• Un petit texte que j'ai écrit pour un "sex-ami"... sourire. Il n'aimait pas Calogéro et le titre "Embellie" que l'on entendait non-stop sur les ondes. Donc... je l'ai mis dans le texte. C'est mon côté petit diable qui a parlé... rire...

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    Il fait chaud pour un mois d’avril. La météo avait annoncé un temps clément, mais là c’est plus que ça. Le thermomètre affiche un bon 27°. Le soleil brille dans un ciel bleu éclatant, sans nuage. Il fait chaud et elle a chaud en ce début de matinée. Ils se sont levés relativement tôt pour prendre leur petit déjeuner et faire cette ballade qu’ils ont  prévu depuis quelques jours déjà. 

     

    Les toasts sont en train de griller, les bols prêts à être remplis, la confiture, le beurre, tout est là. Elle n’attend  plus que lui. Elle entend toujours l’eau de la douche signe qu’il n’a pas encore fini. Ils ne sont pas pressés mais bon. Elle doit se préparer également. Pour l’instant, elle est encore en petite tenue. Très petite du reste.  Elle n’a enfilé qu’un t-shirt qui ne cache que le minimum et encore… Il suffit qu’elle se penche pour exposer la vue de sa croupe ronde et de sa fente, dont les lèvres seules  sont ombrées de quelques poils courts, comme pour les mettre en valeur. 

     

    Les mouvements de ses doigts frappant la table en cadence, illustrent son impatience croissante. Elle décide de mettre de la musique. Elle se dirige vers l’étagère et regarde, hésitante. Son impatience la rend joueuse,  Elle prend le cd qu’elle a acheté la veille. « L’embellie » de Calogéro. Elle adore ce chanteur…. Elle sourit d’un air entendu et coquin. Elle sait pertinemment qu’il va tiquer car il n’aime pas. Ce sera sa petite vengeance pour avoir ainsi trainé sous la douche. 

     

    D’un pas léger et dansant, chantonnant sur Calogéro, elle se penche contre la barrière du balcon et regarde le paysage qui s’offre face à elle et en bas, dans la rue. C’est un des points positifs d’habiter au dernier étage de cet immeuble. Outre le fait de ne pas avoir de voisins du dessus, il n’y a pas de voisin d’en face…. Elle chantonne et se trémousse au rythme de la musique, au rythme des paroles. 

     

    Tout à coup, une main vient lui claquer une fesse. Elle sursaute en réalisant qu’effectivement, ça fait déjà quelques minutes qu’elle n’entendait plus l’eau couler…

     

    « On profite de mon absence pour écouter n’importe quoi et se trémousser devant la fenêtre à moitié à poil ? »

    Elle se retourne, le regarde en souriant.

    Ses cheveux ont encore quelques gouttelettes d’eau accrochées aux pointes, ses yeux verts qui la regardent, sa bouche qui lui sourit, son torse qui appelle les baisers et… son sexe, à moitié bandé qui retient son regard…

    « Tu peux parler dis donc…. Lequel de nous deux est le plus à poil ?»

    « Je suis chez moi, je fais ce que je veux… et de toute façon, on ne risque pas de me voir… »

    « Et tu en profites voyou…. »

    « Si je n’en profites pas là, où le pourrais-je ? »

    « hummm…. »

     

    Elle le regarde, sourire au coin des lèvres. Elle connait ses tendances exhib depuis le début de leur relation.

     

    Elle s’aperçoit en se faisant cette réflexion, qu’il semble en forme. Très. Bon, évidemment sa main sur son sexe, ses doux va et vient, ça doit y être pour quelque chose… et quelque part,  elle espère secrètement que sa tenue, ou plutôt son absence de tenue, y est un peu pour quelque chose aussi.

     

    Il  se recule d’un pas, la regarde en souriant et continue de se caresser lentement. Une main sur son sexe, une main sur ses couilles…… elle profite du spectacle avec délectation… ça l’excite à tous les coups. Elle aime le voir faire, il le sait pertinemment et il en joue.

     

    Ses mouvements sont doux et lorsqu’il la regarde pour vérifier, il voit ses yeux plissés dirigés vers son sexe, il la voit se mordre les lèvres, il voit ses cuisses se serrer en mouvements sensuels. Il est heureux de la voir dans cet état.

     

    Elle le regarde, ou plutôt regarde ses mains s’agiter. Elle sent bien que son excitation monte. Ses joues sont chaudes et elle sent sa chatte s’échauffer elle aussi, de plus en plus. Elle a envie de se caresser, envie de le caresser, envie faire l’amour tout simplement. Mais elle ne bouge pas. Elle sait que l’attente fait parti du plaisir. 

    Cependant, toutes les bonnes choses ont une fin. Après quelques instants à le regarder faire, elle ne tient plus et s’approche doucement en le fixant dans les yeux. Elle pose une main sur la sienne afin qu’il n’arrête pas ses mouvements. Ce n’est pas ce qu’elle veut… en tout cas pas pour l’instant. 

     

    Elle le regarde en se passant la langue sur les lèvres. Elle a envie de lui et elle a la ferme intention de tout faire pour qu’il ne pense qu’à elle dans les minutes à venir. 

    Elle pose ses mains sur ses épaules, les caressant doucement, caressant son torse aussi au passage. Elle passe ensuite derrière lui pour le frôler de ses doigts et de ses ongles, longs. Un simple affleurement, sur son dos, sa taille, ses fesses… mais ses gémissements lui indiquent qu’il apprécie. Elle parsème ses épaules de baisers légers tout en continuant ses caresses qui passent par moment devant lui, histoire de ne pas oublier la pointe de ses seins qu’elle aime agacer en les pinçant légèrement. 

     

    Elle voit que les mouvements de sa main se sont un peu accélérés… son excitation monte et ça lui donne envie de l’embrasser.  Elle délaisse donc son dos pour repasser devant, embrasser son cou juste sous son oreille, s’enivrer de son odeur. Elle lèche le lobe, suit la ligne du menton qu’elle embrasse également puis va poser ses lèvres sur les lèvres douces de son amant. Ses baisers descendent… un, deux sur son torse, un sur chacun de ses seins, un sur le haut de son ventre….. 

     

    Elle s’agenouille devant lui, lentement, les yeux accrochés aux siens. 

    Il a stoppé ses mouvements impatient de voir ce qu’elle allait faire. Elle approche lentement sa bouche, l’entrouvre doucement et sors sa langue qu’elle pose sur le bout de son gland rose et tendu. Elle fait tourner sa langue autour dans un sens puis dans l’autre. Elle aime gouter cette douceur. Les gémissements de plaisir émis par son compagnon et ses mouvement du bassin l’excitent encore un peu plus. 

     

    Une de ses mains vient de se poser sur sa tête. Elle aime sentir cette caresse sur ses cheveux. Elle sait que c’est le signe qu’il a envie qu’elle aille plus loin. Elle aime le prendre dans sa bouche et elle s’en prive rarement. Là, elle se dit qu’elle ne va certainement pas s’en priver. Elle en a envie. Très envie. Elle ouvre donc sa bouche un peu plus et laisse entrer ce sexe. Ses lèvres l’enserrent mais sa langue continue son ballet. 

    Il sent ses lèvres, sa chaleur autour de son membre tendu. Il apprécie et plus que ça. Il l’a toujours trouvée douée avec sa bouche. Une caresse un peu plus appuyée de sa langue le fait sursauter et sa main s’est crispée sur la tête de son amante et ses gémissements se sont faits plus forts. Elle continue quelques instants mais il choisi de l’interrompre en se reculant un peu. 

     

    Il la fait se relever doucement et se place face à elle.

    Ses mains se transforment en caresses tendres et excitantes. Il lui caresse les joues, le cou, les épaules, les seins, sur lesquels il reste plus longtemps, le temps de pincer les pointes entre ses doigts, la faisant gémir de plaisir, la taille, le ventre, le pubis….. Pendant que ses mains la parcourent, elle sent ses lèvres l’embrasser. La bouche de son compagnon s’est posée délicatement sur les siennes. Elle sent ses baisers la parcourir un peu partout sur sa figure, dans son cou, sur ses épaules, sur la pointe de ses seins….. Elle aime ses baisers, partout. Elle n’a pas envie de s’en passer. 

     

    Leur bouche se sont retrouvées, leurs lèvres se sont entrouvertes, leur langue se mêlent en un baiser fougueux les laissant quelque peu haletant….. 

    « Viens » Lui dit-il.

    Il la guide vers la balustrade du balcon où il la fait doucement s’accouder. Il se penche vers elle, se colle contre ses fesses pour prendre ses seins dans ses mains. Il les caresse quelques secondes en pinçant leur pointe par moment ce qui la fait gémir de plaisir. 

     

    Elle sent son sexe contre ses fesses ce qui la fait remuer un peu. Elle a envie de lui. Il se redresse en l’appuyant encore un peu plus contre elle et en caressant son dos, sa taille. Il lui embrasse le dos et tout en continuant ses caresses, il se recule et presque aussitôt,  elle sent une de ses mains passer entre mes jambes et se poser sur sa chatte.

     

    « Mais tu es trempée dis moi »

    « Evidemment avec le spectacle et les caresses que j’ai eu…. » 

     

    Elle fini sa phrase dans un souffle car un de ses doigts s’est posé sur son clito. Il le caresse un peu la faisant gémir de plus en plus. Puis, il suit la ligne des lèvres pour enfoncer un de ses doigts en elle…. Bientôt suivi d’un deuxième. Ses vas et viens dans sa chatte, parfois entrecoupés de caresses sur son clito la mettent dans un état indescriptible. 

     

    Elle sent ses doigts s’ôter, rapidement remplacés par son sexe. Elle se cambre de plaisir en gémissant en même temps que lui. Elle aime le sentir en elle ainsi, tout comme il aime se sentir ainsi, enveloppé de sa chaleur. Elle le sent coulisser tantôt doucement, tantôt de façon plus vigoureuse. 

     

    « caresse toi. Je sais que tu en as envie » 

     

    C’est vrai… qu’elle en a envie. Depuis un moment déjà. S’il n’en n’avait pas parlé, elle l’aurait fait de toute façon mais là… c’est si gentiment proposé… qu’elle se fait un plaisir d’obéir et de poser sa main entre ses jambes. Son doigt se pose tout d’abord sur le sexe qui entre et sort… juste comme ça, juste pour le sentir coulisser. Puis, puis il se transforme en caresses, tournant autour de son clito, se posant dessus, appuyant légèrement. 

     

    Ce qu’elle fait, son sexe en elle, ses mains sur ses hanches….. tout contribue à la montée de leur plaisir mutuel. Ils se connaissent et savent bien qu’ils ne vont pas tenir longtemps. Et ils n’ont pas envie de résister. Leurs mouvements se font plus rapides, plus amples. Leur respiration est plus rapide, leurs mains se serrent, elle sur le balcon, lui sur ses hanches. 

     

    Une dernière caresse sur son bouton, un dernier mouvement au fond d’elle et… elle jouit en poussant un cri de plaisir. Cri rapidement rejoint par le sien…. 

     

    Quelques secondes, histoire de reprendre pied, un baiser sur son dos, une caresse sur sa taille, il l’a fait se redresser…. 

     « Le petit déj’ est prêt ? » 

     

     

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  • Je navigue dans les couloirs, suivant les flèches… je tourne à gauche, puis à droite, encore à droite… j’y suis. Je frappe doucement à la porte fermée. Une voix d’homme, douce, grave, me dit d’entrer. J’ouvre la porte, la referme derrière moi. L’homme est seul à son bureau. Il est resté plus tard aujourd’hui pour rattraper son travail en retard (ah… msn !). Il fini d’écrire et lève la tête. Je vois ses lèvres former un O de surprise.

     

    Tu ne m’attendais pas, évidemment…

     

    Je te souris, d’un sourire plus que coquin, avec mes lèvres et avec mes yeux.  Je te vois sourire à ton tour, et je vois ta main sauvegarder sagement ce que tu venais de saisir. Tu es intelligent…

    Lentement, très lentement, j’enlève mon manteau. Je suis pull fin et en jupe. Mon décolleté, profond, met en valeur ma poitrine. Je m’approche de ton bureau, face à toi. Je me penche vers toi. Ton visage s’approche du mien. Ton regard se perd en route vers mes seins dont les pointes se font apparentes au travers de mon pull. Nos lèvres se joignent doucement, nos regards rivés l’un à l’autre.

     

    En circulant dans les couloirs, je savais ce que je voulais te faire mais je ne savais pas comment. Maintenant je sais. Je me recule et fais le tour de ton bureau. Je m’assois légèrement sur lui, devant toi, entre tes jambes. Tes mains se posent sur mes cuisses, remontent le long de mes hanches, se posent sur mes seins. Je vois que tu es content de me voir. Une bosse se forme entre tes jambes. Une de mes mains te caresse la joue, pendant que l’autre descend, descend toujours plus bas, jusqu’à cette bosse qu’elle frôle, doucement. Je me mords les lèvres. Tes mains ont pincés la pointe de mes seins. Tu me souris de voir les efforts que je fais pour ne pas laisser échapper le moindre son. Lentement, j’enlève tes mains. Tu ne comprends plus.

     

    Tu me vois descendre, toujours entre tes cuisses, toujours plus bas, jusqu’à ce que je sois à genoux devant toi. Je me recule sous le bureau. Mes mains s’égarent sur tes jambes de pantalon, remontent, remontent, jusqu’à la fermeture qui, à ce moment, est très tendue. Je la détache, toujours en te regardant. Ton sexe, dur, gros, doux, excité, se tend vers moi. Tu me connais, je ne peux (et ne veux) résister à son appel. Mes doigts le caressent tendrement, le frôlant d’un doigt curieux, de haut en bas, de bas en haut. Ton sexe a l’air d’apprécier…. Mon regard ne te quitte pas, et ne te quitte toujours pas. Tu me vois, approchant lentement ma bouche. Ma langue sort, téméraire. Elle te frôle, te goûte. Elle remonte le long de ce sexe brûlant. Elle s’arrête en haut. Te lèche, t’excite encore plus, ton gland montre son approbation sur ce traitement en laissant sortir quelques gouttes que je savoure. Ma bouche entière prend le relais. Ton sexe commence à s’y enfoncer doucement. Ma langue, à l’intérieur de ma bouche, continue son traitement, voulant te rendre fou de désir. Je t’entends soupirer…. Et j’entends aussi la porte s’ouvrir…

     

    « Tu es toujours là ? ».

    Heureusement que tu as un bureau du même type que le mien : fermé devant.

    « Oui »

    Ce « oui » me semble un peu rauque je trouve. Je ne sais pas pourquoi… Je suis d’humeur joueuse…. Alors, au lieu de te laisser répondre calmement, au lieu d’arrêter, je continue. Je prends ton sexe de façon plus profonde. Les caresses de ma langue se font plus précises. Une de mes mains vient à la rescousse et vient caresser tes boules. Je te sens avoir un sursaut.

    « tout va bien ? » demande ton collègue…

    « oui…… euh…. Oui… je fini juste un truc et je rentre. »

    « A demain alors »

    « oui à…… demain »…

    Demain, deux mains…. Je dois avoir un problème d’audition….mes deux mains sont maintenant sur toi. La première toujours au même endroit, la deuxième aide ma bouche. Je t’aspire tendrement, je sais que tu aimes….. Je vois que tu n’en peux plus. Ton excitation semble terrible. J’en suis heureuse.

    Tu te recules soudain, doucement. Tes mains me font me relever. Tu m’embrasses le cou, les lèvres. Un petit « je t’aime » murmuré à mon oreille puis tu me fais me retourner. Tu me poses les mains sur le bureau. Ta main sur mes reins me fait me cambrer. Puis, plus rien… je te vois aller vers la porte et tourner la clé. Tu me regardes et tu me souris.

     

    Tu reprends ta place derrière moi. Tes mains se posent sur ma jupe, remontent doucement, emportant ma jupe avec. Tu vois mes bas, noirs. Tu remontes encore. Tes doigts rencontrent ce que tu supposais depuis un moment. J’ai mis un porte-jarretelles pour accrocher mes bas. Tu montes encore…. Pas de culotte, évidemment… Tu te penches à mon oreille 

    « tu as besoin de préliminaire ma douce ? ».

    Tu sais, et je sais que non. Que je suis tellement trempée, que tu vas glisser en moi sans aucun problème mais je te réponds dans un souffle

    « je ne sais pas…. Vas voir ».

     

    Je sens ta main passer entre mes cuisses, un doigt frôler mon clitoris, suivre la ligne de mes lèvres, remonter plus haut, vers un endroit encore secret pour toi. Je te sens hésiter puis te décider. Ton doigt entre en moi, dans mon sexe chaud et mouillé.

    « Je crois que les préliminaires sont superflus ma chérie ».

    Tu te recules. Ton sexe se place tout seul contre mes lèvres. Tu appuis doucement et je te sens d’un seul coup en moi. Profondément. Me remplissant. Tu es excité à fond et tu sais que moi aussi, alors tu te déchaînes… Tes mains sur mes hanches sont fermes, tes coups de reins se font puissants et vigoureux. De plus en plus fort. De plus en plus vite. Tu coulisses parfaitement en moi. Mes mains se crispent sur ton bureau, froissant au passage quelques papiers. Tu sais que j’aime quand tu me prends comme ça. Ton sexe me rend folle de plaisir. Je me sens partir. Mon corps se tend vers toi, se crispe. Mes lèvres sont rouges à force d’être mordues et je les serre encore pour ne pas faire de bruit. Quelques coups de reins encore… puis tu sors de ton écrin chaud.

     

    Tu te recule, un peu, me retourne, m’embrasse. J’ai les yeux encore remplis du plaisir violent que tu viens de me donner. Une de tes mains sur mon épaule, l’autre sur ma tête… Elles me font comprendre que je dois me baisser.

     

    A genoux devant toi, je vois une de tes mains prendre ton sexe et le guider vers ma bouche. Ma langue pointe et goûte encore ce sexe qui a maintenant l’odeur de mon plaisir. J’aime. Ton gland, gros, doux et plus chaud que jamais, entre dans ma bouche. Tu lui fais faire des va et vient, doucement puis de plus en plus vite. Je sens que tu es à bout. Je sens ton sexe dans la bouche, devenir encore plus gros. Puis tu te crispes à ton tour, tes hanches vers ma bouche, ta main toujours sur ma tête. Je sens ta semence, chaude et sucrée jaillir dans ma bouche. J’avale ton plaisir avec plaisir…. Et me relève. Mes mains remontent le long de ton corps pour arriver sur tes joues. Je prends ta tête avec tendresse et t’embrasse doucement les lèvres.

     

     « bonsoir mon cœur ». 

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  • Valérie a trouvé sa place sans problème. Le TGV, elle connait. Moins que ses enfants, mais quand même. Elle est contente. Même si l’autre sens ne la dérange pas, elle préfère être assise dans la bonne direction. Comble de chance, elle est dans un wagon presque vide. Son sac à ses pieds, ses écouteurs dans les oreilles, elle laisse son esprit divaguer en regardant par la fenêtre. Elle n’aime pas beaucoup lorsque les wagons sont remplis. Trop de bruit, trop de monde. Elle aime la tranquillité lorsqu’elle part de chez elle. Elle est seule pour trois jours et elle espère bien profiter des heures sans mari ni enfant. Rien d’égoïste, quoi que…. 

     

    Elle laisse les légers tremblements du train la bercer et ferme un peu les yeux, un sourire aux lèvres, ses doigts tapotant le siège au rythme de la musique. 

     

    Une sensation étrange d’être observée lui fait reprendre contact avec la réalité. Elle regarde autour d’elle et ne tarde pas à repérer d’où vient ce regard. Il faut dire que ce n’est pas difficile. Les occupants de la voiture sont un couple avec un enfant est à plusieurs sièges devant, deux jeunes amoureux à 4 sièges mais dans l’autre allée (tous de dos) et… un homme seul, lui aussi dans l’autre allée mais face à elle, à 2 rangées. Elle voit et sent son regard sur elle. Surprise, elle baisse la tête. Mais elle est curieuse. Elle veut savoir qui la regarde ainsi, d’une manière tant appuyée qu’elle a pu le sentir. Elle relève un peu la tête et regarde, un peu par-dessus ses lunettes. La première chose qu’elle remarque est le sourire qui fend son visage. Un grand et franc sourire. Ce sourire la fait sourire elle aussi. La deuxième, est son regard, ses yeux qui ne la quittent pas. Elle relève la tête tant elle a l’impression qu’il devine sans peine ce qu’elle pense. Elle ne sait pas pourquoi mais elle a du mal à s’en détacher. 

     

    Il faut dire que si certaines femmes regardent les fesses des hommes en premier, Valérie, elle, a un petit faible pour le regard et le sourire. Elle se moque un peu du physique mais est capable de craquer pour un sourire… là, c’est tout à fait le cas. Elle le regarde franchement maintenant. Elle s’avoue intérieurement, qu’il est très agréable de se faire regarder ainsi. C’est la première fois que cela lui arrive mais elle apprécie. Elle ne prête même plus attention à Calogéro dans ses écouteurs… c’est dire ! 

    Elle le voit changer de siège pour prendre celui côté fenêtre. Il a réussi à faire cela sans la quitter des yeux, et là, elle le voit tapoter le siège chaud en une invitation non équivoque. 

     

    Elle hésite. Elle ne le connait pas. Mais punaise…. Son regard et son sourire…. Et puis « zut » se dit-elle, elle ne risque rien en public. Elle se décide, se lève, et va s’assoir à ses côtés. Elle ne dit rien, elle n’ose pas. Elle ne parle pas, tout comme il ne parle pas. Tout ce passe par leurs yeux, leur regard fixé l’un sur l’autre. 

     

    Sa main vient de recouvrir doucement la sienne sans qu’elle ne fasse rien pour l’ôter. Cette main remonte doucement le long de son bras, lui arrachant un frisson. Elle descend devant l’épaule, passe doucement sur son sein, puis sur l’autre. Elle retient sa respiration, étonnée de ce qu’il ose faire en public. Un peu honteuse, elle sent la pointe de ses seins ne rien cacher de ce qu’elle ressent à cette main qui passe de l’un à l’autre. 

     

    Un bref sursaut, une légère crispation de sa bouche ouverte, un gémissement pour l’instant silencieux… il vient de lui pincer doucement un téton. Il pince l’autre de la même manière, puis… revient au premier, d’une manière un peu plus forte. 

     

    Elle ferme la bouche, pince les lèvres, ne voulant pas alerter les autres personnes. Il penche la tête vers elle et recueille sur ses lèvres un gémissement sourd. Enfin, il laisse sa poitrine, ou plutôt, il pose sa main sur un sein, l’empaumant comme s’il désirait en deviner la forme s’il n’y avait pas eu le soutien gorge. 

    Sa bouche suit la ligne de son menton puis va dans le creux de son épaule, la mordant doucement. Un frisson de plaisir la parcourt. 

     

    Sa main quitte son sein laissant en elle une vague de regrets. Elle descend, caresse son ventre, se pose sur sa cuisse. Sa chaleur se transmet à sa chair et du reste, elle a l’impression d’avoir chaud absolument partout. Enfin… c’était le cas jusqu’à présent car maintenant, elle se rend compte d’un courant d’air sur sa jambe… Il a remonté sa jupe sans qu’elle ne s’en aperçoive, noyée qu’elle est dans ses yeux. 

     

    Ses doigts passent et repassent sur sa cuisse, s’approchant doucement de son autre cuisse. Un simple « oh », un éclair dans ses yeux. Si elle n’avait pas senti sa main, sa réaction l’aurait de toute façon éclairé sur son plaisir de la découvrir sans culotte. Elle lui sourit d’un air un peu « salope » pour lui faire comprendre qu’elle assume totalement le fait d’aimer sortir sans sous-vêtement. Il pose alors franchement sa main sur son pubis épilé. Il descend un peu, bougeant les doigts pour lui signifier d’écarter les jambes. Une fois l’accès libre, il empaume son sexe. 

     

    Valérie ne sait plus très bien où elle est mais…. Elle aime. Elle sait qu’il va s’en rendre compte très vite s’il insiste car elle a l’impression que son bas ventre est en feu. Un doigt écarte ses lèvres doucement et remonte pour se poser sur son bouton, déjà gonflé. Elle se pince les lèvres, ferme les yeux et sa tête part en arrière alors que son bassin se presse en avant contre cette main. 

     

    Il lui prend le visage de sa main libre pour le ramener vers lui, l’embrasse sur les yeux, les joues, les lèvres puis lui fait diriger son regard non plus vers lui mais… quelques sièges plus loin où elle voit un homme en train de la regarder. En même temps qu’elle enregistre qu’il n’a pas perdu une miette du spectacle, elle veut refermer les jambes. Comme s’il avait prévu cette réaction, son voisin lui glisse un simple « non » à l’oreille. 

     

    Son regard passe de l’homme au loin, qui a une main à sa braguette, à l’homme assis à côté d’elle. Un, deux, trois va et vient et elle prend sa décision. Elle écarte ses cuisses, largement. Elle est récompensée par deux doigts profondément enfoncés en elle, la faisant soulever le bassin de plaisir. 

     

    Il la caresse ainsi quelques instants, passant de son clito à son sexe. Valérie se laisse faire et laisse monter son plaisir sans honte, regardant l’homme plus loin quand elle sent que les doigts humides sont maintenant devant ses lèvres. Elle approche sa bouche, sort sa langue et lèche, les yeux dans les yeux de leur propriétaire. Elle le fait avec un plaisir non dissimulé, glissant par moment ces doigts dans sa bouche. 

     

    Soudain, elle le voit faire un mouvement pour se lever, et la faire se lever. Elle ne comprend pas mais se lève, lui laissant le passage. Il la pousse devant lui et pose une main sur ses fesses comme pour la diriger sans rompre le contact physique. Il doit connaître le train encore mieux qu’elle car elle a l’impression qu’il lui fait traverser la rame entière avant de la faire s’arrêter devant une porte. Il la fait entrer dans ce qui semble être comme une soute à bagage d’avion. Il y a peu de place et elle allait se retourner vers lui pour lui demander ce qu’ils faisaient dans un tel endroit lorsqu’elle sent ses mains prendre les siennes et les poser au dessus de sa tête, contre le mur. Il la fait se pencher et se cambrer,  lui écarte les jambes et relève sa jupe. Ses mains se posent sur ses cuisses, remontent sur ses fesses, passent sur son sexe, tirent sur ses lèvres. Puis, un blanc gestuel jusqu’à ce qu’elle sursaute sous le plat de la main qui vient de frapper une de ses fesses. C’est une première pour elle, en tout cas en réel, et elle se rend compte qu’elle aime autant que ses fantasmes pouvaient le lui laisser supposer. Deux, trois, quatre… il alterne et les gémissements de Valérie font échos au bruit des claques. 

     

    Un bruit significatif de fermeture éclair, un bruissement de tissus puis, presque dans un même ensemble, deux mains sur ses hanches et un membre qui l’emplit. Un cri de plaisir sort de sa bouche sans qu’elle ait eu le temps de l’étouffer. Les va-et-vient en elle lui font se cambrer encore plus, le bassin toujours à sa rencontre. Il se penche sur elle et ses mains glissent de ses hanches à ses seins dont il pince les pointes. 

     

    Elle était déjà proche du point de non retour mais le fait qu’il les pince ainsi lui fait perdre pied et elle jouit, la tête relevée, la bouche ouverte cherchant sa respiration. Ses crispations internes ont raison de l’homme derrière elle qui s’agrippe à sa poitrine, le sexe au fond elle. 

     

    Quelques instants silencieux uniquement marqués par leur respiration encore haletante, se calmant progressivement. 

     

    Il la fait se redresser, lui embrasse les lèvres, les yeux, le cou, encore les lèvres puis chacun de ses doigts. Ils ressortent de cette « pièce », font le chemin à l’envers. Il la laisse à son siège puis regagne le sien. Ils se regardent toujours comme si un fil les attirait l’un vers l’autre. 

     

    Quelques minutes à peine et… sa gare est annoncée. Machinalement, Valérie prend ses affaires. Elle a chaud, et ses mouvements sont un peu hachés mais elle arrive à se lever pour se diriger vers la sortie. Un dernier regard vers lui. Un dernier sourire. Un remerciement muet…. 

     

    Valérie sort du train un peu hébétée, les joues encore un peu rouges. C’est la première fois qu’elle agit ainsi. Elle ne le regrette pas car c’était vraiment une expérience inoubliable. Elle ne regrette pas non, sauf que… ils n’ont pas échangé un mot. Au fond d’elle, elle s’avoue qu’elle aurait aimé le revoir…. 

    Elle met la main à sa poche machinalement et sent quelque chose. Un papier plié. 

     

    Nous pourrions nous dire que nous ne nous reverrons jamais et garder en nous le souvenir de cette unique rencontre. Je préfère penser que c’est le début d’une longue et belle histoire. Alors si vous êtes du même avis, pourquoi ne pas nous revoir autour d’un café… pour commencer ? Appelez-moi…. 06.xx.xx.xx.xx 

     

    Elle sourit…  

     

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  • Depuis bien longtemps j’aime lire des récits érotiques. Depuis encore plus longtemps, je me sens soumise. Ou en tout cas, je pense avoir une attirance pour la soumission depuis mon adolescence... sans mettre de nom sur ce que je ressentais.

     

    Ca fait quelques années maintenant que je me suis découvert la capacité d’écrire de petits textes érotiques. J’y ai mis certains fantasmes, à moi ou à d’autres, au fil de mes discussions. Rien d’extraordinaire mais il parait qu’ils font leur petit effet…

     

    Je n’ai absolument pas la prétention de soutenir la concurrence avec certaines personnes, certains auteurs, mais il m’est venu l’envie de les faire lire à un public qui ne me connait pas et, ainsi, avoir des avis « extérieurs ».

    J’ai été quelques fois sur le point de le faire mais j’ai toujours reculé. Mes textes sont des cadeaux que j’offre et, quelque part, les mettre sur « la place publique » me gênait un peu.

     

    Et puis…. J'ai osé... Mon blog a évolué au fil du temps. Il y a mes textes, des photos, des souvenirs, etc... En gros, tout mon petit monde. Mon deuxième petit monde. Mon monde de soumise que je suis depuis quelques années maintenant…

     

    A l'origine, mon blog était sur une autre plateforme mais il n'y a plus ni statistique ni possibilité de valider les commentaires ni... bref, j'ai décidé de changer.

    Alors, je recopie mes articles, mes textes, mes photos... ici. Et je comme l'inspiration qui m'avait abandonnée quelques années semble un peu revenir, je vais en profiter pour enrichir... 

     

    Et me voici, Valsou. J’espère que mes textes vous plairont. N’hésitez pas à laisser des commentaires.

     

    Bises

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