un à un. Les pans s’écartent largement et ses seins sont sortis des corbeilles du soutien gorge.

     « Voilà…. Vous pouvez jouir de la vue, dans tous les sens du terme… »

    Elle comprend en même temps qu’elle entend le bruit significatif d’une braguette qui s’ouvre. Il l’offre ou en tout cas sa poitrine. Alors… Alors elle veut qu’il soit fier d’elle. Elle sent la laisse qui est toujours en l’air et donc dans la main de son Maître, à côté d’elle. Elle pose ses mains sur la marche, légèrement en arrière, se cambrant de manière à mettre ses seins en avant.

    Elle entend des frôlements, des gémissements légers puis, rapidement, des gémissements un peu plus appuyés. Elle sent les jets qui frappent sa poitrine et qui coulent le long de son ventre.

     « Merci, vous êtes très aimable. Ca va mieux là…. »

    « Pas de problème… »

    Elle l’entend descendre d’un pas qui semble guilleret… Elle sourit.

    Un souffle frôle son oreille.

    « Alors… la soirée commence bien non ? Aller, rhabille-toi »

    « Oui mon Maître, très bien. Je peux avoir un mouchoir pour m’essuyer s’il te plait ? Ils sont dans mon sac »

    « Non ! »

    « Non ? Mais…. »

    « Tu as besoin que je me répète ? »

    « Euh non mais… non, je vais me rhabiller »

    « Bien… je vais même te faciliter la vie. Laisse tes seins comme ça, rattache juste ton chemisier. »

    Pendant quelques instants, elle ne sait même plus comment elle doit s’y prendre. Elle a l’impression que ça coule, que ça imprègne la ceinture de sa jupe, qu’elle est poisseuse de partout et remettre ses habits par-dessus tout ça… ben… c’est un peu dégoutant d’après elle. Malgré tout, elle rassemble ses esprits. Elle referme son corsage, attache les boutons en essayant de ne pas faire coller le tissu à la peau mais, sans y arriver.

     « Aller ! On ne va pas y passer la nuit quand même. On va finir par nous attendre et ce ne serait pas poli »

    Elle se fige à ces mots. Ils sont attendus… On va la voir… dans cette tenue qui colle... Et il y a des chances pour que l’on en devine aisément la raison… Elle baisse la tête… vaincue et en même temps…. Heureuse de lui obéir.

    Le collier la tire vers le haut pour qu’elle se lève. Elle suit le mouvement et descend les marches du premier étage. La pensée qu’elle va sortir dans ces vêtements tâchés et tenue en laisse la gêne profondément mais… elle suit son Maître.

    Une portière qui s’ouvre, une main sur sa tête pour la protéger de toute bosse.

     « Relève ta jupe pour t’assoir. Je veux ton cul sur directement sur le siège et ta chatte offerte à la vue »

    Elle s’exécute et pose son sac par terre entre ses pieds.

    Il s’installe au volant, la regarde, passe sa main entre ses cuisses, s’attarde sur son clito puis enfonce ses doigts en elle. Elle gémit sous ses caresses.

     « Ouvre la bouche »

    Il glisse ses doigts entre ses lèvres.

     « Tu as l’air d’aimer non ? »

    « Oui mon Maître. J’aime ce que tu me fais ou me fais faire »

    « Très bien. Fais-toi jouir alors. Tu as quinze minutes environ devant toi… Je veux que tu sois trempée en arrivant »

    Elle avance ses fesses sur le siège autant que la ceinture de sécurité le lui permet. Elle écarte bien les jambes et se tourne très légèrement vers son Maître. Elle sait que ce n’est pas très prudent car il conduit mais… elle lui fait confiance pour rester maître de la voiture. Et puis, elle a envie de l’allumer un peu il faut dire….

    Elle se caresse, essayant d’oublier que, malgré la nuit tombante, des passants et des automobilistes peuvent la voir. Elle sent de temps en temps la main de son Maître qui vient caresser son sein gauche ou le pincer doucement, lui arrachant un gémissement de plaisir à chaque fois.

    Elle n’est pas loin de jouir lorsqu’elle sent la voiture ralentir.

    « Tu as encore quelques minutes devant toi, ne panique pas.  Je dois prendre quelqu’un en route. Ca ne te gêne pas je suppose…. »

    Elle referme vivement les jambes et…. Les ouvre presque aussitôt… reposant sa main où elle était, reprenant timidement ses caresses.

    Elle s’éclaircit la voix…

     « Nnnn… hum hum… non bien sûr. Fais ce qu’il te plait mon Maître »

    La voiture s’arrête et son souffle sur son oreille…

     « Bravo ma soumise… »

    Elle entend la fenêtre qui s’ouvre de son côté et une main prend son visage pour le tourner vers l’extérieur. Des lèvres se posent sur les siennes, une langue cherche à pénétrer. Elle s’offre à cette bouche inconnue… avec plaisir se rend-elle compte.

     « Je vois que la soirée a déjà bien commencé ! »

    « C’est le cas de dire oui ! Dans son immeuble elle a déjà fait plaisir à un homme qui s’est satisfait sur ses seins »

    La portière arrière s’ouvre, l’homme s’installe derrière elle. La voiture se remet en marche et elle continue ses caresses. Elle a un peu de mal à se concentrer de nouveau et se demande avec inquiétude si elle va parv…. Une main est venue se poser sur un sein. C’est l’homme derrière car elle sent son bras. Il pince doucement son téton. Insuffisamment fort pour lui donner une douleur qui couperait tout mais suffisamment fort pour la faire gémir d’excitation et lui faire accélérer ses caresses.

    Un gémissement plus appuyé et son corps tendu fait comprendre aux deux hommes qu’elle a jouit.

     « Bien. Je fermerai les yeux pour cette fois sur le fait que tu t’es fait aider pour tenir le délai… »

    « Merci mon Maître, c’est gentil »

    Elle sent la voiture ralentir son allure, la route devenir plus… cahotique, puis, s’arrêter.

    L’homme derrière sort, son Maître aussi. Il la fait se lever, la pousse un peu pour refermer la portière.

    Le bruit de la ville n’est plus. Elle n’entend que le bruissement des feuilles dans des arbres et le bruit des oiseaux nocturnes qui s’éveillent. Elle suppose qu’ils sont dans une forêt mais elle n’en n’est pas sûre. Il fait suffisamment chaud mais elle frissonne… Elle se demande ce qui l’attend avec anxiété.

    Des mains s’attaquent à son chemisier et en détachent les boutons. Il passe le long de ses bras. L’attache de son soutien gorge est défaite et il est rapidement ôté.

    Elle est retournée, la fermeture de sa jupe descendue et la jupe tombe le long de ses jambes.

    Les bracelets de cuir de son Maître sont ajustés à ses poignets. Elle sourit... elle sera attachée…

    La laisse est tirée et elle se félicite d’avoir mis de très petits talons en sentant les cailloux sous ses pieds. Elle avance doucement. On la stoppe et la fait reculer d’un pas ou deux. Elle a l’impression de sentir la voiture derrière ses mollets.

    Un sein est empoigné, son téton pincé doucement puis un peu plus fort… beaucoup plus fort… jusqu’à ce qu’elle gémisse elle aussi, de plus en plus fort. Des élastiques sont alors mis. Elle ne les compte pas mais se doute qu’ils vont tendre sa poitrine. L’autre sein subit le même sort, du début à la fin.

    Des mains la tiennent aux épaules tout en lui indiquant qu’il faut qu’elle se penche en arrière. Elle sait que la voiture est là mais… ce n’est pas évident de se laisser aller ainsi, sans rien voir.

    Enfin, elle est couchée… sur le capot lui semble t-il en sentant la chaleur sous son dos. Ses bras sont tirés vers l’arrière et au bruit, une corde doit avoir été glissée dans les passants. Ses cuisses sont écartées, largement. Ses pieds sont posés sur le pare-choc à son avis et ses chevilles elles aussi sont attachées, l’empêchant de refermer le compas de ses jambes. Ainsi remontée sur la voiture, ses bras sont à nouveaux tirés vers le haut, interdisant tout mouvement. Elle se demande bien à quelle sauce elle sera mangée et si elle a une complète confiance en son Maître, ça ne l’empêche pas d’être inquiète.

    Il a dû le sentir car elle entend sa voix souffler à son oreille « je suis là et j’ai ta laisse bien en main ». Un soupir s’échappe de sa poitrine… elle bloquait sa respiration depuis quelques instants sans même s’en rendre compte.

    Quelques minutes passent ainsi sans que rien ne se passe si ce n’est que ses seins lui semblent extrêmement tendus. Mais c’est une sensation qu’elle apprécie maintenant.

    Tout à coup, elle a l’impression que des arbres s’agitent. Elle entend des pas sur le chemin. Elle est incapable de dire s’il n’y a qu’une personne ou plusieurs mais ils ne sont plus seuls c’est certain !

    Une main se pose sur son ventre. Le caresse doucement, remonte vers sa poitrine, pince son téton déjà tendu.

    La main d’une autre personne (elle en est sûre car le touché n’est pas le même) se pose sur son sexe, écarte les lèvres, les pince, joue avec son bouton alors que des doigts se glissent en elle.

    En fait, elle a l’impression que des mains sont partout sur elle, caressant, pinçant, profitant de sa bouche et de son sexe. Elle sent même que quelqu’un joue avec le plug, le faisant bouger sans le sortir complètement.

    Des sexes sont placés dans ses mains. Elle essaie de les caresser du mieux qu’elle peut, ses mouvements étant limités par les liens. Les soupirs qu’elle entend la rassurent. Elle ne se débrouille pas trop mal apparemment.

    Son bassin se cambre brutalement. Un sexe vient de s’enfoncer en elle d’une seule poussée. Elle le sent bien tout comme ses mouvements car le plug prend de la place aussi, amplifiant ses sensations. Ses tétons sont pincés de concert par… elle ne sait qui.

    L’homme qui vient de la prendre part, aussitôt remplacé par un autre.

    Au bout de plusieurs minutes, elle ne sait plus où donner de la tête. Elle n’arrive plus à savoir qui lui fait quoi. Sa chatte a été prise plusieurs fois, elle a été pénétrée par des sexes, des doigts. On l’a embrassée. Ses seins ont été caressés, pincés, mordus. Elle ne sait plus, elle profite juste du moment.

    Elle sent que celui qui la prend actuellement va jouir à ses mains qui empoignent plus violemment ses hanches et à ses crispations. Ceci fait, il est vite remplacé. Là aussi, l’homme a envie de se soulager rapidement maintenant. Ses mouvements sont amples et vifs. Elle entend des souffles appuyés de part et d’autre de sa tête. Elle essaye de comprendre ce qui se passe mais… sans y parvenir vraiment.

    Le sexe en elle sort et elle entend le son de préservatif que l’on ôte. Elle devine qu’il se caresse devant elle, ce qu’elle vérifie en sentant un jet atterrir sur son pubis et un autre sur son ventre. Simultanément, d’autres jets frappent ses seins et son ventre encore.

    Tout se calme. Elle sourit.

    On la détache, on enlève les élastiques et on l’aide à se relever. Elle a une furieuse envie d’une douche mais ne dit rien.

    Son Maître s’approche. « Alors ? tu as aimé ? »

    « Oui mon Maître. C’était…. Parfait ! »

    « Tant mieux. Mais ce n’est pas encore fini. J’ai une question. Si tu te trompes, tu seras punie. Combien d’hommes ont profité de ton corps ce soir ? »

    « Euh… je dirais 4 ici et 1 dans mon immeuble donc 5. »

    « Tant pis… »

    Elle retient son souffle…

    « Tu ne seras pas punie. Tu échappes à la fessée »

    Elle baisse la tête une seconde, la relève, le regarde derrière son masque. Elle est tout sourire.

    « Je peux revenir sur ma réponse s’il te plait mon Maître ? Je crois que j’en ai oublié un…. »

    « Tu es une belle salope ma soumise ! » Il sourit à son tour… Il était presque certain de sa réaction.

    « Très bien. Viens par là. Appuie-toi ici »

    Il l’a fait se pencher, les coudes sur le capot. Sa main appuie sur ses reins pour la cambrer.

     « Ah… j’ai oublié de te dire, notre ami qui t’a si aimablement aidé sur le trajet pour venir ici, a bien mérité une récompense. Il a donc le droit de te donner une fessée aussi. Ton Maître n’est-il pas gentil ? »

    « Mon Maître est un ange et je le remercie de faire ainsi en sorte que sa soumise ait chaud aux fesses sur le trajet du retour »

    Une, deux, trois…. A six, elle se dit qu’elle a vraiment une trop grande gueule parfois. A dix, qu’elle poserait bien ses fesses dans la neige, à quinze, elle gémit en se dandinant.

    « Arrête de faire ta petite nature. C’est toi qui a demandé je te le rappelle… »

    « Je sais mon Maître…. Je sais…. »

    Elle s’efforce de rester plus tranquille mais… elle a vraiment mal.

    « Je te fais cadeau de la dernière. Contente ? »

    « Oui… merci mon Maître. »

    « Très bien. Maintenant, notre ami ici présent voudrait bien profiter de ta bouche qui n’a pas encore servit ce soir du reste. Ou pas trop en tout cas. Écarte-toi un peu de la voiture en restant dans cette position »

    Elle s’exécute et sent l’homme passer devant elle et s’appuyer sur la voiture à son tour. Elle entend la braguette qui s’ouvre. Une main se pose sur sa tête et appuie jusqu’à ce que ses lèvres rencontrent le sexe bandé. Sa bouche s’ouvre et sa langue tourne autour du gland mais rapidement, elle le suce complètement.

    Son Maître est resté derrière elle. Elle le sent à la laisse qui est posée sur son dos. Il joue avec le plug pendant qu’elle s’occupe de leur invité. Il l’enlève à moitié, jusqu’à ce que l’endroit le plus large soit prêt à sortir. Il le remet et ainsi de suite pendant quelques instants puis, l’enlève complètement. Elle sent le sexe de son Maître la pénétrer lentement mais à fond. Elle gémit…. Mais pas de douleur. Elle en oublie de s’occuper du sexe dans sa bouche.

    Une claque sur une fesse… « Et alors…. ? »

    Elle se remet à lécher l’homme devant elle pendant que son Maître la sodomise.

    « Caresse toi et fais-toi jouir avec nous… »

    A ces mots, sa main vient exciter son clito de caresses rapides et appuyées. Elle ne pense pas qu’ils vont tenir très longtemps avec la soirée qu’ils viennent de passer et, elle-même… elle a très envie de jouir… vite.

    Ils gémissent de concert. L’homme jouit sur sa poitrine et son cou, son Maître au fond d’elle et elle, sous ses doigts.

    Elle se redresse avec raideur dès que son Maître la libère. Elle se sent un peu ankylosée après cette soirée. Et poisseuse. Surtout poisseuse en fait.

    Une claque sur ses fesses… « Aller en voiture ! Mais prends cette serviette avant… déjà que tu taches les couvre-lits… je ne voudrais pas que tu laisses des traces sur le siège. »

    Un esprit d’espièglerie s’empare d’elle et en souriant, elle le prend par le bras, se tend et… l’embrasse sur la joue.

     « Merci mon Maître ! Pour la serviette et… le reste…. »

    En riant, il la regarde s’installer et, prenant un air faussement affligé en direction de leur invité…

     « Je me demande ce que je vais arriver à faire d’elle…. »

     

     

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  • Elle finissait son cours. Dans quelques minutes elle serait libre d’aller faire son shopping comme prévu. Le prof qui lui faisait face avait un certain charme et donnait de l’intérêt à ce cours de langue. Elle était douée en langue pourtant parait-il mais pas trop en anglais en fait !

    Elle avait besoin de progresser, mais qu’est-ce que c’était dur de se remettre aux études alors que l’on est adulte….

    A la sonnerie, elle range ses affaires dans son sac et s’apprête à quitter la salle. Comme d’habitude elle est la dernière… Alors qu’elle va pour quitter la salle, elle entend le professeur l’interpeler en lui disant d’attendre un peu.

    Il termine d’écrire et se tourne pour la regarder. Il se lève, va fermer la porte puis retourne s’assoir. Il la regarde, d’un regard pesant qui la met un peu mal à l’aise.

    « je sens que vous travaillez mais je pense que vous êtes bien en deçà de vos capacités. Vous vous économisez et vous vous satisfaites de résultats moyens. Moi, ça ne me satisfait pas. Pas du tout. Et je compte bien vous faire progresser ! »

    Ces mots lui font baisser la tête. Se faire traiter ainsi alors que l’on a plus de 40 ans… mince alors ! Même si c’est vrai, c’est dur à encaisser.

    « Venez ici »

    Elle le regarde et son regard n’est plus aussi bienveillant que pendant les cours. Ses yeux se baissent à nouveaux rapidement.

    « Dépêchez-vous je n’aime pas me répéter ! »

    Elle s’approche du bureau et s’arrête tout près de lui.

    « Vous avez des enfants… rappelez-moi ce qu’on fait aux enfants lorsqu’ils ne sont pas sages…. »

    « …. »

    « Pardon ???? »

    « ….fessée »

    « Je vois que vous êtes aussi douée en français qu’en anglais ! Je vous rappelle qu’une phrase comporte un sujet, un verbe et un complément. Répétez »

    « …. On leur donne une fessée »

    « Très bien ! Et comme vous n’avez pas été aussi sage que je l’aurais espéré… vous serez punie en conséquence ! Déshabillez-vous ! »

    Elle ne sait pas qu’elle attitude adopter lorsqu’elle senti des doigts se poser sur son téton droit et le serrer, la faisant crier de douleur.

    « Je n’aime pas répéter mais je n’aime pas que l’on me crie dans les oreilles non plus ! Alors taisez-vous et obéissez ! »

    Prenant sa tunique par le bas, elle commence de se déshabiller lentement. Elle ne sait plus trop où elle en est. Elle devrait partir, se plaindre, hurler mais… non. Elle reste là et obéis.

    Nue, elle se tient maintenant devant lui. Elle pose une main sur sa poitrine et l’autre sur son sexe, le regard toujours baissé.

    Il lui prend les mains l’une après l’autre, les mets dans son dos puis les attaches, pas trop serrées, elle s’en rend bien compte. Le constater, lui permet de se dire qu’elle aime cette situation.

    Il lui prit la gorge et lui lève le menton.

    « Ne baisse pas les yeux. Regarde-moi, regarde ce que je tiens à chaque fois et imagine l’effet que ça te procurera lorsque ça touchera ta peau douce »

    Elle eu un frisson en entendant ses mots. Pas de peur mais de plaisir.

    Il eu un sourire en coin en la voyant frotter ses jambes l’une contre l’autre.

    Il prend deux pinces de bureau qui tiennent ses copies, les pose dans la paume de sa main ouverte et lui montre à hauteur des yeux. Elle n’ose croire ce qu’elle croit.

    Il prend un de ses seins, pince le bout, assez fort, le tourne dans un sens puis dans l’autre, le tire, devant, vers le haut… Une pince vient mordre cette chair tendre. Elle se crispe et gémis en pinçant les lèvres. Autre sein, autre téton, mais même traitement et même effet. Peut-être un peu moins de gémissement car elle savait par expérience, ce que la pince lui ferait ressentir.

    Il prend une grande règle plate qui était sur le bureau et là aussi, lui montre l’instrument, frappant la paume de sa main avec, comme pour en tester la résistance. Il se place de travers puis frappe les seins alternativement. Gauche, droite, dessus, dessous, etc… Au fur et à mesure des coups, elle a de plus en plus mal et supporte de moins en moins ce traitement. Elle gémit, tape du pied, le regarde implorante…. Enfin, les coups cessent. Les caresses des mains remplacent les coups. Son regard se fait reconnaissant….

    Il la prend par un bras, la pousse légèrement afin qu’elle se penche, les pinces pendant à quelques millimètres du bureau. Il lui écarte légèrement les jambes et glisse sa main vers son sexe…. qu’il trouve bouillant et humide.

    « je vois que la punition n’est pas que désagréable…. »

    Il place la paume de sa main devant ses yeux, à l’horizontale. Elle ne comprend pas car sa main est vide de tout instrument. Elle tourne la tête pour le regarder l’air interrogateur. Il sourit…

    « tu ne comprends pas hein…. »

    Et la main s’aplatit sur son postérieur, la faisant sursauter. Les claques se font douces ou dures, rapprochées ou séparées par une caresse. Elle sent que ses fesses la chauffent de plus en plus.

    « Tu en veux encore ? »

    « Non non »

    « Mauvaise réponse »

    Il lui montre à nouveau sa main mais cette fois, avec la règle. Elle a déjà mal et appréhende…. Les quelques coups qu’il lui administre sont assez « gentils » mais avec la fessée qu’elle vient de recevoir, elle ne s’en rend pas compte. Elle a mal. Et en même temps, elle sait, elle sent qu’elle est excitée par la situation.

    Il l’a fait se redresser, la détache, lui enlève les pinces.

    « Rhabillez-vous. »

    Elle le regarde, étonnée. Elle pensait franchement qu’il allait lui demander de le sucer ou qu’il la caresserait voire même qu’il l’a prendrait. Mais là…. Elle a vu qu’il était très excité comme elle pourtant….

    Elle s’habille lentement. Une claque sur ses fesses déjà fort douloureuses lui fait presser le rythme. Une fois ses vêtements mis, elle se place devant le bureau.

    « Augmenter vos résultats à votre prochain contrôle et vous aurez peut-être ce que vous semblez rêver d’avoir en ce moment même…. Cela vous convient ? »

    « ouiiiii »

    « La fessée que vous aurez avant de me sucer ne sera que pour notre plaisir à tous les deux alors…. Vous pouvez partir….. A la semaine prochaine…»

     

     

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  • Ce texte a toute une histoire. Un jour, il y a longtemps, mon interlocuteur allait partir en réunion et nous n'allions pas pouvoir continuer de discuter sur msn (oui… il est vraiment ancien ce texte…). Je n'avais rien à faire et je lui ai demandé de me donner un sujet pour que je m'occupe en lui écrivant un texte. Il m'a dit "un grand magasin et une vendeuse". J'en étais encore à mes tous débuts dans l'écriture et si le thème "grand magasin" ne me posait pas de problème, le "vendeuse" m'en posait beaucoup plus : je n'avais jamais mis de femme encore, dans mes récits érotiques. 

    Voici ce que j'ai fait de ce challenge :

    Nos rendez-vous sont toujours des rendez-vous plein d’amour, de tendresse, de surprise. Nos conversations, nos rires, nos promenades n’appartiennent qu’à nous. Ce jour là, nous avons décidé de profiter de la fin des soldes pour aller faire un tour dans les magasins. Par forcément pour acheter, mais pour, essentiellement, le plaisir de flâner tous les deux.

    Le temps est ensoleillé, il fait doux. Main dans la main, nous marchons lentement dans la rue piétonne, regardant les vitrines. 

    Une boutique de souvenir m’attire… beaucoup de petites fées en vitrine mais aucune qui fait « tilt » en moi. Une bijouterie…. J’admire (je ne suis pas une femme pour rien… rire). Une maroquinerie… ah.. Les sacs à main… une grande histoire d’amour entre eux et moi. Mais rien dans mon budget qui ne me plaise. Tient une armurerie… tu t’arrêtes (évidemment… rire). Tu me la commentes… Tes yeux brillent. Nous repartons. Un grand magasin de vêtements, tu te rappelles que je t’avais parlé de m’acheter une jupe et bien qu’il soit bientôt midi, tu me pousses vers l’entrée pour que nous allions voir. 

    Nous nous dirigeons vers le rayon « femme » du deuxième étage. Je regarde, en passant, les « hauts ». Il y en a un qui m’attire particulièrement. Je le prends pour l’essayer puis deux jupes à essayer également. Pendant ce temps là, tu t’es arrêté dans le rayon des sous-vêtements. Tu me montres deux ensembles. « Tu ne veux pas les essayer ? J’ai envie de voir ce que ça donne sur toi ». Je ne vais pas te refuser ça. 

    Nous recherchons les cabines d’essayages. 

    A cette heure, même si le magasin est ouvert entre midi et deux, nous sommes les seuls clients. Une vendeuse, nous voyant hésiter, vient vers nous. C’est une belle jeune femme. Et c’est une femme comme je les aime… elle ne donne pas l’impression d’avoir pris son dernier repas il y a quinze jours ! Brune, cheveux longs qui encadrent un joli visage, des yeux marron en amande. Maquillée avec soin. Ses chevilles fines sont dans des chaussures à talon et pourtant elle est légèrement plus petite que moi. Sa jupe, s’arrêtant aux genoux, flotte autour d’elle. Son petit haut, un t-shirt qui se croise et s’attache sur le côté, peine à contenir une poitrine que l’on peut deviner sans peine très opulente. Je commence à connaître tes goûts et glisse un regard curieux sur toi. Je ne me suis pas trompée. Tes yeux sont fixés sur cette poitrine qui semble vouloir sortir de son emballage. Tu lui souris, de ton sourire craquant… Elle semble troublée : elle a compris la direction de ton regard. Je souris doucement…. Tu es incorrigible.

     « Vous cherchez quelque chose ? »

    « Nous sommes à la recherche des cabines ».

    « C’est dans le fond à droite, après les pantalons hommes. »

    « Merci »

    Les cabines sont effectivement là. Il y en a quatre, larges, avec des portes. J’y rentre avec mon panier et alors que j’allais refermer la porte, je te vois venir avec moi.

    « Eh…tu ne vas pas rentrer avec moi non ? »

    « Ben si pourquoi ? »

    « Qu’est-ce qu’elle va dire la vendeuse ? »

    « Rien, à part que j’aime te regarder »

    Ton regard, ton regard qui me fait fondre… Je ferme la porte derrière toi.

    Il y a très largement de la place pour deux. Je pose mon panier sur la chaise qui est là et te regarde. Tu t’es mis dans l’angle opposé, adossé au mur, ton regard fixé tendrement sur moi. Tu as fait de moi une coquine… une coquine tu verras…

    Mes yeux sont dans tes yeux. Tout en te regardant, j’accroche mon manteau à la patère.

    Mes mains, lentement, relèvent mon pull, le font passer au dessus de ma tête. Mes mains descendent ensuite vers ma jupe… Le bouton est détaché…. La fermeture éclair descendue, lentement. Lentement aussi, ma jupe descend le long de mes jambes, laissant apparaître….  mes bas noirs et mon minou libre de toute entrave. Tes yeux ont vus ce « détail ».

     « Dis donc coquine, quand est-ce que tu comptais m’avouer ça ? »

    « Euh… au restaurant ce midi, mon cœur. Ça te pose un problème ? » Je te regarde en souriant.

    « Non, absolument pas, mais je vais avoir du mal à sortir de la cabine maintenant »

    Mon regard descend le long de ton corps…. Il s’arrête en voyant ton sexe former une bosse impressionnante. Mon sourire s’agrandit…

    « Ah…oui… il faudrait te calmer avant ».

    Mon côté « coquin » a réellement augmenté depuis nos échanges et j’aime savoir que je t’excite. Mes mains passent dans mon dos, détachent mon soutien gorge. Mes mains le retiennent malgré tout. Je fais passer une bretelle par-dessus mon épaule…. L’autre bretelle…. Je te regarde : tes yeux sont fixés sur ma poitrine. Lentement, doucement, j’enlève ce morceau de tissus qui cache mes seins. Je me redresse fièrement et laisse ton regard me parcourir.

     « Tu veux que j’essaie lequel en premier mon ange ? »

    « Pour l’instant aucun mais tu pourrais peut-être essayer de me calmer…. »

    « Ici ? Ça va pas la tête ? »

    « Ça ne craint rien. Il n’y a personne et la porte est fermée. Aller…. »

    Ton regard… ton sourire…je craque…

    Je m’approche de toi, pose mes mains sur tes épaules, mon visage dans ton cou. Je te respire, je t’embrasse tendrement dans le cou. Mes lèvres se déplacent vers les tiennes, mes mains glissent le long de ton corps. Elles ont trouvé ce qu’elles cherchaient. Ton bouton, ta braguette…. Ton sexe sorti, se dresse. Je le regarde, te regarde. Ma main le caresse doucement, le frôle, amoureusement… il tressaute… quelques petites minutes de ce traitement et je vois une goutte pointer sur le bout de ton gland : il aime sans doute…

    Ton regard, excité, dans le mien…. Tes mains sur mes épaules, se crispent… Elles appuient légèrement, pour me faire comprendre…..

    Un bisou sur tes lèvres… je descends à genoux devant toi.

    Je regarde ton sexe, emprisonné au creux de ma main. Je m’approche lentement. Je sens ton regard sur moi. Ma langue vient laper les gouttes qui luisent sur le bout. J’aime ton goût. Ma langue n’en reste pas là… elle s’entoure autour, le lèche, le savoure… ma bouche s’ouvre et tu t’enfonce en elle. Ta main se resserre sur mon épaule que tu n’avais pas lâchée. Tu aimes. J’aime. Nous aimons…. Mais, apparemment,  tu ne veux pas jouir dans ma bouche car après quelques minutes de ce traitement, tu me fais me redresser, face à toi. Tu places ma jambe droite sur la chaise et, d’un seul coup, vient en moi.

     « J’en étais sur…. Tu es trempée… ». Tes coups de rein… comme toi seul sait me les donner… j’adore ! Tes mains en profitent pour me pincer la pointe de mes seins. J’étouffe difficilement un gémissement. Le plaisir monte en moi rapidement… la situation, ton sexe, … tout m’excite. Tu sens mon sexe autour de toi se resserrer, mon col s’ouvrir pour mieux te sentir. Je jouis dans tes bras, ma tête, ma bouche dans ton cou, me mordant les lèvres pour ne pas attirer….

     « Il y a un problème ? »

    Nous stoppons tout mouvement d’un seul coup. Vent de panique dans ma tête au contraire de toi qui reste calme. Tu me repousses gentiment et range rapidement ton sexe. Je te regarde, d’un air effaré, ouvrir la porte à la vendeuse de tout à l’heure.

     « Non, non… mais mon amie hésite entre les deux ensembles de sous vêtement… peut-être pouvez vous l’aider » Ton sourire… fait encore une fois des ravages. La vendeuse me regarde alors que j’essaie tant bien que mal de cacher mon intimité et mes seins. Elle te sourit à son tour :

     « Oui, une telle poitrine mérite d’être mise en valeur »

    « La vôtre à l’air d’être splendide aussi… si je peux me permettre »

    Alors là, j’en suis soufflée… j’attends de voir l’air scandalisé de la vendeuse ou la gifle qu’elle va te mettre… qui sais….

    Mais non… tu es tombé sur une coquine mais moins timide que moi apparemment.

    « Merci beaucoup, c’est vrai que j’en suis fière et que j’aime qu’on la regarde »

    « Nous aimerions beaucoup en profiter, n’est-ce pas chérie ? »

    Je suis tellement surprise que, sur le coup, je ne réfléchis pas… et hoche simplement la tête.

    « Ça tombe bien… c’est l’heure de ma pause… et de toute façon il n’y a jamais personne à cette heure-là »

    Coquine mais pas timide… oui c’est sûr ! Tu t’approches de moi, enlève doucement mes bras qui essayaient toujours de me cacher. Je me laisse faire. Je t’aime et te fais confiance. Tu mets ton bras autour de ma taille et du regard, m’incite à jouir du spectacle.

    La vendeuse nous regarde en souriant. Elle défait le nœud de son t-shirt, ouvre un côté. Un peu de dentelle turquoise fait son apparition. Elle ouvre le deuxième côté et nous pouvons admirer un soutien-gorge, rempli, débordant de ses appâts appétissants  pour tout homme (hétéro). Elle met ses mains sur ses seins et les frôle lentement en te regardant dans les yeux. Tes yeux justement, naviguent rapidement de ses mains à ses yeux. Elle enlève son haut, t-shirt et soutien-gorge compris. Ton regard devient très très excité (il est vrai que tu n’as pas jouis toi !). Tes mains parcourent mon corps, mes seins.

     « Je peux ? »

    Quoi ?... mes yeux s’ouvrent subitement, après s’être fermés un court instant sous tes caresses.

    Je la vois t’interroger du regard, la main tendue vers moi. Un instant de recul… vite réprimé par ta main dans ton dos.

    « Voyons ma douce, elle ne va pas te faire de mal »

    Ok. Je la regarde avancer vers moi. Ses mains se posent sur mes épaules, les caressent. Elles descendent lentement, glissent vers mes seins, les frôlent, ses doigts effleurent mes aréoles brunes. Malgré moi, je suis encore excitée et ça se voit. Mes tétons se dressent. Sa bouche descend pour lécher la pointe droite. C’est…bon.

    Je te vois profiter du spectacle que nous te donnons. C’est plus fort que toi. Tes mains veulent toucher. Tu as deux mains, nous sommes deux filles… le compte est bon. Tu enlèves la main de la vendeuse sur mon sein et y pose la tienne. Tu poses l’autre sur son sein, lourd et tendu d’excitation lui aussi. Tu pinces le bout. Elle gémit.

    Je devrais être jalouse, mais bizarrement, la situation m’excite… tu ne m’oublie pas. Tu la regardes mais tu me regardes aussi. Ton regard est excité lorsque tu la regardes, amoureux aussi lorsque tu me regardes. Je te souris, tu me souris, nous nous embrassons, tes mains toujours occupées.

    Pourquoi être en reste ? Mes mains à moi sont libres jusqu’à présent. Je n’ai pas encore osé la toucher. Mais toi, tu es là, dispo. Mes mains libèrent ton sexe et le caressent doucement.

    La vendeuse, la bouche toujours sur mon sein, voit ton sexe dans ma main. Elle relève la tête, me regarde et avec un  sourire :

    « Je peux ? »

    Coquine mais polie…

    D’accord, je veux bien prêter, mais c’est bien parce que j’ai vu ton regard, et ton espoir que je dise « oui ». Tu veux deux coquines… ok.

    La vendeuse descend devant toi, se place à genoux et commence à lécher le long de ton sexe et remonte vers le bout. Bon… elle doit moins bien te sucer que moi (rire) mais, malgré tout, tu as sacrément l’air d’apprécier. De trop je trouve du reste. Je descends moi aussi. Ton sexe peut bien héberger deux langues sur lui…. Tu n’en reviens pas ! Tes deux mains sont sur nos têtes, nous encourageant (comme si nous en avions besoin !!). Tes mouvements de bassin montrent ton excitation croissante…

    Tu la fais se redresser, la place dos à toi, les mains posées sur le mur devant elle, et tu me places entre elle et le mur. Je devine ce que tu veux faire et rapidement je cherche dans mon sac et me relève en te tendant un préservatif. Tu me regardes en souriant et acquiesce en silence.

    Tu relèves sa petite jupe… et un petit sourire de surprise s’affiche sur ton visage :

    « Pas de culotte non plus… décidément, vous êtes deux coquines »

    Je vois la vendeuse se tendre vers moi. Tu la prises d’un seul coup de rein. Elle me regarde et je sens une de ses mains se diriger vers mon minou…. Ses caresses suivent ton rythme vigoureux. Sa main connaît apparemment ce qui fait du bien… ce ne doit pas être sa première fois avec une femme. Tes coups se font rapides, ses gémissements aussi. Sa tête est posée sur mon épaule, sa main toujours entre mes jambes, me faisant gémir doucement aussi.

    Je la sens se tendre. Un cri, léger… sa tête en arrière…. Tu ressens sa jouissance autour de ton sexe.

    Tu me regardes, un sourire…. Comme je t’aime…

    « Je te veux mon amour… viens… »

    Nous échangeons nos places avec la vendeuse. Tu enlèves le préservatif… Mon sexe est trempé. Ma jouissance de tout à l’heure, mon excitation, les caresses de la vendeuse…. Je suis à deux doigts de….

     

    Ton sexe glisse d’un seul coup en moi, j’aime…. Tes coups de reins vigoureux finissent de me faire jouir très rapidement. Tu n’attendais que ça pour te lâcher toi aussi. Tu sens mon vagin se resserrer autour de toi et d’un coup de rein encore plus profond, tu te libères en moi.

    La vendeuse nous regarde en souriant. Elle se rhabille rapidement.

    « Je serais de vous, je prendrais le bleu, la forme devrait bien vous aller. Au revoir »

    Je referme la porte derrière elle, te regarde… un bisou…

     « Et si je faisais mes essayages maintenant ? »

     

     

     

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  • Avant de connaître mon premier Maître, je savais que j’aimais que l’on me pince légèrement (euh… un peu plus que légèrement même…) les tétons et que, d’une manière générale, si j’aimais la tendresse et les câlins, j’appréciais aussi un peu plus de « rudesse » de temps en temps.

    Depuis…. il m’a fait découvrir… certains aspects de ma personnalité que je ne connaissais pas.

    Nos rendez-vous étaient synonymes de plaisirs et de douleurs mêlés, de rougeurs, de traces plus ou moins appuyées. J'aimais les marques qu'il me laissais. J'aimais quand elles étaient bien définies, visibles. Et si j'appréciais un peu moins lorsqu'elles devenaient diffuses et jaunes, en fait, je les aimaient toutes car elles étaient tout simplement SES marques... 

    Voici quelques photos souvenirs

    marques baguette en fibre de carbone

     

    Marques réalisées avec une baguette en fibre de carbone.

     

     

     

     

    cuillère

     

     

    Marque faite tout simplement avec une cuillère en bois

     

     

     

     

    Marque plus pâle mais... qui avait plus de 5 jours. Souvenir de sa ceinture en cuir

     

     

    laisse et cuillère

     

     

    Encore la fameuse cuillère en bois

     

     

     

     

     

    Mon collier et ma laisse...

     

     

     

     

     

     

     

     

    Marques diverses

     

     

     

     

    cuillère et baguette

     

     

    Cuillère et baguette

     

     

    Voilà... c'était une partie de ma vie de soumise. La première soumission qui a duré plusieurs années. Je le remercie pour m'avoir fait découvrir son univers.

     

     

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