• Elle finissait son cours. Dans quelques minutes elle serait libre d’aller faire son shopping comme prévu. Le prof qui lui faisait face avait un certain charme et donnait de l’intérêt à ce cours de langue. Elle était douée en langue pourtant parait-il mais pas trop en anglais en fait !

    Elle avait besoin de progresser, mais qu’est-ce que c’était dur de se remettre aux études alors que l’on est adulte….

    A la sonnerie, elle range ses affaires dans son sac et s’apprête à quitter la salle. Comme d’habitude elle est la dernière… Alors qu’elle va pour quitter la salle, elle entend le professeur l’interpeler en lui disant d’attendre un peu.

    Il termine d’écrire et se tourne pour la regarder. Il se lève, va fermer la porte puis retourne s’assoir. Il la regarde, d’un regard pesant qui la met un peu mal à l’aise.

    « je sens que vous travaillez mais je pense que vous êtes bien en deçà de vos capacités. Vous vous économisez et vous vous satisfaites de résultats moyens. Moi, ça ne me satisfait pas. Pas du tout. Et je compte bien vous faire progresser ! »

    Ces mots lui font baisser la tête. Se faire traiter ainsi alors que l’on a plus de 40 ans… mince alors ! Même si c’est vrai, c’est dur à encaisser.

    « Venez ici »

    Elle le regarde et son regard n’est plus aussi bienveillant que pendant les cours. Ses yeux se baissent à nouveaux rapidement.

    « Dépêchez-vous je n’aime pas me répéter ! »

    Elle s’approche du bureau et s’arrête tout près de lui.

    « Vous avez des enfants… rappelez-moi ce qu’on fait aux enfants lorsqu’ils ne sont pas sages…. »

    « …. »

    « Pardon ???? »

    « ….fessée »

    « Je vois que vous êtes aussi douée en français qu’en anglais ! Je vous rappelle qu’une phrase comporte un sujet, un verbe et un complément. Répétez »

    « …. On leur donne une fessée »

    « Très bien ! Et comme vous n’avez pas été aussi sage que je l’aurais espéré… vous serez punie en conséquence ! Déshabillez-vous ! »

    Elle ne sait pas qu’elle attitude adopter lorsqu’elle senti des doigts se poser sur son téton droit et le serrer, la faisant crier de douleur.

    « Je n’aime pas répéter mais je n’aime pas que l’on me crie dans les oreilles non plus ! Alors taisez-vous et obéissez ! »

    Prenant sa tunique par le bas, elle commence de se déshabiller lentement. Elle ne sait plus trop où elle en est. Elle devrait partir, se plaindre, hurler mais… non. Elle reste là et obéis.

    Nue, elle se tient maintenant devant lui. Elle pose une main sur sa poitrine et l’autre sur son sexe, le regard toujours baissé.

    Il lui prend les mains l’une après l’autre, les mets dans son dos puis les attaches, pas trop serrées, elle s’en rend bien compte. Le constater, lui permet de se dire qu’elle aime cette situation.

    Il lui prit la gorge et lui lève le menton.

    « Ne baisse pas les yeux. Regarde-moi, regarde ce que je tiens à chaque fois et imagine l’effet que ça te procurera lorsque ça touchera ta peau douce »

    Elle eu un frisson en entendant ses mots. Pas de peur mais de plaisir.

    Il eu un sourire en coin en la voyant frotter ses jambes l’une contre l’autre.

    Il prend deux pinces de bureau qui tiennent ses copies, les pose dans la paume de sa main ouverte et lui montre à hauteur des yeux. Elle n’ose croire ce qu’elle croit.

    Il prend un de ses seins, pince le bout, assez fort, le tourne dans un sens puis dans l’autre, le tire, devant, vers le haut… Une pince vient mordre cette chair tendre. Elle se crispe et gémis en pinçant les lèvres. Autre sein, autre téton, mais même traitement et même effet. Peut-être un peu moins de gémissement car elle savait par expérience, ce que la pince lui ferait ressentir.

    Il prend une grande règle plate qui était sur le bureau et là aussi, lui montre l’instrument, frappant la paume de sa main avec, comme pour en tester la résistance. Il se place de travers puis frappe les seins alternativement. Gauche, droite, dessus, dessous, etc… Au fur et à mesure des coups, elle a de plus en plus mal et supporte de moins en moins ce traitement. Elle gémit, tape du pied, le regarde implorante…. Enfin, les coups cessent. Les caresses des mains remplacent les coups. Son regard se fait reconnaissant….

    Il la prend par un bras, la pousse légèrement afin qu’elle se penche, les pinces pendant à quelques millimètres du bureau. Il lui écarte légèrement les jambes et glisse sa main vers son sexe…. qu’il trouve bouillant et humide.

    « je vois que la punition n’est pas que désagréable…. »

    Il place la paume de sa main devant ses yeux, à l’horizontale. Elle ne comprend pas car sa main est vide de tout instrument. Elle tourne la tête pour le regarder l’air interrogateur. Il sourit…

    « tu ne comprends pas hein…. »

    Et la main s’aplatit sur son postérieur, la faisant sursauter. Les claques se font douces ou dures, rapprochées ou séparées par une caresse. Elle sent que ses fesses la chauffent de plus en plus.

    « Tu en veux encore ? »

    « Non non »

    « Mauvaise réponse »

    Il lui montre à nouveau sa main mais cette fois, avec la règle. Elle a déjà mal et appréhende…. Les quelques coups qu’il lui administre sont assez « gentils » mais avec la fessée qu’elle vient de recevoir, elle ne s’en rend pas compte. Elle a mal. Et en même temps, elle sait, elle sent qu’elle est excitée par la situation.

    Il l’a fait se redresser, la détache, lui enlève les pinces.

    « Rhabillez-vous. »

    Elle le regarde, étonnée. Elle pensait franchement qu’il allait lui demander de le sucer ou qu’il la caresserait voire même qu’il l’a prendrait. Mais là…. Elle a vu qu’il était très excité comme elle pourtant….

    Elle s’habille lentement. Une claque sur ses fesses déjà fort douloureuses lui fait presser le rythme. Une fois ses vêtements mis, elle se place devant le bureau.

    « Augmenter vos résultats à votre prochain contrôle et vous aurez peut-être ce que vous semblez rêver d’avoir en ce moment même…. Cela vous convient ? »

    « ouiiiii »

    « La fessée que vous aurez avant de me sucer ne sera que pour notre plaisir à tous les deux alors…. Vous pouvez partir….. A la semaine prochaine…»

     

     

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  • Ce texte a toute une histoire. Un jour, il y a longtemps, mon interlocuteur allait partir en réunion et nous n'allions pas pouvoir continuer de discuter sur msn (oui… il est vraiment ancien ce texte…). Je n'avais rien à faire et je lui ai demandé de me donner un sujet pour que je m'occupe en lui écrivant un texte. Il m'a dit "un grand magasin et une vendeuse". J'en étais encore à mes tous débuts dans l'écriture et si le thème "grand magasin" ne me posait pas de problème, le "vendeuse" m'en posait beaucoup plus : je n'avais jamais mis de femme encore, dans mes récits érotiques. 

    Voici ce que j'ai fait de ce challenge :

    Nos rendez-vous sont toujours des rendez-vous plein d’amour, de tendresse, de surprise. Nos conversations, nos rires, nos promenades n’appartiennent qu’à nous. Ce jour là, nous avons décidé de profiter de la fin des soldes pour aller faire un tour dans les magasins. Par forcément pour acheter, mais pour, essentiellement, le plaisir de flâner tous les deux.

    Le temps est ensoleillé, il fait doux. Main dans la main, nous marchons lentement dans la rue piétonne, regardant les vitrines. 

    Une boutique de souvenir m’attire… beaucoup de petites fées en vitrine mais aucune qui fait « tilt » en moi. Une bijouterie…. J’admire (je ne suis pas une femme pour rien… rire). Une maroquinerie… ah.. Les sacs à main… une grande histoire d’amour entre eux et moi. Mais rien dans mon budget qui ne me plaise. Tient une armurerie… tu t’arrêtes (évidemment… rire). Tu me la commentes… Tes yeux brillent. Nous repartons. Un grand magasin de vêtements, tu te rappelles que je t’avais parlé de m’acheter une jupe et bien qu’il soit bientôt midi, tu me pousses vers l’entrée pour que nous allions voir. 

    Nous nous dirigeons vers le rayon « femme » du deuxième étage. Je regarde, en passant, les « hauts ». Il y en a un qui m’attire particulièrement. Je le prends pour l’essayer puis deux jupes à essayer également. Pendant ce temps là, tu t’es arrêté dans le rayon des sous-vêtements. Tu me montres deux ensembles. « Tu ne veux pas les essayer ? J’ai envie de voir ce que ça donne sur toi ». Je ne vais pas te refuser ça. 

    Nous recherchons les cabines d’essayages. 

    A cette heure, même si le magasin est ouvert entre midi et deux, nous sommes les seuls clients. Une vendeuse, nous voyant hésiter, vient vers nous. C’est une belle jeune femme. Et c’est une femme comme je les aime… elle ne donne pas l’impression d’avoir pris son dernier repas il y a quinze jours ! Brune, cheveux longs qui encadrent un joli visage, des yeux marron en amande. Maquillée avec soin. Ses chevilles fines sont dans des chaussures à talon et pourtant elle est légèrement plus petite que moi. Sa jupe, s’arrêtant aux genoux, flotte autour d’elle. Son petit haut, un t-shirt qui se croise et s’attache sur le côté, peine à contenir une poitrine que l’on peut deviner sans peine très opulente. Je commence à connaître tes goûts et glisse un regard curieux sur toi. Je ne me suis pas trompée. Tes yeux sont fixés sur cette poitrine qui semble vouloir sortir de son emballage. Tu lui souris, de ton sourire craquant… Elle semble troublée : elle a compris la direction de ton regard. Je souris doucement…. Tu es incorrigible.

     « Vous cherchez quelque chose ? »

    « Nous sommes à la recherche des cabines ».

    « C’est dans le fond à droite, après les pantalons hommes. »

    « Merci »

    Les cabines sont effectivement là. Il y en a quatre, larges, avec des portes. J’y rentre avec mon panier et alors que j’allais refermer la porte, je te vois venir avec moi.

    « Eh…tu ne vas pas rentrer avec moi non ? »

    « Ben si pourquoi ? »

    « Qu’est-ce qu’elle va dire la vendeuse ? »

    « Rien, à part que j’aime te regarder »

    Ton regard, ton regard qui me fait fondre… Je ferme la porte derrière toi.

    Il y a très largement de la place pour deux. Je pose mon panier sur la chaise qui est là et te regarde. Tu t’es mis dans l’angle opposé, adossé au mur, ton regard fixé tendrement sur moi. Tu as fait de moi une coquine… une coquine tu verras…

    Mes yeux sont dans tes yeux. Tout en te regardant, j’accroche mon manteau à la patère.

    Mes mains, lentement, relèvent mon pull, le font passer au dessus de ma tête. Mes mains descendent ensuite vers ma jupe… Le bouton est détaché…. La fermeture éclair descendue, lentement. Lentement aussi, ma jupe descend le long de mes jambes, laissant apparaître….  mes bas noirs et mon minou libre de toute entrave. Tes yeux ont vus ce « détail ».

     « Dis donc coquine, quand est-ce que tu comptais m’avouer ça ? »

    « Euh… au restaurant ce midi, mon cœur. Ça te pose un problème ? » Je te regarde en souriant.

    « Non, absolument pas, mais je vais avoir du mal à sortir de la cabine maintenant »

    Mon regard descend le long de ton corps…. Il s’arrête en voyant ton sexe former une bosse impressionnante. Mon sourire s’agrandit…

    « Ah…oui… il faudrait te calmer avant ».

    Mon côté « coquin » a réellement augmenté depuis nos échanges et j’aime savoir que je t’excite. Mes mains passent dans mon dos, détachent mon soutien gorge. Mes mains le retiennent malgré tout. Je fais passer une bretelle par-dessus mon épaule…. L’autre bretelle…. Je te regarde : tes yeux sont fixés sur ma poitrine. Lentement, doucement, j’enlève ce morceau de tissus qui cache mes seins. Je me redresse fièrement et laisse ton regard me parcourir.

     « Tu veux que j’essaie lequel en premier mon ange ? »

    « Pour l’instant aucun mais tu pourrais peut-être essayer de me calmer…. »

    « Ici ? Ça va pas la tête ? »

    « Ça ne craint rien. Il n’y a personne et la porte est fermée. Aller…. »

    Ton regard… ton sourire…je craque…

    Je m’approche de toi, pose mes mains sur tes épaules, mon visage dans ton cou. Je te respire, je t’embrasse tendrement dans le cou. Mes lèvres se déplacent vers les tiennes, mes mains glissent le long de ton corps. Elles ont trouvé ce qu’elles cherchaient. Ton bouton, ta braguette…. Ton sexe sorti, se dresse. Je le regarde, te regarde. Ma main le caresse doucement, le frôle, amoureusement… il tressaute… quelques petites minutes de ce traitement et je vois une goutte pointer sur le bout de ton gland : il aime sans doute…

    Ton regard, excité, dans le mien…. Tes mains sur mes épaules, se crispent… Elles appuient légèrement, pour me faire comprendre…..

    Un bisou sur tes lèvres… je descends à genoux devant toi.

    Je regarde ton sexe, emprisonné au creux de ma main. Je m’approche lentement. Je sens ton regard sur moi. Ma langue vient laper les gouttes qui luisent sur le bout. J’aime ton goût. Ma langue n’en reste pas là… elle s’entoure autour, le lèche, le savoure… ma bouche s’ouvre et tu t’enfonce en elle. Ta main se resserre sur mon épaule que tu n’avais pas lâchée. Tu aimes. J’aime. Nous aimons…. Mais, apparemment,  tu ne veux pas jouir dans ma bouche car après quelques minutes de ce traitement, tu me fais me redresser, face à toi. Tu places ma jambe droite sur la chaise et, d’un seul coup, vient en moi.

     « J’en étais sur…. Tu es trempée… ». Tes coups de rein… comme toi seul sait me les donner… j’adore ! Tes mains en profitent pour me pincer la pointe de mes seins. J’étouffe difficilement un gémissement. Le plaisir monte en moi rapidement… la situation, ton sexe, … tout m’excite. Tu sens mon sexe autour de toi se resserrer, mon col s’ouvrir pour mieux te sentir. Je jouis dans tes bras, ma tête, ma bouche dans ton cou, me mordant les lèvres pour ne pas attirer….

     « Il y a un problème ? »

    Nous stoppons tout mouvement d’un seul coup. Vent de panique dans ma tête au contraire de toi qui reste calme. Tu me repousses gentiment et range rapidement ton sexe. Je te regarde, d’un air effaré, ouvrir la porte à la vendeuse de tout à l’heure.

     « Non, non… mais mon amie hésite entre les deux ensembles de sous vêtement… peut-être pouvez vous l’aider » Ton sourire… fait encore une fois des ravages. La vendeuse me regarde alors que j’essaie tant bien que mal de cacher mon intimité et mes seins. Elle te sourit à son tour :

     « Oui, une telle poitrine mérite d’être mise en valeur »

    « La vôtre à l’air d’être splendide aussi… si je peux me permettre »

    Alors là, j’en suis soufflée… j’attends de voir l’air scandalisé de la vendeuse ou la gifle qu’elle va te mettre… qui sais….

    Mais non… tu es tombé sur une coquine mais moins timide que moi apparemment.

    « Merci beaucoup, c’est vrai que j’en suis fière et que j’aime qu’on la regarde »

    « Nous aimerions beaucoup en profiter, n’est-ce pas chérie ? »

    Je suis tellement surprise que, sur le coup, je ne réfléchis pas… et hoche simplement la tête.

    « Ça tombe bien… c’est l’heure de ma pause… et de toute façon il n’y a jamais personne à cette heure-là »

    Coquine mais pas timide… oui c’est sûr ! Tu t’approches de moi, enlève doucement mes bras qui essayaient toujours de me cacher. Je me laisse faire. Je t’aime et te fais confiance. Tu mets ton bras autour de ma taille et du regard, m’incite à jouir du spectacle.

    La vendeuse nous regarde en souriant. Elle défait le nœud de son t-shirt, ouvre un côté. Un peu de dentelle turquoise fait son apparition. Elle ouvre le deuxième côté et nous pouvons admirer un soutien-gorge, rempli, débordant de ses appâts appétissants  pour tout homme (hétéro). Elle met ses mains sur ses seins et les frôle lentement en te regardant dans les yeux. Tes yeux justement, naviguent rapidement de ses mains à ses yeux. Elle enlève son haut, t-shirt et soutien-gorge compris. Ton regard devient très très excité (il est vrai que tu n’as pas jouis toi !). Tes mains parcourent mon corps, mes seins.

     « Je peux ? »

    Quoi ?... mes yeux s’ouvrent subitement, après s’être fermés un court instant sous tes caresses.

    Je la vois t’interroger du regard, la main tendue vers moi. Un instant de recul… vite réprimé par ta main dans ton dos.

    « Voyons ma douce, elle ne va pas te faire de mal »

    Ok. Je la regarde avancer vers moi. Ses mains se posent sur mes épaules, les caressent. Elles descendent lentement, glissent vers mes seins, les frôlent, ses doigts effleurent mes aréoles brunes. Malgré moi, je suis encore excitée et ça se voit. Mes tétons se dressent. Sa bouche descend pour lécher la pointe droite. C’est…bon.

    Je te vois profiter du spectacle que nous te donnons. C’est plus fort que toi. Tes mains veulent toucher. Tu as deux mains, nous sommes deux filles… le compte est bon. Tu enlèves la main de la vendeuse sur mon sein et y pose la tienne. Tu poses l’autre sur son sein, lourd et tendu d’excitation lui aussi. Tu pinces le bout. Elle gémit.

    Je devrais être jalouse, mais bizarrement, la situation m’excite… tu ne m’oublie pas. Tu la regardes mais tu me regardes aussi. Ton regard est excité lorsque tu la regardes, amoureux aussi lorsque tu me regardes. Je te souris, tu me souris, nous nous embrassons, tes mains toujours occupées.

    Pourquoi être en reste ? Mes mains à moi sont libres jusqu’à présent. Je n’ai pas encore osé la toucher. Mais toi, tu es là, dispo. Mes mains libèrent ton sexe et le caressent doucement.

    La vendeuse, la bouche toujours sur mon sein, voit ton sexe dans ma main. Elle relève la tête, me regarde et avec un  sourire :

    « Je peux ? »

    Coquine mais polie…

    D’accord, je veux bien prêter, mais c’est bien parce que j’ai vu ton regard, et ton espoir que je dise « oui ». Tu veux deux coquines… ok.

    La vendeuse descend devant toi, se place à genoux et commence à lécher le long de ton sexe et remonte vers le bout. Bon… elle doit moins bien te sucer que moi (rire) mais, malgré tout, tu as sacrément l’air d’apprécier. De trop je trouve du reste. Je descends moi aussi. Ton sexe peut bien héberger deux langues sur lui…. Tu n’en reviens pas ! Tes deux mains sont sur nos têtes, nous encourageant (comme si nous en avions besoin !!). Tes mouvements de bassin montrent ton excitation croissante…

    Tu la fais se redresser, la place dos à toi, les mains posées sur le mur devant elle, et tu me places entre elle et le mur. Je devine ce que tu veux faire et rapidement je cherche dans mon sac et me relève en te tendant un préservatif. Tu me regardes en souriant et acquiesce en silence.

    Tu relèves sa petite jupe… et un petit sourire de surprise s’affiche sur ton visage :

    « Pas de culotte non plus… décidément, vous êtes deux coquines »

    Je vois la vendeuse se tendre vers moi. Tu la prises d’un seul coup de rein. Elle me regarde et je sens une de ses mains se diriger vers mon minou…. Ses caresses suivent ton rythme vigoureux. Sa main connaît apparemment ce qui fait du bien… ce ne doit pas être sa première fois avec une femme. Tes coups se font rapides, ses gémissements aussi. Sa tête est posée sur mon épaule, sa main toujours entre mes jambes, me faisant gémir doucement aussi.

    Je la sens se tendre. Un cri, léger… sa tête en arrière…. Tu ressens sa jouissance autour de ton sexe.

    Tu me regardes, un sourire…. Comme je t’aime…

    « Je te veux mon amour… viens… »

    Nous échangeons nos places avec la vendeuse. Tu enlèves le préservatif… Mon sexe est trempé. Ma jouissance de tout à l’heure, mon excitation, les caresses de la vendeuse…. Je suis à deux doigts de….

     

    Ton sexe glisse d’un seul coup en moi, j’aime…. Tes coups de reins vigoureux finissent de me faire jouir très rapidement. Tu n’attendais que ça pour te lâcher toi aussi. Tu sens mon vagin se resserrer autour de toi et d’un coup de rein encore plus profond, tu te libères en moi.

    La vendeuse nous regarde en souriant. Elle se rhabille rapidement.

    « Je serais de vous, je prendrais le bleu, la forme devrait bien vous aller. Au revoir »

    Je referme la porte derrière elle, te regarde… un bisou…

     « Et si je faisais mes essayages maintenant ? »

     

     

     

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  • Avant de connaître mon premier Maître, je savais que j’aimais que l’on me pince légèrement (euh… un peu plus que légèrement même…) les tétons et que, d’une manière générale, si j’aimais la tendresse et les câlins, j’appréciais aussi un peu plus de « rudesse » de temps en temps.

    Depuis…. il m’a fait découvrir… certains aspects de ma personnalité que je ne connaissais pas.

    Nos rendez-vous étaient synonymes de plaisirs et de douleurs mêlés, de rougeurs, de traces plus ou moins appuyées. J'aimais les marques qu'il me laissais. J'aimais quand elles étaient bien définies, visibles. Et si j'appréciais un peu moins lorsqu'elles devenaient diffuses et jaunes, en fait, je les aimaient toutes car elles étaient tout simplement SES marques... 

    Voici quelques photos souvenirs

    marques baguette en fibre de carbone

     

    Marques réalisées avec une baguette en fibre de carbone.

     

     

     

     

    cuillère

     

     

    Marque faite tout simplement avec une cuillère en bois

     

     

     

     

    Marque plus pâle mais... qui avait plus de 5 jours. Souvenir de sa ceinture en cuir

     

     

    laisse et cuillère

     

     

    Encore la fameuse cuillère en bois

     

     

     

     

     

    Mon collier et ma laisse...

     

     

     

     

     

     

     

     

    Marques diverses

     

     

     

     

    cuillère et baguette

     

     

    Cuillère et baguette

     

     

    Voilà... c'était une partie de ma vie de soumise. La première soumission qui a duré plusieurs années. Je le remercie pour m'avoir fait découvrir son univers.

     

     

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  • Ce texte.... je ne l'avais pas prévu totalement ainsi lorsque j'ai commencé à l'écrire. Et puis, comme ça arrive souvent, ma plume n'en n'a fait qu'à sa tête. Là, le dernier mot écrit, ce texte me faisait sourire toute seule et j'étais assez fière de moi.

    C'est en fait un des premiers textes que j'ai écrit à mon Maître 

    Bonne lecture, bisous.

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    La réunion est ennuyeuse. Un bilan chiffré, détaillé en long, en large et en travers. Elle regarde autour d’elle. Ses compagnons peuvent être divisés en 3 catégories. Les premiers, assidus, qui prennent des notes, l’air absorbé par ce qu’ils entendent, les seconds, qui font semblant, dessinant arabesques et figures géométriques sur leur bloc de papier et enfin les troisièmes, dont elle fait partie, qui ont l’esprit très loin du bureau.

    Son téléphone s’allume devant elle. Comme tous les autres, l’appareil est devant elle sur la table. Aucune sonnerie car elle fait très attention d’autant plus que les propriétaires des rares appareils qui ont sonnés dans la grande salle de réunion se sont fait remarquer et pas qu’un peu. Elle le prend discrètement dans sa main en voyant le nom s’inscrire sur l’écran. Qu’y a-t-il pour qu’il la contacte ainsi, alors qu’il sait qu’elle est en réunion tout le début d’après-midi.

     « Tu ouvriras la porte à partir de 19 h à qui sonnera »

    Qu’avait-il imaginé ? S’il lui demande ça, c’est que forcément il a prévu qu’elle aurait de la visite. Et pourtant, il est en déplacement pour encore 48 h donc ça ne peut pas être lui. Elle tente de réfléchir rapidement. A qui devrait-elle ouvrir la porte ? Elle ne voit pas. Mais, savoir qu’il pense à elle pendant son absence la réjouit.

    Quelques minutes après, du coin de l’œil, elle voit son téléphone se rallumer : « tu seras dans la tenue que j’aime ». Ah…. Un sourire illumine ses traits. Elle se voit dans la tenue dont il parle. C’est simple, une longue jupe fendue sur le côté qui laisse voir ses jambes fines lorsqu’elle marche, des sandales à talons, un porte-jarretelles, des bas clairs, un corsage en satin sans manches et très ouvert. Aucun sous-vêtement. Ce n’est pas qu’il n’aime pas la voir en sous-vêtements de dentelle travaillée, mais il trouve surtout que c’est plus pratique pour la caresser et la prendre lorsqu’il en a envie. De son côté à elle, elle trouve très excitant le fait d’être au service de son plaisir, offerte à ses mains, sa bouche et son sexe lorsqu’il en éprouve le besoin.

    La réunion allait se terminer lorsqu’elle reçoit  un nouveau message « rectification : sans la jupe ». Ah… sans la jupe… c'est-à-dire simplement en porte-jarretelles. Ouvrir la porte dans cette tenue risque d’être équivoque. Vraiment équivoque. Elle pourra peut-être se cacher partiellement derrière la porte….

    Enfin la réunion se termine. Elle passe à son bureau pour terminer ses travaux en cours. Elle a du mal car elle n’arrête pas de penser à lui, à ses messages. Elle se voit à demi-nue chez elle ce soir pour ouvrir à Dieu sait qui. Elle imagine qui pourra être derrière la porte. Elle imagine ce qui pourra se passer.

    30 minutes sont passées  lorsqu’un nouveau message apparaît. « Tu  auras ton plug ». Elle se sent rougir. Il sait qu’elle aime l’avoir en elle. Que le sentir au fond de ses reins l’a toujours à la fois excitée et troublée. Son regard reste fixé sur son téléphone alors qu’une enveloppe vient de s’afficher. Un nouveau message. Elle commence à appréhender les messages courts qu’elle reçoit depuis quelques heures.

    Elle prend sa respiration et appuie sur les touches pour faire apparaître le texto suivant. « Tout compte fait, pas la peine de mettre ton corsage ». Elle lit et relit et hésite entre laisser le rire qui est au bord de sa bouche éclater ou laisser la boule qu’elle a au ventre continuer à enfler…. Elle le remercie mentalement en riant doucement. C’est vrai qu’en porte-jarretelles avec un corsage, le tableau aurait eu une touche étrange. Et… elle aurait du s’en douter. Il lui avait enlevé sa jupe, autant faire pareil avec son corsage. Et sa poitrine, bien que tombante, n’était pas si moche que ça.

    Elle sourit, d’un sourire franc jusqu’à ce que…. Elle se rappelle qu’elle devra ouvrir la porte dans cette tenue. A ce moment là, son sourire se fige un peu.

    Elle a beau lui faire entièrement confiance, il ne sera pas là. Elle sera seule avec un inconnu. Rectification, elle sera seule et nue, avec un inconnu. C’est vrai qu’elle a déjà imaginé se donner à un autre oui. Mais avec lui. Et il le sait pourtant. Elle ne comprend pas.

     « Tu mettras la chainette avec les pinces pour tes seins et tes lèvres ». Encore un message. Et non des moindres. Les pinces ! Il sait qu’elle les adore ses pinces, celles qu’il lui a offert. Il sait qu’elle adore lorsqu’il pince la pointe de ses seins avec elles tout comme il le fait avec ses dents. Elle sent l’excitation augmenter d’un seul coup en elle. Elle sent son ventre se serrer d’envie.

    Elle très légèrement anxieuse si elle est honnête avec elle-même, mais surtout, elle est excitée. Qu’a-t-il bien pu imaginer ? De toute façon, elle se doute qu’elle aimera. Il la connait suffisamment maintenant pour savoir ce qui la fait mouiller au quart de tour. Et là, c’est le cas. Elle a à la fois des nœuds au ventre et son sexe qui a envie de contracter les muscles pour l’exciter encore plus. Etrange mais agréable…. Si agréable…

    C’est décidé, elle rentre à la maison. De toute façon, elle est maintenant incapable de se concentrer. Elle ne fait que se trémousser sur son siège depuis 5 minutes. A quoi bon rester.

    Arrivée chez elle, elle pose précipitamment ses affaires sur son lit et file sous la douche qui, elle l’espère, la calmera un peu. Elle règle l’eau à une température assez fraîche et laisse ses mains enduites de gel douche passer sur son corps. Elle se laisserait bien aller plus loin, à se caresser, à se donner le plaisir que son corps réclame, mais… non. Elle sait qu’elle ne doit pas, en tout cas, pas sans qu’il soit là. Elle termine rapidement sans que le calme salvateur arrive.

    Elle se sèche consciencieusement, se parfume légèrement, se maquille soigneusement et s’habille….  partiellement. Elle sort du tiroir la chaîne pour ses seins, le plug et le lubrifiant. Il est 18 h 40. Il est temps.

    Elle passe un peu de lubrifiant entre ses fesses, sur le bout du plug et l’enfonce en savourant ce qu’il lui fait éprouver.  Ceci fait, elle prend la première pince et la clipse sur le bout de son sein droit avec un léger gémissement de plaisir et de douleur mélangés. Elle fait subir le même traitement au sein gauche, avec le même gémissement. Puis, les lèvres de son sexe. Elle aime cette sensation tout comme elle aime voir cette chaîne devant elle.

    Elle se dirige vers la cuisine, prend un tablier qu’elle attache rapidement derrière elle. C’est un tablier qui tient par un lien à la nuque comme celui qu’elle avait lorsqu’elle était enfant.  Elle veut  manger rapidement un yaourt, ne sachant pas si elle en aurait l’occasion plus tard. Le pot dans la main gauche et la cuillère dans la main droite, elle commence à être aussi stressée qu’excitée. L’heure approche…

    On sonne. Elle pose son yaourt, sa cuillère et se dirige vers la porte. Elle prend une grande respiration et…..

    « C’est toi ????? Mais je croyais que…. »

    « Tu attendais quelqu’un d’autre peut-être ? »

    « Non, mais tu devais être absent…. »

    « Et je vois que tu en profites pour ne pas respecter mes consignes »

    « Mais si… j’ai tout suivi à la lettre… »

    « Dans quel message ai-je parlé d’un tablier ? »

    « Ah…. J’ai oublié de le poser, c’est tout… »

    « On en rediscutera en temps utile, mais tu me connais, je m’en rappellerai… »

    « Oui, je sais. Je suis désolée »

    « Pose moi ça déjà, et va nous chercher un verre de vin s’il te plait »

    Elle pose rapidement son tablier sur la table de la cuisine, ouvre le réfrigérateur, prend la bouteille, deux verres et….

    Dringggggggg !!!!!

    « Ah oui… j’ai oublié de te dire… j’ai commandé une pizza…. Tu n’as qu’à aller ouvrir…. »

     

     

     

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  • Il y a certains de mes textes que j'aime plus que d'autres. Je les trouve plus aboutis, ils me font sourire ou ils me touchent plus pour une raison ou une autre.
    Voici un texte que j'ai écrit pour mon Maître d'alors... Mon tout premier Maître réel.. sourire 
    Je tiens particulièrement à ce récit. Je trouve qu'il reflète bien notre relation, la tendresse mêlée à la soumission...
     
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    Il arrive de sa journée de travail, pousse la porte de l’appartement et lui sourit. Elle lui sourit en retour, perchée sur ses sandales à talons fins, vêtue de ses bas et d’un ensemble string et soutien gorge marron et rose. Elle s’approche en lui tendant  un verre de son whisky préféré. Il prend le verre, en avale une gorgée et le pose sur la tablette située à côté de lui. D’une main un peu brusque, il lui prend la nuque pour l’approcher de lui.

     

    En un pas, elle se retrouve tout contre lui, les cuisses légèrement écartées par sa jambe. Il pose ses lèvres sur les siennes, doucement, lui donne un baiser léger puis, sentant la bouche s’ouvrir, le baiser se fait plus profond et plus sensuel. Quelques instants et sa bouche se recule, un peu, si peu en fait, qu’elle sent ses dents mordiller ses lèvres. Elle aime ce mordillement autant que ses baisers même si, comme en cet instant, ses dents se font plus cruelles. Elle va pour gémir doucement, autant de plaisir que de douleur, lorsqu’elle sent que son téton droit vient d’être emprisonné entre des doigts qui le pressent et le tournent. Son gémissement se fait immédiatement plus intense et il plaque ses lèvres contre les siennes, comme pour l’avaler.

     

    Ses doigts se desserrent et sa main englobe le sein pour le caresser tendrement, comme pour le consoler. Elle recule un peu la tête pour le regarder, lui sourit à nouveau et l’embrasse dans le cou, en profitant pour le respirer avec bonheur.

     

    Alors que la tête est nichée dans  le creux de son épaule…

    « J’ai invité Jean-Paul à l’apéritif ce soir. Il arrive dans une demi-heure »

    « Ok. Il est sympa ? »

    « Oui… très. Mais tu verras par toi-même »

    « Bon. Je vais me mettre quelque chose sur le dos vite fait et je vais préparer les petits trucs à grignoter. »

    Il la regarde en souriant, place sa main dans le creux de ses reins, la pousse vers la chambre.

    « Je vais t’aider à faire « vite fait comme tu dis »…. »

     

    Arrivé dans la pièce, elle allait se diriger vers son armoire lorsqu’elle sent sa main la retenir par le coude. Elle le voit aller dans un coin de la pièce, ouvrir la caisse de ses accessoires et en ressortir…. Son collier. Elle adore son collier mais là, elle le regarde les yeux écarquillés.

     

    « Je ne vais pas le mettre quand même ! »

    « Pardon ?..... »

    Elle l’a entendu et ne voit nul sourire. Elle sait que même si elle argumente, rechigne, comme ça lui arrive de le faire, elle lui obéira quand même. Et elle sait au fond d’elle-même qu’elle aime lui obéir même s’il lui en coûte. Mais c’est plus fort qu’elle…

     

    « Mais…. Je ne le connais même pas et je ne vais pas mettre de col roulé pour cacher mon collier…. »

    « Non effectivement. Et de toute façon, je n’aime pas les cols roulés. Mais ne t’inquiète pas… tu auras bien quelque chose sur les fesses… »

     

    Elle n’a pas du tout envie de s’afficher ainsi. Enfin…. Elle y a déjà pensé si, mais là, elle ne le connait pas, c’est un de ses collègues… Et puis, elle le regarde et… c’est son collier et elle aime l’avoir sur elle, le sentir autour de son cou. Sans compter que c’est lui son Maître et qu’elle n’a pas à discuter ses décisions. Alors, elle lui fait un grand sourire, s’approche de lui et baisse la tête pour qu’il le lui attache.

     

    Dès le collier autour de son cou, il la retourne et lui fait poser les avant-bras sur la commode.

    « Cambre-toi !.... Plus que ça »

    Elle se place au mieux et attend, immobile. Elle l’entend farfouiller dans la caisse et un mélange d’appréhension et de plaisir l’étreint.

     

    Tout à coup, elle sent la claque de la raquette sur sa fesse droite. Un gémissement, quasiment de plaisir, s’échappe de sa bouche. Elle aime bien cette raquette. Ce n’est pas qu’elle fait du bien car elle chauffe sacrément mais… quand même…. Une claque sur la fesse gauche, puis encore deux sur chacune…

     

    Elle ne bouge pas encore, attend.

    La main du Maître vient se poser sur sa croupe et la caresse doucement. Il se penche vers elle et de son autre main, pince un téton, assez fort, en le tirant vers le bas.

    Elle gémit, assez fort. Il relâche.

    « Ca va ? »

    « Oui »

    « Bien…. »

     

    Il retourne dans sa caisse, revient vers elle et lui place ce qu’il tient, devant les yeux… Elle a une grimace d’appréhension en voyant la cuillère en bois.

    « Ca c’est pour avoir râlé… »

    Elle n’ose rien dire, sachant qu’effectivement, elle n’aurait pas dû.

     

    A chaque coup de cuillère, elle sent une brûlure vive, à chaque coup, un gémissement lui échappe, à chaque coup, elle a le réflexe de baisser les fesses mais elle s’oblige à rester cambrée.

    Au bout de quatre, là encore, il caresse doucement son postérieur.

    « Ca te fait de belles fesses…. »

    Elle entend son sourire lorsqu’il lui dit ça.

     

    Une petite claque, presque une caresse, pour lui faire comprendre qu’elle peut se relever.

    « Aller… va préparer l’apéro, je prends une douche rapide »

     

    Elle se dirige rapidement vers la cuisine et commence à préparer légumes et sauce au fromage blanc. Dispose les cacahuètes et les chips sur un plat. Sort les verres et les bouteilles. Elle est en train de tout placer sur la table du salon lorsqu’il arrive, sentant bon le gel douche.

     

    « Je vais vite mettre une robe, ton invité doit arriver dans 5 minutes »

    « Non ! »

    « Il ne vient plus ? »

    « Tu ne mets pas de robe »

    « Mais je…… » Elle n’a pas le temps de continuer sa phrase qu’elle voit la tête sévère de son Maître. Elle s’interrompt brusquement.

    « Je….. »

    « Rien ! »

     

    Elle baisse la tête. Un vent de panique la traverse. Il veut qu’elle accueille quelqu’un qu’elle n’a jamais vu, un homme, habillée en sous-vêtement avec un collier de chien et une laisse ?????? Même si c’est un abruti fini, ce dont elle doute vraiment, il va prendre ça pour une invitation et même si son Maître est là et qu’elle sait pertinemment qu’il ne pourra rien lui arriver de fâcheux,  elle n’a jamais fait ça et ça l’effraie !

     

    « Très bien…. »

    « Ah ben quand même… Il en faut du temps pour que tu comprennes ! »

     

    Elle baisse la tête. Un peu honteuse mais surtout pleine d’angoisse à l’idée de rencontrer un homme dans ces conditions.

     

    « Aller, viens là »

    Elle relève la tête et s’approche de lui. Le voir souriant la rassure, un peu. Elle s’arrête devant lui. Elle lui sourit aussi, ne pouvant résister. Il prend la laisse et la tire à lui. Il passe la main derrière sa tête et l’embrasse tendrement.

     

    « Tout ce passera bien tu verras »

    Un tout petit « oui » franchit sa bouche, si faible qu’il a du mal à l’entendre.

    « Bon aller…. C’est pas le tout mais il faut l’accueillir comme il se doit »

     

    Il la tire vers l’entrée en tenant la chaîne dont il accroche le bout à un crochet placé à bonne hauteur. Il la place face au mur, lui attache les mains et les accroche au même crochet qui tient la laisse.

     

    Il lui tourne un peu la tête afin qu’elle le regarde. Il lui sourit. L’embrasse. Lui mord les lèvres. Elle n’est pas rassurée mais elle lui sourit aussi.

     

    « Je t’ai promis que tu aurais quelque chose sur les fesses pour l’accueillir. Là, je trouve qu’elles ne sont pas très habillées. Que dirais-tu de quelques traces bien parallèles ? Celles de tout à l’heure se sont presque estompées… »

     

    Elle le regarde, baisse le regard, hésite quelques petites secondes, le regarde. Crainte, joie, fierté… traversent son regard.

    « Je pense que ça serait du plus bel effet… »

    Il hoche la tête en souriant…

    « Bien belle réponse ma soumise…. »

     

    Il prend la tige qui était posée non loin. Elle se cambre d’elle-même, un peu.

    « Encore »

    Elle accentue la pause.

    « Ah mince… j’allais oublier tes seins »

     

    Il fouille dans ses poches et en ressort deux pinces, celles en plastique. Il les lui pose après l’avoir l’écartée du mur un instant et avoir sortit les seins des balconnets du soutien gorge, puis se replace sur le côté, baguette à la main. Deux coups rapprochés lui cinglent la fesse droite, puis de manière identique sur la gauche.

     

    « Qu’en dis-tu ? On croise ? Ça ferait joli non ? Si on s’ennuie, on pourra même jouer à OXO sur tes fesses…. »

    Elle le regarde, souriant malgré ses fesses qui la cuisaient, souriant malgré elle, à l’idée de les voir jouer ainsi…

    « Vas-y… »

     

    Il se place correctement, donne deux coups sur une fesse, se recule pour admirer.

    « Vraiment pas mal… Je suis content. A l’autre. »

    Il va pour frapper de l’autre côté lorsque la sonnette retentie.

     

    Elle sursaute… elle avait presque oublié que l’invité allait la voir, la voir quasi nue, marquée, attachée…. Un vent de panique la traverse. Il le sent, lui caresse les épaules, la joue, et la regarde tendrement.

    « Tout va bien se passer tu verras. Et je serai là, tout le temps »

     

    Il ouvre la porte, s’efface un peu pour laisser Jean-Paul passer. Il va pour dire bonjour lorsqu’il la voit… Sa bouche s’ouvre sur un « oh » muet…

    « Ah oui……. Quand même….. Tu en as de la chance dis donc »

     

    Elle n’ose pas le regarder. Sa tête se cache autant qu’elle peut dans son épaule, son bras levé, ne lui montrant que sa nuque.

    Une claque sur la fesse déjà bien marquée la surprend.

    « C’est comme ça que tu dis bonjour toi ? »

     

    Elle hésite. Quelques secondes. Il la voit respirer, vite, puis prendre une grande respiration et se redresser. Il sourit intérieurement.

    Elle tourne la tête, affiche un sourire quelque peu crispé mais un sourire quand même.

     

    « Bonjour. Bienvenue chez nous »

    « Merci »

    Et il s’approche pour lui faire une bise sur la joue.

    « Jean-Paul… la fesse gauche n’est pas complète comme tu vois. Ca te dirait de finir ? »

    « Mais avec plaisir. Je serai sûrement moins doué que toi mais bon… »

    « Val, cambre-toi bien pour lui faciliter les choses »

     

    Elle s’exécute, posant son front contre le mur, fermant les yeux, anxieuse… Elle l’entend vaguement donner des conseils. Elle sent la baguette la caresser, se poser simplement, puis…. Le cinglement brulant. Quelques secondes, comme s’il regardait, vérifiait…. et le deuxième cinglement, le dernier….

    Il s’approche, regarde, sourit…

    « Pas mal pour une première fois. Félicitations »

     

    Il passe sa main doucement sur les fesses, remonte, lui caresse les reins, le dos, les épaules. Elle sourit de contentement. Elle aime ses caresses, après.

    « Caresse la aussi »

    Elle se crispe, légèrement. Elle sent d’autres mains sur elle, plus hésitantes mais…. pas désagréables. Au bout de quelques instants, elle arrive à se détendre, un peu.

    Il la détache, la retourne, l’embrasse, lui mord les lèvres, l’embrasse à nouveau alors que Jean-Paul continue de la caresser.

    « Enlève-lui les pinces puis caresse lui les seins »

     

    Il le fait, la faisant sursauter à chaque pince ôtée. Les mains sur ses seins lui sont douloureuses dans un premier temps, puis elles deviennent plus plaisantes.

     

    « Ca va ? » lui murmure t-il à l’oreille

    Un sourire timide puis un « Oui »

    « Bien ! On va peut-être aller au salon maintenant. Tu es quand même venu pour l’apéro je crois »

     

    « Je vous suis…. J’aime bien la vue que j’ai par derrière… »

    Elle sourit intérieurement… Elle semble lui plaire un minimum… c’est déjà ça.

    Elle suit son Maître qui la tient par la chaîne. Étrangement, ce geste ne la gêne pas, il la rassurerait plutôt. Elle est à lui.

     

    « Va te regarder dans la chambre… et tu en profiteras pour enlever ton soutien-gorge et ton string parce que de toute façon, ça ne cache pas grand-chose et en plus, tu n’en n’auras pas besoin…. »

    Elle le regarde et n’hésite qu’une infime seconde. C’est vrai qu’elle est curieuse de voir ses fesses…

     

    Elle en profite un moment pour se regarder et elle aime les traces qu’elle trouve belles sur ses fesses.

    Oter son soutien gorge ne la gêne que très peu puisque de toute façon, ses seins étaient déjà sortis, mais le string… même si, par définition, ses fesses étaient offertes aux regards, devant, il y avait un rempart, somme toute symbolique mais… il était là.

     

    Elle le pose malgré tout. Elle voulait qu’il soit fier et elle voulait tout faire pour qu’il le soit. Et… en y pensant bien, rien de ce qu’il lui faisait faire ce soir, en tout cas, jusqu’à présent, ne lui avait trop coûté.

     

    Elle prit une respiration profonde, mis ses mains de côté, normalement, essaie de prendre une démarche assurée, et retourne dans le salon.

    « Merci à vous deux, les traces sont très belles »

    Il la regarde en souriant.

     

    Elle s’applique à faire le service, demandant à leur invité ce qu’il souhaite boire, pose les plats de friandises à grignoter en ayant l’air le plus naturel possible.

    Elle va pour s’assoir à côté, mais éloigné, de Jean-Paul…

     

    « Viens plutôt t’assoir vers moi »

    Elle s’exécute et se met juste à côté de lui.

    Après quelques minutes de discussions diverses, elle sent, voit, que ses mains écartent ses genoux, l’air de rien. Un peu, beaucoup… Elle le regarde mais… ne dit rien et se laisse faire. Un regard par en-dessous vers Jean-Paul et elle voit bien que son regard n’est plus vers ses yeux mais plus bas…

     

    Sa main remonte vers son sein, le prend, le tire, pince le bout et le tourne, la faisant gémir.

    « Qu’en dis-tu, tu as envie de voir ses seins attachés ou serrés en tout cas ? »

    « Oh… vas-y…. fait comme chez toi… »

     

    Il sort une poignée d’élastiques de sa poche, se cale dans le canapé, écarte les jambes, se tourne vers elle.

    « Viens là » et il tape devant lui, entre ses cuisses.

     

    Elle s’installe sur le bord. Il lui écarte d’abord les jambes avec une petite tape car elle les avait refermées puis il prend son sein droit, le caresse, le malaxe, tord le bout, lui arrachant un gémissement. Il lui met 1, 2, 3, 4 élastiques, puis procède la même manière pour le gauche.

     

    « Alors… qu’en penses-tu ? »

    « Hummm…. Très…. Joli »

    Il regarde son collègue en souriant.

    « Oui je vois que le spectacle te plait ! Tu as vu ma soumise ? »

    Elle regarde rapidement, ayant compris le sous-entendu.

    « Oui, il est…. En forme »

    « Et comme c’est un invité, on ne va pas le laisser ainsi. Tu vas te mettre à quatre pattes, aller vers lui et le sucer »

     

    Elle tourne vivement les yeux vers lui, paniquée. Elle avait beau savoir que ça risquait d’arriver, là, tout de suite, elle n’arrivait tout simplement plus à bouger.

    Il posa sa bouche dans le creux de son oreille.

    « Tu vas y arriver ma soumise. J’ai confiance… Aller… Vas-y, dépêche toi, tu vois bien qu’il t’attend…. »

     

    Elle prend sa décision, respire, descend du canapé, se met à quatre pattes et se dirige vers Jean-Paul qui vient de sortir son sexe bandé de son pantalon.

    Elle arrive devant lui et n’ose pas le regarder. Elle se contente de regarder ce sexe dressé devant elle. Elle se met à genoux, prend le membre dans sa main, ouvre la bouche, sort la langue et lèche une fois le gland qui lui semble doux. Encore un coup de langue, puis un autre. Au fur et à mesure, elle s’enhardit. Elle fait tourner sa langue autour du gland, l’aspire par moment, le caresse de sa main. Elle le sent gonfler encore dans sa bouche, l’entend gémir de plaisir et se « vautrer » en arrière dans le canapé. Elle sourit intérieurement : il a l’air d’aimer.

     

    Elle entend tout à coup un bourdonnement et sent son Maître derrière elle, tout près.

    « Ecarte les jambe »

    Dès les jambes écartées, elle sent les vibrations de son jouet rose sur ses lèvres, entre ses lèvres, sur son clitoris. Elle ferme les yeux, essaie de se concentrer sur ce sexe dans sa bouche mais…. Ça devient de moins en moins évident alors que le vibro est posé et appuie sur son clito et que deux mains sont sur ses seins, les caressant ou en pinçant les bouts.

    Elle a dû ralentir ou s’arrêter sans s’en rendre compte car une main la prend par les cheveux et lui imprime le rythme. Elle aime bien, même si elle préfère encore plus la caresse entre ses cuisses. Elle laisse le plaisir monter en elle, bougeant son bassin pour être encore plus en contact avec les vibrations, tout en essayant de se concentrer sur le sexe qui occupe sa bouche.

    Le « laisse toi aller » qu’elle entend contre son oreille la fait se lâcher complètement et elle jouie dans un gémissement.

     

    « Et bien…. Ça n’a pas l’air d’avoir été si désagréable que ça, si ? »

    Elle le regarde en souriant. Les yeux encore plein du plaisir qu’elle venait de recevoir.

    « Non, non… c’était très agréable. Merci ! A tous les deux »

    « Bien…. »

    Il regarde son collègue.

    « Et si nous changions ? Je vais me caler dans le canapé et tu la prendras par derrière si cela te convient »

    « Je serais difficile sinon… »

     

    Elle voit son Maître s’installer confortablement, sortir son sexe, les fesses au bord du canapé. Elle va le rejoindre, souriante, à quatre pattes avec beaucoup plus d’enthousiasme que tout à l’heure. Elle veut qu’il ait autant de plaisir qu’elle en a eu. Elle reste dans cette position, posant ses avant-bras entre les cuisses de son Maître.

     

    Elle se penche, tourne sa langue autour du gland, le lèche avec application, sert les lèvres, desserre, lèche le sexe de bas en haut puis met le sexe dans sa bouche tout en continuant de faire tourner sa langue. Elle aime entendre ses gémissements et fait ce qu’il faut pour qu’il gémisse à loisir.

     

    Elle est tout à ses jeux de langue mais elle sent que Jean-Paul s’est placé derrière elle. Il pose sa main sur son sexe mouillé, glisse un doigt entre ses lèvres, se pose et appuie sur son clito encore sensible. Ce geste la fait sursauter et elle allait pour se relever lorsqu’elle sent une main se poser sur sa tête pour que le sexe qui était dans sa bouche continue d’avoir son attention. Elle se repenche et se laisse faire.

     

    Jean-Paul caresse ses fesses, ses hanches. Il pose une main dans le creux de ses reins puis appuie son sexe entre les lèvres de Val, cherchant l’entrée, et appuyant dès qu’il la trouvée. Un mouvement ample de son bassin et Val gémit de se sentir ainsi prise.

    Elle essaie de synchroniser les caresses de sa bouche avec les mouvements de Jean-Paul mais ce n’est pas simple.

     

    Lorsqu’elle reprend sa respiration, son Maître en profite pour sortir de sa bouche et se caresser devant ses yeux. Elle sourit et le regarde faire. C’est un spectacle dont elle ne se lasse pas.

    « Ferme les yeux ! »

     

    Ah… ça elle aime moins car elle sait ce que cela sous-entend mais… elle ferme les yeux et ouvre la bouche dans la seconde.

    Elle entend ses soupirs de satisfaction en même temps qu’elle sent l’humidité sur ses joues, ses lèvres, son menton.

     

    Il étale quelques traces sur son visage avec son doigt qu’il lui fait sucer.

    Dans le même temps, elle sent les mains de Jean-Paul se crisper sur ses hanches et son bassin se coller contre elle. Elle devine sans problème que lui aussi vient de jouir.

    Après quelques instants, ils se relèvent.

     

    Son Maître la regarde…

    « Va te nettoyer rapidement »

     

    Puis regarde Jean-Paul en train de se réajuster.

    « Bon et bien maintenant, on va peut-être arriver à se le boire cet apéro ! »

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