• Un des textes dont je suis la plus fière je pense... Le dernier avant une longue, très très longue traversée du désert niveau écriture.

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    Pour l’instant elle se retenait de se serrer les mains. Elle tenait, presque de façon naturelle, son dossier sur ses genoux. Elle l’espérait en tout cas.

    Elle sursaute lorsque, tout à coup, l’homme qui est venu chercher la dernière candidate, se présente devant elle. L’entretien n’a vraiment pas duré longtemps se dit-elle.

    Elle se lève précipitamment en croisant le regard de l’homme, un peu froid, que son sourire de façade ne vient pas atténuer. Elle le suit dans le dédale de couloirs, marchant assez vite pour ne pas se laisser distancer.

    Enfin, il la fait entrer dans une pièce spacieuse. Un grand bureau moderne fait face à deux chaises qui semblent confortables. Un coin est aménagé avec une sorte de banquette et une table basse.

    Après l’avoir invité à s’assoir, le DRH la regarde en silence depuis son fauteuil. Elle ne sait pas trop quelle attitude adopter. Après quelques minutes, alors qu’elle ouvre la bouche pour demander comment allait se passer cet entretien, il la devance d’une micro seconde.

    « Je me demandais quand est-ce que vous alliez parler. Que vous ne soyez pas une pipelette me convient très bien mais j’espère que vous savez ouvrir la bouche quand il le faut »

    Durant un instant, elle se demande si c’est elle qui a l’esprit mal tourné où si, effectivement, la phrase a un second sens.

    Sa bouche qui s’était arrondie sous la surprise, se referme brusquement.

    « Ne la refermez pas tout de suite. Tout d’abord, vous allez me parler de vous, de votre parcours, de vos ambitions puis vous m’expliquerez pour quelle raison je vous prendrais vous, plutôt qu’une autre. Ensuite, je présenterai l’entreprise et sa culture et nous terminerons peut-être par une phase un peu moins formelle… Ca dépendra de vous… »

    Elle se redresse, rassemble rapidement ses idées, puis se lance dans son exposé, s’interrompant par moment pour montrer certains documents ou pour répondre aux questions de son interlocuteur.

    A son tour, il prend la parole, présente l’entreprise, le poste, les perspectives de carrière. Elle l’écoute, pose des questions lorsqu’elle veut un éclaircissement ou une précision. Elle se sent plus à l’aise dans cette phase.

    Au bout de quelques minutes, un blanc, où il la regarde fixement. Elle hésite entre le regarder dans les yeux ou baisser les yeux mais… après avoir croisé son regard redevenu dur, elle ne peut s’empêcher de regarder ailleurs, sur le bureau, au sol…..

    « Votre profil m’intéresse j’avoue… en ce qui concerne votre personnalité, je dois approfondir. Je vous propose donc de passer à la phase moins formelle de cet entretien. C’est d’accord pour vous ? »

    Elle est tellement heureuse d’avoir entendu que son profil l’intéressait, qu’elle ne prend pas la peine de réfléchir. Elle lève la tête, sourit, et donne son accord.

    « Très bien…. Avez-vous un petit ami ou une petite amie dans votre vie ? »

    « Je n’ai pas de petit ami non »

    « Et petite amie ? »

    « Je ne suis pas lesbienne »

    « Vous n’avez jamais eu envie d’essayer ? »

    « Non jamais »

    « On verra ça…  Qu’aimez-vous dans le sexe ? »

    « Euh…. Quel rapport avec le travail ? Enfin… si je peux me permettre Monsieur »

    « Aucun. A part que vous allez passer vos journées avec moi, que là, tout de suite, je pose des questions et vous, votre travail, c’est d’y répondre et sans perdre de temps en bavardage ou digression. Est-ce compris ? »

    Un "oui" léger passe ses lèvres alors qu’elle baisse la tête.

    « Pardon ? »

    Elle relève la tête rapidement et la rebaisse tout aussi rapidement, après avoir dit un « oui » un peu plus appuyé.

    « Bien…. »

    Durant les 10 minutes qui suivent, elle a l’impression d’avouer la moindre de ses pensées personnelles, le moindre de ses fantasmes. Elle a l’impression d’avoir été dépossédée de toute intimité. Elle ne sait pas trop comment cela s’est fait mais… c’est ainsi. Elle aurait pu se lever et partir mais… elle est restée et a répondu à ses questions très… très....

    Elle se dit que ce travail risque d’être tout sauf… purement administratif mais en même temps, se sentir sous son regard, répondre à ses questions gênantes, elle aime et se sent fondre. Elle a beau se dire que ce n’est pas normal, que beaucoup d’autres femmes seraient parties à sa place, elle, elle reste, assise, le buste droit sur sa chaise, son regard allant du sol au bleu de son regard.

     « Bon… ultime test… Suivez-moi très chère »

    Elle se lève en prenant sa main et le suit sans discuter en direction d’une porte sur le côté.

    « Cet endroit, comme vous le voyez, a une porte communicante. Si, comme je le pense, vous devenez mon assistante, alors ce bureau sera le votre et j’ose croire que vous y passerez des heures plaisantes. Cette porte-ci donne sur le couloir et mes visiteurs devront passer sur…. par votre bureau pour me voir. Comme vous le constatez, vous avez tout le matériel nécessaire et même plus. Un grand bureau, ordinateur, fax, téléphone, imprimante laser couleur. Vous avez mon agenda sur le réseau et nous pouvons discuter tous les deux, pour m’avertir de l’arrivée d’un visiteur par exemple, par la messagerie interne. Les canapés et les revues sont pour l’attente des visiteurs. Dans la pièce d’à-côté, vous avez un réfrigérateur, une nespresso (mais sans Georges Clooney), une douche et… diverses choses dont je vous parlerai en temps utiles. Je ne vous cache pas que je suis très exigeant mais… je sais récompenser. Avez-vous des questions ? »

    « Euhhhh oui…. Cette chaise est-elle normale ? Il y a un trou au milieu…. »

    « Ah…. Non excusez-moi. Je répare cette erreur immédiatement »

    Elle le voit aller d’un pas vif dans la pièce adjacente et revenir quelques secondes après avec un objet dans les mains, objet qu’elle ne voit pas bien d’où elle est. Il va vers la chaise, se penche, fait comme s’il bricolait. Quelques minutes puis il s’écarte. Il lui présente la chaise d’un geste ample.

    « La voilà prête à vous recevoir. Asseyez-vous et je vais vous dicter un petit quelque chose histoire de voir vos compétences en dactylo »

    Sa bouche s’est transformée en O de stupéfaction lorsqu’il s’est poussé et qu’elle a vu la chaise. Mais… qu’il lui demande de s’assoir dessus….

    « Que je…. »

    « Que vous… oui. Il y a un mot que vous n’avez pas compris dans ma phrase ? Si c’est le cas, je vais avoir du mal pour faire plus simple et me faire comprendre »

    « Mais je…. je ne…. Ce n’est pas….. possible »

    « Très possible et vous allez le faire. De plus, vous avez de la chance, vous êtes en jupe. Imaginez si vous étiez venue en pantalon aujourd’hui »

    Elle le regarde, alternant avec un regard vers cette chaise très…. Particulière. A la place du trou de tout à l’heure, se dresse maintenant un sexe d’homme en plastique…

    Ses pensées tournent à toute allure dans son cerveau.

    Il le voit, le sent. Il la croit suffisamment ouverte et soumise pour qu’elle le fasse mais il veut lui laisser du temps. Il ne veut pas plus la forcer que ça, préférant qu’elle admette d’elle-même qu’elle peut le faire, quitte à la pousser juste un peu… suffisamment…

    [le faire ou ne pas le faire ? Si je ne le fais pas, je peux dire au revoir au poste. Mais je n’ai jamais rien fait de pareil bon sang… Comment peut-il me demander de faire ça devant lui et à un entretien d’embauche… enfin… entretien…  Mais si je le fais, c’est la honte quand même… Je ne dois pas être la première nana qu’il voit mais bon… et puis… il n’a pas tort, avec ma jupe, je peux cacher l’essentiel je pense. Bon… Pour la taille… il doit être quasiment de la taille du mien voire même un peu plus petit mais quand même…. rhooo… ce n’est pas la mer à boire. Ca peut même être assez excitant. Aller… de toute façon le faire comme ça, obéir de façon aveugle à ton patron c’est un de tes fantasmes alors vas-y… tu risques quoi ?...]

    Il la regarde depuis tout à l’heure et voit à quel instant elle baisse les armes. Il avait raison… il a toujours raison de toute façon se dit-il en souriant, d’une manière peu modeste mais… avec justesse.

    Elle regarde la chaise, inspire profondément pour se donner du courage, le regarde un éclair de fierté dans le regard. Elle relèvera ce qu’elle considère comme un défi.

    Il la regarde se diriger vers le bureau, fixant la chaise.

    « si besoin est… vous avez de quoi vous aider dans le premier tiroir de droite »

    Se demandant de quoi il parle, elle ouvre le tiroir et voit du petit matériel de bureau tels que des pinces et de gros élastiques mais également des choses moins traditionnelles dans ce lieu comme des préservatifs et… du lubrifiant.

    Elle n’y avait pas pensé. C’est une chose de se dire que l’on va montrer de quoi on est fait, que l’on va y arriver mais… c’en est une autre que de passer à l’exécution. Là, elle se sent godiche. Elle ne sait même pas si elle en aura besoin de ce foutu lubrifiant. Elle suppose que non mais qui sait si cette gêne ne l’aura pas coupée dans l’excitation qu’elle a pu ressentir tout à l’heure en répondant à ses questions plus qu’indiscrètes. Et vérifier son état devant lui c’est… plus que gênant. Et puis, comme souvent, elle se dit qu’elle avisera au fur et à mesure. Là, le plus urgent est d’essayer d’oublier qu’il est en train de la regarder alors qu'elle sent ses yeux fixés sur le moindre de ses gestes.

    Elle allait presque y parvenir et avait commencé de se positionner juste devant la chaise, lorsque…

     « Vous ne portez pas de culotte ? Parce que si vous en portez une, ça va être moins pratique pour vous, là… »

    Et mince…. Elle aurait pu jurer qu’il souriait en disant ça. Oui évidemment qu’elle avait quelque chose. Pas une culotte, un string mais bon… quand même, maintenant qu’il lui avait fait penser à ça, elle se dit qu’elle ferait mieux de le poser sous peine de risquer l’irritation. Elle se reproche de ne pas y avoir pensé toute seule et secoue la tête en se traitant d’idiote.

    Elle respire, se redresse, lui sourit, d’un sourire un peu crispé. Elle se baisse légèrement, passe ses mains sur les deux côtés de la jupe en laissant le devant soigneusement caché, baisse son string, le retire, le prend dans sa main et… fait quelque pas pour le mettre dans la poche de la veste du DRH. Il la regarde un peu stupéfait de son geste. Il ne l’aurait pas cru capable de faire ça. Il sourit.

    Elle se retourne et se place devant la chaise. Elle procède comme il y a quelques minutes, montant sa jupe de manière à ce qu’il ne voit rien. Elle ne le regarde pas, fait comme si elle était seule.

    Il la voit faire et a bien deviné qu’elle voudrait bien faire ça en toute discrétion. Mais… hors de question de la laisser gagner à ce petit jeu. Elle l’a déjà surpris, là, c’est son tour.

     « Relevez la jupe jusqu’à la taille. Tenez-la d’une main et regardez-moi. Si vous n’y arrivez pas… vous pouvez toujours ôter votre jupe » dit-il avec un léger sourire en coin.

    Mince !!! Elle lève la tête un éclair dans les yeux mais…. La baisse instantanément en voyant son regard. Pendant quelques courtes secondes, elle se demande s’il sera plus pratique de poser sa jupe, quitte à se trouver quasi nue devant un inconnu ou s’il est plus envisageable de tenir le vêtement et de préserver un semblant de pudeur. Cette réflexion la fait sourire, un peu jaune, intérieurement. Vouloir garder de la pudeur alors qu’elle s’apprête à s’assoir sur un gode devant ce même inconnu… n’importe quoi !

    Son esprit pratique l’emporte… elle préfère avoir les mains libres pour se tenir au bureau si besoin est. Elle fait donc descendre la jupe qu’elle plie et pose sur le dossier de la chaise. Elle n’est pas très fière dans cette tenue, sachant ce qu’elle va devoir faire. Mais…. Une respiration de courage et elle se replace devant la chaise. Elle sort la petite fiole de lubrifiant en pensant que, vu la situation, elle en aura besoin. Elle en met dans le creux de sa main et en enduit le godemichet. Elle écarte les jambes en essayant de ne pas penser, de ne pas voir que le DRH s’est déplacé de l’autre côté du bureau, face à elle. Elle écarte les jambes, tenant d’une main la chaise et de l’autre, faisant glisser rapidement, l’air de rien (enfin…. Elle l’espère), son index entre ses lèvres.

    Ses doigts se stoppent brusquement en constatant qu’elle est mouillée, complètement. Sans réfléchir, elle relève la tête et le regarde d’un air stupéfait. Il la regarde, souriant, ayant facilement compris ce qui a pu la surprendre et qui lui, ne le surprend pas.

    Cette constatation la rassure un peu. Ce n’est pas qu’elle avait peur mais bon… enfin.. si un peu quand même….

    Elle se positionne au-dessus de ce sexe d’imitation et descend doucement. Le gland passé, elle remonte un peu pour mieux redescendre, jusqu’au bout. Elle fait quelques essais pour trouver la bonne position assise sur cette étonnante chaise puis fait glisser la chaise pour se trouver devant l’ordinateur.

    Le DRH se déplace et se positionne derrière elle. Il se penche, pose ses mains sur ses seins. Juste une très légère crispation mais elle ne dit rien… Ces mains sont agréables….

     « Très agréable spectacle, merci… La position vous convient ? rien de douloureux ? »

    Elle est un peu surprise qu’il s’en inquiète mais cela contribue à la rassurer. Elle lui confirme que tout va bien d’un hochement de tête.

    « Maintenant, nous allons voir comment vous vous débrouillez avec vos doigts. Je vais vous dicter quelques phrases que vous allez saisir sur Word. Pour chaque faute de frappe, vous aurez une claque sur les fesses. Vous avez compris ? »

    « Oui »

    « Ah…. Avant que je n’oublie… Vous n’avez pas le droit de vous arrêter de saisir quoi qu’il se passe, quoi que vous entendiez. C’est toujours clair ? »

    « Oui »

    « Bien… Vu votre tenue, je pense que vous pouvez ôter le haut maintenant. »

    « Je… »

    « Quoi ? »

    « Je… non rien »

    « bieeennnn »

    Elle a le choix. Soit se lever pour tout poser (mais cela signifie aussi se lever du sexe en elle puis, s’y remettre), soit essayer sans trop bouger… Elle parvient à enlever son tshirt sans problème et le pose avec sa jupe, sans avoir eu besoin de se lever. Elle se repositionne correctement face au clavier et à son écran et attend sagement.

    De part ses études, elle sait saisir un texte sans regarder ses mains et elle s’en félicite souvent. D’une part car cela fait plus professionnel et d’autre part car ça lui permet de se concentrer sur ce qu’elle entend ou lit. Aujourd’hui, se concentrer pose plus de problème. Nue devant le poste de travail, devant un homme que l’on n’avait jamais vu… c’est déjà déstabilisant mais écouter ces paroles…. l’est encore plus d’après elle. Elle pensait présenter un vulgaire courrier mais certainement pas un texte de ce genre….

     […]Ils déambulent tranquillement dans les rayons hi-fi, informatique et arrivent dans les livres. Elle jette un coup d’œil intéressé vers un ouvrage à la couverture équivoque puis le prend pour en lire le résumé. Sa lecture s’interrompt en sentant le souffle de son Maître dans le creux de son oreille…

    « Ecarte les jambes en lisant »

    Ses bras la tourne légèrement afin qu’elle ait le dos opposé aux clients qui pourraient éventuellement passer puis relève le devant de sa jupe. Vu comme ça, personne ne pouvait se douter de ce que qu’il lui faisait et pourtant elle le regarde bouche bée par l’audace…. sa main est venue se poser sur sa cuisse nue et est remontée pour vérifier, pour apprécier...

    Elle bouge un peu pour presser son pubis contre sa main.

    « Tu es vraiment une petite…. »

    « Oui »

    Il pince ses lèvres de ses ongles d’une manière un peu forte, lui faisant pousser un gémissement.

    « Chut ! »

    Elle sert les lèvres pour éviter que le moindre son ne les franchisse à nouveau.

    Il ne sourit pas et pourtant, elle devine en voyant ses yeux que la situation lui plait.

    Après quelques instants de ce traitement, sa main se retire et laisses la jupe redescendre. Il l’embrasse dans le cou puis, l’air de rien, souriant, pince fortement un de ses tétons, la regardant faire un effort pour ne pas gémir.[…]

    Il lui est déjà arrivé de lire des textes érotiques sur les forums ou les blogs mais là, l’entendre dans la situation où elle est et devoir se concentrer sur les mots pour les taper sur le clavier…. Cela devient compliqué. D’autant plus compliqué que cette histoire l’excite et que l’excitation la fait remuer sur sa chaise….

    Il s’interrompt et se penche pour mieux regarder ce qu’elle a écrit. Se faisant, il en profite pour poser ses mains sur ses épaules et les descendre doucement jusqu’à ses seins et pincer ses tétons érigés.

    « Ca vous fait de l’effet d’après ce que je sens et ce que je vois… vous avez laissé 2 fautes. Il faudrait plus vous concentrer je crois. Surtout si vous ne voulez pas avoir les fesses trop rouges en repartant tout à l’heure… »

    Elle rougit et corrige rapidement les fautes de frappe.

    « Le fait que vous ne regardiez pas votre clavier offre des opportunités certaines… Aller, on continue encore un peu et je vais voir ça »

    Il reprend l’histoire tout en lui caressant ou en lui pinçant un sein, à l’envie. A un moment, ses mains s’éloignent de sa peau, la laissant un peu frissonnante. Elle n’a pas le temps d’y réfléchir qu’elle sent le sexe sur lequel elle est assise, vibrer. Surprise, elle sursaute et rate un mot. Un « attention ! » la rappelle à l’ordre.

    Elle se reprend, essaie tant bien que mal de se concentrer sur les mots qu’elle entend et les mots qui s’affichent sur l’écran. Elle n’entend pas le bruit d’un zip, pourtant proche mais elle se trouble lorsqu’il lui tourne légèrement la tête en lui plaçant son sexe contre ses lèvres.

    « Continuez de taper en ouvrant la bouche ! Je croyais que les femmes étaient réputées pour être capable de faire deux choses en même temps ! »

    En une seconde, elle le regarde, regarde ce membre bandé posé sur le rouge de ses lèvres et…. Ouvre.

    Il continue sa dictée quelques instants, profitant de l’érotique fellation qu’elle lui prodigue, jusqu’au moment où l’envie d’autre chose se fait sentir. Il se retire de sa bouche avec regret, lui pinçant un téton dans le même temps.

     « Levez-vous »

    Elle s’exécute doucement, n’oubliant pas ce qu’elle a dans la chatte. Elle a honte en voyant la trace d’excitation qui a glissé le long du vibro et la tache sur la chaise.

    « On s’est bien amusée je vois…. »

    Elle ne sait plus où se mettre et baisse la tête.

    « Allez, venez ici et penchez-vous bien »

    Elle se place comme il vient de le demander, penchée, les seins effleurant le haut froid du bureau, s’appuyant sur les coudes.

    Elle le sent derrière elle. Ou plutôt, elle sent son sexe se poser sur la raie de ses fesses alors qu’il se penche sur elle, prenant ses bras pour les lui mettre le long de son corps, appuyant ses seins et son ventre contre le meuble.

     « J’ai compté 7 fautes, ce qui, vu les conditions, n’est pas mal du tout. Ce qui vous fait donc 7 claques sur ce postérieur qui est en train de me chauffer. Mais 7… une fesse sera jalouse. Alors je vous propose de monter à 8, histoire d’équilibrer les choses. Qu’en pensez-vous ? »

    « Mais faites donc… je m’en voudrais de vous priver de ce plaisir »

    Elle a dit ça instinctivement, sans réfléchir une seconde, sur le ton de la conversation. Deux secondes après, elle prend conscience de ce qu’elle vient de dire et…

    « Euh…. Enfin… je voulais dire…. »

    « Rien du tout. Ce qui est dit, est dit. Ce sera donc 8 »

    Elle le sent s’écarter d’elle, elle sent ses mains se poser sur ses fesses, les caressant doucement pour l’instant.

    « Je n’aime pas compter, faites le donc pour nous deux et à voix haute s’il vous plait »

    La première claque la prend par surprise, la faisant sursauter et pousser un petit cri.

    « Un »

    L’autre fesse.

    « Deux »

    Les deux étaient parfaitement supportables et elle se décontracte, un peu.

    « Trois »

    « Quatre »

    Les deux suivantes sont un peu plus fortes, tout comme ses gémissements qui se font un peu plus sonores.

    « Cinq »

    « Six »

    « Tout va bien ? »

    Un petit « oui » sort de sa bouche.

    « Pardon ? »

    Elle tourne la tête, le regarde et… « J’ai dit Oui »

    « Très bien. Mais ce ton vous vaudra deux de plus »

    « Mais je…. »

    « Quoi ? »

    « Je…. non, non, rien… excusez-moi »

    « Je préfère. J’en étais à combien ? »

    « six »

    « Bien »

    « Sept »

    « Huit »

    Ces deux là… elle les a très bien senties. Elle ne sait pas si c’est car elle en a déjà eu six avant ou si c’est car il a frappé plus fort mais… ses fesses commencent à chauffer sérieusement.

    « Neuf »

    « Dix »

    Elle va pour se relever en posant ses mains sur ses fesses, lorsqu’elle sent ses mains se poser au creux de ses reins et appuyer, lui faisant comprendre de rester encore dans cette position.

    Une caresse sur ses rondeurs rougies. Une caresse qui descend et qui se transforme en un doigtage en règle. Elle aurait pu refuser là encore mais…. Non. En fait non. Elle ne le peut plus. Elle le sent. Il y a un long moment déjà qu’elle a déposé les armes aux pieds de cet homme. Elle se laisse d’autant plus faire que ses caresses sont très excitantes.

    Elle le sent écarter ses fesses, ses lèvres, passer un doigt, bien le mouiller à son humidité intime et…. Le poser sur ses autres lèvres. Elle ouvre la bouche et vient faire tourner sa langue autour de l’index.

    « Biennnnn »

    Une claque, légère cette fois, sur son popotin. Une main qui la fait se redresser, gentiment.

     « On va s’arrêter là pour aujourd’hui. Il ne faut pas oublier que ce n’était qu’un entretien d’embauche… » dit-il en souriant. « Ceci dit, je peux vous dire depuis maintenant que si le travail vous convient, vous pouvez commencer lundi »

    Elle le regarde avec de grands yeux, la bouche ouverte…

    « C’est vrai ? Vous me prenez ? »

    « Non pas aujourd’hui sexuellement parlant. Mais pour le poste d’assistante, oui je vous prends »

    « Euh… oui… enfin… c’est ce que je voulais dire… »

    « Alors… vous avez eu l’entretien et un aperçu, très très léger aperçu je vous préviens tout de suite, de ce que pourra être votre poste. Vous êtes toujours d’accord ? »

    « Oh oui ! »

    Elle a envie de sauter de joie tellement elle est contente. Le poste est intéressant même s’il y a des aspects qu’elle n’aurait pas devinés et l’homme est…. séduisant, ce qui ne gâche rien. Elle appréhende un peu, pour ce qu’il pourrait lui demander mais bon… non… elle veut tenter !

     « Très bien. Vous aurez de toute façon un mois d’essai et nous ferons le point d’ici quinze jours. D’ici là, j’espère que vous avez compris que vous êtes à moi, vous et votre corps »

    « Oui, je l’ai bien compris »

    « Très bien. Vous pouvez utiliser le cabinet de toilette pour vous nettoyer un peu et vous rhabiller. Vous reviendrez dans mon bureau ensuite pour récupérer les papiers »

    Elle se nettoie rapidement, s’habille encore plus rapidement, passe par son bureau, prend les papiers et le salue.

    En passant devant l’accueil, elle salue l’hôtesse qui lui répond dans un sourire « Vu la longueur de l’entretien, je suppose que l’on va vous voir parmi nous dès la semaine prochaine…. »

    Elle la regarde, stupéfaite, baisse la tête, se mord les lèvres et puis…. Se redresse… et la regarde, souriant elle aussi « Oui, vous avez tout à fait raison. Je commence lundi »

    « Félicitations alors, et bienvenue »

    Elle s’en va, souriante….

    Il la regarde traverser le parking depuis la fenêtre de son bureau.

    Elle a aimé cette relation particulière. Il en est persuadé. Il devine en elle des dispositions certaines et son caractère, affirmé par moments, soumis à d’autres, lui plait.

    Il sourit tout seul…. Oui… elle fera parfaitement l’affaire à ce poste….

     

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  • Il peut m'arriver d'être seule et d'avoir envie de m'amuser alors... pourquoi ne pas en profiter pour faire quelques photos ?

    Amusements solo

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    3 commentaires
  • Des images trouvées ici ou là sur le net ou que l'on m'a envoyé gentiment. 

    Celles que je vais mettre ici me "parlent". Je les trouve belles, érotiques, sexy en diable. Certaines me touchent plus que d'autres pour différentes raisons mais je les aime toutes...

    J'espère que vous apprécierez aussi.

    Bises. 

     

    Est-il besoin de dire pourquoi je l'aime celle-ci ??? sourire

     

     

     

     

     

     

     

      Là, c'est la position qui me parle...    

     

     

     

     

    Deux colliers, deux laisses et pourtant elles sont si différentes dans leur attitude... Ce que je suis ? Un peu des deux probablement...

     

     

     

     

     

     

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  • Mon Maître d'alors m'avait fait rencontrer un autre Maître D. et sa soumise M.. La rencontre a eu lieu chez elle. Il y avait donc nous quatre et..... le mari, voyeur de son état.

    C'était ma première expérience avec une femme et devant un voyeur aussi du reste. J'avais peur que ce dernier point me "coince" un peu mais non. La rencontre s'est vraiment, vraiment....  bien déroulée.

    Pour ma première fois féminine... j'ai beaucoup aimé. 

    Depuis, j'ai eu une autre rencontre féminine que j'ai beaucoup appréciée aussi mais... vous devrez vous contenter de votre imagination car je n'ai aucune photo... désolée... sourire.

    Rencontre à 5

     

     

    Bon... je n'aime pas mes fesses mais ainsi habillées de traces de coups de ceinture et autres... ça va... sourire.

     

     

     

     

     

    Rencontre à 5

     

     

    Mes fesses et la chatte de ma copine de jeu.... très belle chatte du reste !!!

     

     

     

     

     

    Rencontre à 5

     

     

    Photo d'une première : étrange de se faire prendre par une femme équipée d'un gode-ceinture. Je crois que nous avons autant ri de notre maladresse que nous avons apprécié.

     

     

     

     

     

     

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  • Il lui avait dit de se tenir prête et qu’ils allaient sortir sans autre explication. Elle n’avait pas osé en demander non plus mais elle s’en mordait les doigts à présent. Il allait arriver dans deux heures et ça faisait déjà un moment qu’elle réfléchissait à une tenue qui pourrait être appropriée. Mais sans savoir ce qu’elle ferait ni où elle irait, cela n’était pas simple du tout. Elle avait le regard fixé sur sa garde robe, un air désespéré accroché aux yeux lorsqu’elle entendit la sonnerie de son portable signifiant l’arrivée d’un message « Je serai chez toi dans 1 heure. Sois prête. Tenue de campagne »

    Aussitôt lu, son niveau d’inquiétude monte en flèche. 1 heure ! Il ne lui reste qu’une heure ! Et « tenue de campagne » ? C’est quoi pour lui une tenue de campagne ???

    « Je ne vais pas y aller en jean, Tshirt et tennis quand même » se dit-elle….

    Elle tente de réfléchir rapidement et se décide pour une jupe ample qui s’arrête aux genoux et des chaussures à tous petits talons qui lui permettront de marcher n’importe où. Elle enfile ses bas, regarde son string sur le lit… string ou pas string… pas string ou string. Elle sourit intérieurement devant cette question existentielle…. Mais en même temps, elle essaie d’imaginer ce qui lui ferait plaisir sans y parvenir vraiment. Elle se décide pour la version « chatte à l’air » en pensant au soleil qui brille et à la chaleur ambiante. Et puis… campagne… nature… pourquoi ne pas interpréter la consigne sur ce plan là aussi… se dit-elle en riant.

    En haut, le tshirt basique est exclu car il ne donne pas suffisamment accès à ses seins… elle regarde à nouveau sa penderie et…… La sonnerie…. message… un coup d’œil en vitesse :

     « tout compte fait... sois prête dans 30 minutes ».

    Elle ouvre la bouche en un cri silencieux ! Punaise ! 30 minutes !! Il abuse là ! Elle se reprend immédiatement et sourit. Non il n’abuse pas. Il lui fait plaisir plutôt. Elle est sa soumise et il sait qu’elle aime lui obéir même (surtout) dans le stress. Ceci dit… 30 minutes… à ce rythme elle ne sera jamais prête à temps.

    Aller… mission placard ! Elle hésite un peu mais se décide pour un chemisier sans manche qui fait suffisamment « décontracté » pour « coller » au thème imposé. Elle l’enfile, regarde son allure dans la glace… « C’est bon » Se dit-elle. Il lui reste 20 minutes pour remettre un coup de mascara (waterproof au cas où…), un coup de peigne, mettre quelques bijoux (sinon elle ne sent pas à l’aise) et… se calmer ou plutôt, essayer de se calmer…

    La petite musique à nouveau… « devine !.... dans 5 minutes ! ».

    5 minutes !!! Elle jette son téléphone sur le lit plutôt qu’elle ne le pose. Cours à la salle de bain, vérifie son maquillage vite fait.

    Passage aux toilettes : 1 minute ;

    Mascara : 30 secondes ;

    Coiffage : 30 secondes ;

    re-brossage des dents : 1 minute ;

    bijoux : 1 minute.

    Elle revient à la chambre, attrape son portable, le met dans son sac à main, va rapidement à la porte et jette un œil à l’heure. 1 minute avant son arrivée… un peu juste pour se calmer. Elle a l’impression que son cœur veut sortir de sa poitrine et qu’un nœud lui tord le ventre et…. Elle aime ça.

    Quelques instants après, la porte s’ouvre à la volée.

    Il est là, devant elle, souriant. Il la regarde, tournant autour d’elle, vérifiant du regard si tout correspond à sa demande. Il soulève sa jupe…

     « Pas de culotte ?.... Bien… J’aime quand tes fesses sont ainsi à ma disposition. Va t’appuyer contre le canapé et cambre toi bien que je continue mon inspection… »

    Bon… ce n’est pas ça qui va la calmer et il le sait bien…

    Elle se penche, se cambre autant qu’elle peut et prend sur elle pour tendre ses bras vers l’arrière et écarter ses fesses.

     « Bien… je vois que ça rentre »

    Malgré sa gêne, elle sourit à ces paroles.

     « Je vais quand même vérifier » dit-il en lui mettant une petit claque sur le derrière.

    Elle sent ses doigts parcourir ses lèvres, les tirer, les écarter puis la pénétrer.

     « Là… pas de problème comme d’habitude ! Je vais vérifier ailleurs. Contente hein…. »

    Elle se fige un peu, malgré elle.

     « Aller, écarte mieux que ça… »

    Elle sursaute au contact du gel froid, appuie sa tête contre le canapé lorsqu’elle sent les doigts pénétrer son anus.

     « Bon… ça va aussi ici… »

    Alors qu’elle l’entend aller vers la salle de bain, elle se redresse et remet sa jupe droite.

     « Je ne crois pas t’avoir dit de te relever. Si ? »

    Elle stoppe tout mouvement.

     « Euh… non mon Maître. Excuse-moi »

    Elle remonte sa jupe et se penche à nouveau sur le canapé, exposant ses fesses écartées.

     « tu as du gel, il serait dommage de ne pas en profiter… Regarde ce que j’ai pour toi.. »

    Elle tourne la tête et voit son plug. Un faible gémissement sort de sa bouche. Elle est incapable de dire si c’est de plaisir car elle aime le sentir au fond d’elle, d’appréhension car l’intromission lui pose toujours problème, ou de gêne. Sûrement un peu des trois.

    Elle s’efforce de rester immobile, de ne pas avancer pour fuir inutilement. De fait, le plug est rapidement au fond d’elle grâce au gel et à la préparation de ses doigts.

    Il l’aide à se redresser, lisse sa jupe pour elle, passe doucement sa main sur ses fesses.

     « Ca va ? »

    « Oui mon Maître. Merci »

    « Bien. Alors on va y aller mais avant…..»

    Il sort son collier de sa poche. Le regard de Valsou se fixe dessus et un sourire étend ses lèvres. Il sourit à son tour en la voyant réagir ainsi. Il l’attache à son cou et vérifie qu’il ne sert pas de trop. Il sort ensuite son masque qu’il place devant ses yeux, l’aveuglant.

    Il prend le bout de la laisse et la tire vers la sortie. Il referme la porte sur eux, tourne la clé et la met dans son sac à main. Il la guide vers les escaliers qu’elle descend en se tenant à la rampe.

    Elle pose le pied sur le palier du premier étage lorsque le bruit proche d’une porte qui se ferme la fait sursauter.

     « Bonsoir »

    « Bonsoir »

    Elle sent qu’il tire un peu sur la laisse…

     « Tu pourrais être polie…. »

    Un timide petit « bonsoir » sort de ses lèvres….

     « Vous sortez votre chienne ? »

    « Oui… il faut bien satisfaire ses besoins sinon elle devient intenable… »

    « Je comprend ça ! Justement je sors d’un apéro chez des amis dont l’épouse n’a pas arrêté de m’allumer !!! Je ne vous explique pas mes besoins, là, tout de suite… »

    « ah…. Je peux peut-être faire quelque chose pour vous dans ce cas »

    Elle sent les mains de son Maître se poser sur son chemisier, défaire un premier bouton. Elle recule, instinctivement, bute contre une marche et se retrouve assise brutalement…

    « J’allais te dire de te relever mais…. Tu as raison ça sera mieux ainsi. Tu as de la chance. La prochaine fois, je t’interdis de te dérober ! »

    Elle sent à nouveau ses doigts qui détachent les boutons un à un. Les pans s’écartent largement et ses seins sont sortis des corbeilles du soutien gorge.

     « Voilà…. Vous pouvez jouir de la vue, dans tous les sens du terme… »

    Elle comprend en même temps qu’elle entend le bruit significatif d’une braguette qui s’ouvre. Il l’offre ou en tout cas sa poitrine. Alors… Alors elle veut qu’il soit fier d’elle. Elle sent la laisse qui est toujours en l’air et donc dans la main de son Maître, à côté d’elle. Elle pose ses mains sur la marche, légèrement en arrière, se cambrant de manière à mettre ses seins en avant.

    Elle entend des frôlements, des gémissements légers puis, rapidement, des gémissements un peu plus appuyés. Elle sent les jets qui frappent sa poitrine et qui coulent le long de son ventre.

     « Merci, vous êtes très aimable. Ca va mieux là…. »

    « Pas de problème… »

    Elle l’entend descendre d’un pas qui semble guilleret… Elle sourit.

    Un souffle frôle son oreille.

    « Alors… la soirée commence bien non ? Aller, rhabille-toi »

    « Oui mon Maître, très bien. Je peux avoir un mouchoir pour m’essuyer s’il te plait ? Ils sont dans mon sac »

    « Non ! »

    « Non ? Mais…. »

    « Tu as besoin que je me répète ? »

    « Euh non mais… non, je vais me rhabiller »

    « Bien… je vais même te faciliter la vie. Laisse tes seins comme ça, rattache juste ton chemisier. »

    Pendant quelques instants, elle ne sait même plus comment elle doit s’y prendre. Elle a l’impression que ça coule, que ça imprègne la ceinture de sa jupe, qu’elle est poisseuse de partout et remettre ses habits par-dessus tout ça… ben… c’est un peu dégoutant d’après elle. Malgré tout, elle rassemble ses esprits. Elle referme son corsage, attache les boutons en essayant de ne pas faire coller le tissu à la peau mais, sans y arriver.

     « Aller ! On ne va pas y passer la nuit quand même. On va finir par nous attendre et ce ne serait pas poli »

    Elle se fige à ces mots. Ils sont attendus… On va la voir… dans cette tenue qui colle... Et il y a des chances pour que l’on en devine aisément la raison… Elle baisse la tête… vaincue et en même temps…. Heureuse de lui obéir.

    Le collier la tire vers le haut pour qu’elle se lève. Elle suit le mouvement et descend les marches du premier étage. La pensée qu’elle va sortir dans ces vêtements tâchés et tenue en laisse la gêne profondément mais… elle suit son Maître.

    Une portière qui s’ouvre, une main sur sa tête pour la protéger de toute bosse.

     « Relève ta jupe pour t’assoir. Je veux ton cul sur directement sur le siège et ta chatte offerte à la vue »

    Elle s’exécute et pose son sac par terre entre ses pieds.

    Il s’installe au volant, la regarde, passe sa main entre ses cuisses, s’attarde sur son clito puis enfonce ses doigts en elle. Elle gémit sous ses caresses.

     « Ouvre la bouche »

    Il glisse ses doigts entre ses lèvres.

     « Tu as l’air d’aimer non ? »

    « Oui mon Maître. J’aime ce que tu me fais ou me fais faire »

    « Très bien. Fais-toi jouir alors. Tu as quinze minutes environ devant toi… Je veux que tu sois trempée en arrivant »

    Elle avance ses fesses sur le siège autant que la ceinture de sécurité le lui permet. Elle écarte bien les jambes et se tourne très légèrement vers son Maître. Elle sait que ce n’est pas très prudent car il conduit mais… elle lui fait confiance pour rester maître de la voiture. Et puis, elle a envie de l’allumer un peu il faut dire….

    Elle se caresse, essayant d’oublier que, malgré la nuit tombante, des passants et des automobilistes peuvent la voir. Elle sent de temps en temps la main de son Maître qui vient caresser son sein gauche ou le pincer doucement, lui arrachant un gémissement de plaisir à chaque fois.

    Elle n’est pas loin de jouir lorsqu’elle sent la voiture ralentir.

    « Tu as encore quelques minutes devant toi, ne panique pas.  Je dois prendre quelqu’un en route. Ca ne te gêne pas je suppose…. »

    Elle referme vivement les jambes et…. Les ouvre presque aussitôt… reposant sa main où elle était, reprenant timidement ses caresses.

    Elle s’éclaircit la voix…

     « Nnnn… hum hum… non bien sûr. Fais ce qu’il te plait mon Maître »

    La voiture s’arrête et son souffle sur son oreille…

     « Bravo ma soumise… »

    Elle entend la fenêtre qui s’ouvre de son côté et une main prend son visage pour le tourner vers l’extérieur. Des lèvres se posent sur les siennes, une langue cherche à pénétrer. Elle s’offre à cette bouche inconnue… avec plaisir se rend-elle compte.

     « Je vois que la soirée a déjà bien commencé ! »

    « C’est le cas de dire oui ! Dans son immeuble elle a déjà fait plaisir à un homme qui s’est satisfait sur ses seins »

    La portière arrière s’ouvre, l’homme s’installe derrière elle. La voiture se remet en marche et elle continue ses caresses. Elle a un peu de mal à se concentrer de nouveau et se demande avec inquiétude si elle va parv…. Une main est venue se poser sur un sein. C’est l’homme derrière car elle sent son bras. Il pince doucement son téton. Insuffisamment fort pour lui donner une douleur qui couperait tout mais suffisamment fort pour la faire gémir d’excitation et lui faire accélérer ses caresses.

    Un gémissement plus appuyé et son corps tendu fait comprendre aux deux hommes qu’elle a jouit.

     « Bien. Je fermerai les yeux pour cette fois sur le fait que tu t’es fait aider pour tenir le délai… »

    « Merci mon Maître, c’est gentil »

    Elle sent la voiture ralentir son allure, la route devenir plus… cahotique, puis, s’arrêter.

    L’homme derrière sort, son Maître aussi. Il la fait se lever, la pousse un peu pour refermer la portière.

    Le bruit de la ville n’est plus. Elle n’entend que le bruissement des feuilles dans des arbres et le bruit des oiseaux nocturnes qui s’éveillent. Elle suppose qu’ils sont dans une forêt mais elle n’en n’est pas sûre. Il fait suffisamment chaud mais elle frissonne… Elle se demande ce qui l’attend avec anxiété.

    Des mains s’attaquent à son chemisier et en détachent les boutons. Il passe le long de ses bras. L’attache de son soutien gorge est défaite et il est rapidement ôté.

    Elle est retournée, la fermeture de sa jupe descendue et la jupe tombe le long de ses jambes.

    Les bracelets de cuir de son Maître sont ajustés à ses poignets. Elle sourit... elle sera attachée…

    La laisse est tirée et elle se félicite d’avoir mis de très petits talons en sentant les cailloux sous ses pieds. Elle avance doucement. On la stoppe et la fait reculer d’un pas ou deux. Elle a l’impression de sentir la voiture derrière ses mollets.

    Un sein est empoigné, son téton pincé doucement puis un peu plus fort… beaucoup plus fort… jusqu’à ce qu’elle gémisse elle aussi, de plus en plus fort. Des élastiques sont alors mis. Elle ne les compte pas mais se doute qu’ils vont tendre sa poitrine. L’autre sein subit le même sort, du début à la fin.

    Des mains la tiennent aux épaules tout en lui indiquant qu’il faut qu’elle se penche en arrière. Elle sait que la voiture est là mais… ce n’est pas évident de se laisser aller ainsi, sans rien voir.

    Enfin, elle est couchée… sur le capot lui semble t-il en sentant la chaleur sous son dos. Ses bras sont tirés vers l’arrière et au bruit, une corde doit avoir été glissée dans les passants. Ses cuisses sont écartées, largement. Ses pieds sont posés sur le pare-choc à son avis et ses chevilles elles aussi sont attachées, l’empêchant de refermer le compas de ses jambes. Ainsi remontée sur la voiture, ses bras sont à nouveaux tirés vers le haut, interdisant tout mouvement. Elle se demande bien à quelle sauce elle sera mangée et si elle a une complète confiance en son Maître, ça ne l’empêche pas d’être inquiète.

    Il a dû le sentir car elle entend sa voix souffler à son oreille « je suis là et j’ai ta laisse bien en main ». Un soupir s’échappe de sa poitrine… elle bloquait sa respiration depuis quelques instants sans même s’en rendre compte.

    Quelques minutes passent ainsi sans que rien ne se passe si ce n’est que ses seins lui semblent extrêmement tendus. Mais c’est une sensation qu’elle apprécie maintenant.

    Tout à coup, elle a l’impression que des arbres s’agitent. Elle entend des pas sur le chemin. Elle est incapable de dire s’il n’y a qu’une personne ou plusieurs mais ils ne sont plus seuls c’est certain !

    Une main se pose sur son ventre. Le caresse doucement, remonte vers sa poitrine, pince son téton déjà tendu.

    La main d’une autre personne (elle en est sûre car le touché n’est pas le même) se pose sur son sexe, écarte les lèvres, les pince, joue avec son bouton alors que des doigts se glissent en elle.

    En fait, elle a l’impression que des mains sont partout sur elle, caressant, pinçant, profitant de sa bouche et de son sexe. Elle sent même que quelqu’un joue avec le plug, le faisant bouger sans le sortir complètement.

    Des sexes sont placés dans ses mains. Elle essaie de les caresser du mieux qu’elle peut, ses mouvements étant limités par les liens. Les soupirs qu’elle entend la rassurent. Elle ne se débrouille pas trop mal apparemment.

    Son bassin se cambre brutalement. Un sexe vient de s’enfoncer en elle d’une seule poussée. Elle le sent bien tout comme ses mouvements car le plug prend de la place aussi, amplifiant ses sensations. Ses tétons sont pincés de concert par… elle ne sait qui.

    L’homme qui vient de la prendre part, aussitôt remplacé par un autre.

    Au bout de plusieurs minutes, elle ne sait plus où donner de la tête. Elle n’arrive plus à savoir qui lui fait quoi. Sa chatte a été prise plusieurs fois, elle a été pénétrée par des sexes, des doigts. On l’a embrassée. Ses seins ont été caressés, pincés, mordus. Elle ne sait plus, elle profite juste du moment.

    Elle sent que celui qui la prend actuellement va jouir à ses mains qui empoignent plus violemment ses hanches et à ses crispations. Ceci fait, il est vite remplacé. Là aussi, l’homme a envie de se soulager rapidement maintenant. Ses mouvements sont amples et vifs. Elle entend des souffles appuyés de part et d’autre de sa tête. Elle essaye de comprendre ce qui se passe mais… sans y parvenir vraiment.

    Le sexe en elle sort et elle entend le son de préservatif que l’on ôte. Elle devine qu’il se caresse devant elle, ce qu’elle vérifie en sentant un jet atterrir sur son pubis et un autre sur son ventre. Simultanément, d’autres jets frappent ses seins et son ventre encore.

    Tout se calme. Elle sourit.

    On la détache, on enlève les élastiques et on l’aide à se relever. Elle a une furieuse envie d’une douche mais ne dit rien.

    Son Maître s’approche. « Alors ? tu as aimé ? »

    « Oui mon Maître. C’était…. Parfait ! »

    « Tant mieux. Mais ce n’est pas encore fini. J’ai une question. Si tu te trompes, tu seras punie. Combien d’hommes ont profité de ton corps ce soir ? »

    « Euh… je dirais 4 ici et 1 dans mon immeuble donc 5. »

    « Tant pis… »

    Elle retient son souffle…

    « Tu ne seras pas punie. Tu échappes à la fessée »

    Elle baisse la tête une seconde, la relève, le regarde derrière son masque. Elle est tout sourire.

    « Je peux revenir sur ma réponse s’il te plait mon Maître ? Je crois que j’en ai oublié un…. »

    « Tu es une belle salope ma soumise ! » Il sourit à son tour… Il était presque certain de sa réaction.

    « Très bien. Viens par là. Appuie-toi ici »

    Il l’a fait se pencher, les coudes sur le capot. Sa main appuie sur ses reins pour la cambrer.

     « Ah… j’ai oublié de te dire, notre ami qui t’a si aimablement aidé sur le trajet pour venir ici, a bien mérité une récompense. Il a donc le droit de te donner une fessée aussi. Ton Maître n’est-il pas gentil ? »

    « Mon Maître est un ange et je le remercie de faire ainsi en sorte que sa soumise ait chaud aux fesses sur le trajet du retour »

    Une, deux, trois…. A six, elle se dit qu’elle a vraiment une trop grande gueule parfois. A dix, qu’elle poserait bien ses fesses dans la neige, à quinze, elle gémit en se dandinant.

    « Arrête de faire ta petite nature. C’est toi qui a demandé je te le rappelle… »

    « Je sais mon Maître…. Je sais…. »

    Elle s’efforce de rester plus tranquille mais… elle a vraiment mal.

    « Je te fais cadeau de la dernière. Contente ? »

    « Oui… merci mon Maître. »

    « Très bien. Maintenant, notre ami ici présent voudrait bien profiter de ta bouche qui n’a pas encore servit ce soir du reste. Ou pas trop en tout cas. Écarte-toi un peu de la voiture en restant dans cette position »

    Elle s’exécute et sent l’homme passer devant elle et s’appuyer sur la voiture à son tour. Elle entend la braguette qui s’ouvre. Une main se pose sur sa tête et appuie jusqu’à ce que ses lèvres rencontrent le sexe bandé. Sa bouche s’ouvre et sa langue tourne autour du gland mais rapidement, elle le suce complètement.

    Son Maître est resté derrière elle. Elle le sent à la laisse qui est posée sur son dos. Il joue avec le plug pendant qu’elle s’occupe de leur invité. Il l’enlève à moitié, jusqu’à ce que l’endroit le plus large soit prêt à sortir. Il le remet et ainsi de suite pendant quelques instants puis, l’enlève complètement. Elle sent le sexe de son Maître la pénétrer lentement mais à fond. Elle gémit…. Mais pas de douleur. Elle en oublie de s’occuper du sexe dans sa bouche.

    Une claque sur une fesse… « Et alors…. ? »

    Elle se remet à lécher l’homme devant elle pendant que son Maître la sodomise.

    « Caresse toi et fais-toi jouir avec nous… »

    A ces mots, sa main vient exciter son clito de caresses rapides et appuyées. Elle ne pense pas qu’ils vont tenir très longtemps avec la soirée qu’ils viennent de passer et, elle-même… elle a très envie de jouir… vite.

    Ils gémissent de concert. L’homme jouit sur sa poitrine et son cou, son Maître au fond d’elle et elle, sous ses doigts.

    Elle se redresse avec raideur dès que son Maître la libère. Elle se sent un peu ankylosée après cette soirée. Et poisseuse. Surtout poisseuse en fait.

    Une claque sur ses fesses… « Aller en voiture ! Mais prends cette serviette avant… déjà que tu taches les couvre-lits… je ne voudrais pas que tu laisses des traces sur le siège. »

    Un esprit d’espièglerie s’empare d’elle et en souriant, elle le prend par le bras, se tend et… l’embrasse sur la joue.

     « Merci mon Maître ! Pour la serviette et… le reste…. »

    En riant, il la regarde s’installer et, prenant un air faussement affligé en direction de leur invité…

     « Je me demande ce que je vais arriver à faire d’elle…. »

     

     

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